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Pourquoi « Vaincre ou mourir » rend fous les bien-pensants !

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Bernard Germain

« Vaincre ou mourir » est un film historique sur la guerre de Vendée tiré de la vie du général royaliste François Athanase Charette de la Contrie, dit « Charette ».

Il est produit par le Puy du Fou, et co-produit par Canal+... du groupe Bolloré ajouteront certains.

Toujours est-il que ce film rend complètement fous les bien-pensants.

Le Monde, Libération (dont la une du 24 janvier est en photo en haut de cet article), l’Obs, France Inter, France Infos, Télérama… bref tous les médias bien-pensants ont dit tout le mal qu’ils en pensaient avec un zèle remarquable.

Ce faisant, il ont contribué au succès du film en lui faisant une publicité remarquable qui a suscité la curiosité des spectateurs.

A l’origine, ses réalisateurs espéraient 100.000 entrées. Peu de salles avaient en effet accepté de le mettre à l’affiche. En fin de deuxième semaine, il atteignait déjà les 200.000 entrées. De nouvelles salles décidèrent de le mettre à leur programme, de sorte que l’espoir de réaliser 300.000 entrées est très réaliste. Voire plus.

Par comparaison, une série de films bien-pensants à l’affiche ces derniers temps connaissent des bides retentissants. Ainsi :

  • « Les Rascals », de Jimmy Laporal-Tresor. En 1984, alors que « l’extrême droite gagne du terrain en France », une sympathique bande de « jeunes de banlieue » est harcelée par une méchante bande de skinheads. Deux semaines d’exploitation : 31 376 entrées. Magnifique…
  • « Les engagés », d’Émilie Frèche. Un certain David aide un « jeune exilé » à semer la police et à s’introduire illégalement en France. Malgré une énorme promotion, notamment sur France Inter. Six semaines d’exploitation : 33 518 entres. Quel succès...
  • « Nos Frangins », de Rachid Bouchareb. Film qui revient sur la mort de Malik Oussekine (mort du temps de Robert Pandreau). On y trouve tous les clichés sur le racisme et les violences policières. Six semaines d’exploitation : 78 421 entrées. Phénoménal…
  • « Les survivants », de Guillaume Renusson. Dans les Alpes, le dénommé Samuel sauve une jeune Afghane qui veut entrer en France. Mais de très méchants fachos vont les traquer. Après trois semaines d’exploitation : 66 491 entrées. Époustouflant…

D’une certaine manière ces chiffres pitoyables de spectateurs, sont une bonne nouvelle. Ils semblent vouloir dire que malgré d’énormes campagnes de promotion, cette propagande bien pensante n’accroche pas auprès du public. Et c’est tant mieux.

Mais revenons au film sur Charette.

Tous les bien-pensants enragent que ce film existe, pour deux raisons.

D’abord, parce qu’ils trouvent insupportables qu’on laisse sortir des films pareils. C’est comme pour les chaînes d’infos et les médias en général. Il faudrait interdire tout média qui ne délivre pas les messages « politiquement corrects ». Comme dans tout régime totalitaire qui se respecte.

Donc un film qu’ils trouvent « politiquement incorrect » devrait être interdit.

Ensuite parce que « vaincre ou mourir » réactive dans la mémoire des gens des faits historiques que durant les dernières décennies, le système a tout fait pour effacer. C’est la Cancel Culture qui efface ou transforme des faits historiques pour bourrer la tête des gens surtout celles des nouvelles générations, principalement par le canal de l’école. Le plus fameux exemple en date étant la Loi de 2001 de la sinistre Taubira, sur l’esclavage, dans laquelle elle ne parle que de la traite « triangulaire » (européenne) qui n’a existé que pendant 3 siècles en oubliant la traite arabo-musulmane qui dura pourtant 13 siècles et fit plus de 20 millions de morts comme l’exposa Tidiane N’Diaye dans son remarquable ouvrage « Le génocide voilé » (Folio). Mais c’est la version de Mme Taubira qui est enseignée dans les livres d’histoire des enfants.

Au fait, qu’est-ce que les bien-pensants ne supportent pas dans le film « Vaincre ou mourir » ?

De nombreuses choses leur sont insupportables.

