Michel Poniatowski, ancien ministre de Giscard d’Estaing écrivait en 1991: « Son âme, la France est en train de la perdre, non seulement à cause de la mondialisation, mais aussi et surtout à cause de la société, à la fois pluriethnique et pluriculturelle qu’on s’acharne avec de fausses idées et de vrais mensonges à lui imposer ».
Hier la résistance à l’implantation de clandos se faisait à Callac, aujourd’hui