Début février, Le Monde s’est fait l’écho dans ses colonnes de la position de deux députés LFI Alexis Corbière et Matthias Tavel qui appellent à « une large mobilisation contre la “falsification de l’histoire” et “la culture de l’effacement” » qu’on noterait dans « Vaincre ou Mourir ».

Le film serait une « offensive réactionnaire » qui « représente un degré supplémentaire franchi par l’entreprise idéologique de la droite ultraconservatrice. Extrêmes droites et droites extrêmes veulent imposer à la société leur grille de lecture des problèmes de notre temps, leur haine de l’égalité républicaine, leur nostalgie morbide de pseudo-traditions catholiques intégristes, leur nationalisme, autant de prétextes à exclure de la nation française tous ceux dont les origines familiales seraient d’ailleurs. »

Fabuleux…

En fait c’est exactement l’inverse. Ces députés qui savent parfaitement ce qu’ils font et disent, mentent outrancièrement. Ils ont un objectif avoué : faire de la France une société multi-culturelle, ouverte à tous les vents. L’immigration est pour eux une « chance pour la France » et la créolisation son avenir.

Mais pour réaliser cet objectif, il faut que la France historique, sa culture, son identité et sa civilisation disparaissent. Tout ce qui rappelle son passé, son histoire et ses traditions ainsi que ses combats pour les préserver, sont donc des obstacles à la réalisation des objectifs de la LFI et du macronisme.  Pour ces gens de LFI, l’histoire de France commence en 1789. Avant, il n’y avait rien.

Pour Macron, c’est encore plus simple … la France « n’a pas de culture ».

Pourtant, la France millénaire débuta son histoire avec le Baptême de Clovis en 498 et connu de nombreux Rois depuis cette date jusqu’en 1793. Par ailleurs, outre la monarchie, le catholicisme fut le second pilier sur lequel s’est bâti notre pays.

Ces éléments ont profondément marqué notre société au cours de son développement et sont des éléments clé de son identité.

La Révolution française ne se résume pas uniquement à la célèbre formule « Liberté Égalité Fraternité ». Elle fut aussi celle qui apporta la « Terreur » en 1793.

Les têtes tombèrent par dizaines de milliers sous le « rasoir de la république ». De même que les procureurs d’un jour furent nombreux à être les victimes du lendemain.

C’est dans ce contexte particulièrement violent et troublé que se déroula la « Guerre de Vendée », rébellion de la population de cette région dont Charette pris la tête, contre l’oppression que lui faisait subir la « République » qui voulait à toute force lui imposer sa nouvelle société.

La révolution voulait en finir avec la royauté et le catholicisme.

En plus du combat contre la monarchie, la chasse aux ecclésiastiques fut donc déclenchée. Et le moins qu’on puisse dire c’est les révolutionnaires n’ont pas les choses à moitié.

Dans le pays qui était la « fille aînée de l’église » les biens de l’église furent confisqués, interdiction fut faite aux prêtres de porter la soutane, et une opération de déchristianisation massive eut lieu sur tout le territoire.

Pour les prêtres réfractaires, la seule solution fut l’exil.

Quant aux malheureux qui furent pris, c’est la mort qui les attendait comme par exemple pour 150 d’entre eux emprisonnés à Nantes, avant de finir noyés dans la Loire.

Plus globalement, un véritable génocide fut organisé par la république et ses troupes.

L’Historien Guillaume Lancereau, soi-disant spécialiste de la Révolution française, a déclaré à propos de « Vaincre ou mourir » et de son message de dénonciation du génocide organisé en vendée : C’est « une thèse historiographique particulièrement réactionnaire ».

Et le même d’ajouter : « Le film fait constamment comme si la Convention nationale avait voulu éradiquer les Vendéens ».

Le journal « Causeur » dans un article, rapportait que tout cela était bel et bien organisé soigneusement. Ainsi la Loi votée par la Convention nationale le 1er octobre 1793, loi dite « loi d’extermination » visait spécifiquement les Vendéens. Le journal « Causeur » mentionnait également le rapport rédigé par le Comité de Salut Public, dirigé par Barère : « Détruisez la Vendée […] La Vendée, et encore la Vendée, voilà le charbon politique qui dévore le cœur de la république française ; c’est là qu’il faut frapper. […] Détruisez la Vendée. Les brigands doivent être vaincus et exterminés sur leurs propres foyers. ».

Quant au général Westermann, qui fut affublé du doux surnom de « boucher de la Vendée », il écrivit à la Convention après sa victoire à Savenay en novembre 1793 : « Il n’y a plus de Vendée. Elle est morte sous notre sabre avec ses femmes et ses enfants. […] Je n’ai pas un prisonnier à me reprocher. J’ai tout exterminé. Nous ne faisons pas de prisonniers, car il faudrait leur donner le pain de la liberté, et la pitié n’est pas révolutionnaire. »

Pourtant la lutte ne s’est pas arrêtée pour autant malgré ces horribles massacres.

En 1794, les « colonnes infernales » déferlent donc sur la Vendée afin d’y terminer la besogne. Ce fut un déchaînement de violence. Les révolutionnaires écrasèrent la Vendée, tuant et détruisant tout sur leur passage, y compris femmes, enfants et vieillards et brûlant villes et villages. Au final, 400.000 morts parce que ces populations étaient attachées à la royauté et voulaient qu’on leur rende leurs prêtres.

Mais pour Élisabeth Franck-Dumas, « cheffe » du service culture à Libération, le film « Vaincre ou mourir » véhicule des « idées réactionnaires et antirépublicaines ».

Quant à notre historien spécialiste, sa conclusion sur le film est limpide : « Il y a cette intention manifeste d’ancrer un peu plus dans les esprits que la France était glorieuse quand elle était catholique et monarchique ».

On ne peut qu’approuver cette dernière déclaration. C’était effectivement le cas.

Nous conclurons cet article en soulignant l’étonnante similitude du combat mené par les vendéens, avec la situation actuelle de notre pays.

Les républicains d’hier sont devenus les « progressistes » et « bien pensants » d’aujourd’hui.

Les vendéens qui défendaient leur pays, leur identité et leur société, sont devenus aujourd’hui tous les patriotes qui défendent la France.

Tous ceux qui refusent qu’on la détruise ainsi que notre culture, notre identité et notre civilisation.

De même, il est tout à fait frappant de constater qu’aujourd’hui, la religion catholique est la plus attaquée en France.

De nombreuses églises sont l’objet de dégradations ou même de tentatives d’incendie dont certaines réussissent.

Tout comme des ecclésiastiques ou des processions sont agressés.

Sur ces faits intolérables, aucun progressiste n’élève la voix.

Pire, la LFI compte un grand nombre de membres et d’élus qui se réclament de 1793 et de Robespierre.

Les seules fois où ils hurlent c’est lorsqu’ils constatent que des citoyens s’inquiètent de l’implantation de l’islam en France et des menaces que cela fait planer sur l’avenir de notre mode de vie et notre civilisation, si cette extension de l’islam n’est pas stoppée.

Tout est bon alors pour dénoncer aujourd’hui ces citoyens … racistes, fascistes, islamophobes.

Comme hier les révolutionnaires de 1793 dénonçaient les vendéens et les massacraient.

Ce qui fait la force du film « vaincre ou mourir », c’est le parallèle évident qui peut être fait entre la lutte du peuple vendéen et la lutte que nous menons aujourd’hui pour défendre et sauver notre pays.

Rappelons ce que disait Alexis Corbière : « Extrêmes droites et droites extrêmes veulent imposer à la société leur grille de lecture des problèmes de notre temps, leur haine de l’égalité républicaine, leur nostalgie morbide de pseudo-traditions catholiques intégristes, leur nationalisme, autant de prétextes à exclure de la nation française tous ceux dont les origines familiales seraient d’ailleurs. 

Oui, le film permet aux spectateurs d’avoir une « grille de lecture » qui leur permet de comprendre qu’il est possible de se battre pour défendre son pays, sa culture et sa civilisation. Les vendéens l’ont fait.

Et ça c’est vraiment inacceptable pour les progressistes et bien pensants de mettre ce genre d’idées dans la tête des gens.

Au lieu de culpabiliser la population et leur dire, comme les bien pensants, qu’il n’est qu’une possibilité : capituler et accepter la société multiculturelle, à l’inverse le film glorifie la révolte et le combat contre la destruction de notre pays.

Voilà ce qui rend fous les bien-pensants et autres progressistes.

Alors, vous qui lisez cet article, courez voir ce très beau film si vous ne l’avez pas déjà fait.

Ce sera en plus vu comme un acte de résistance.

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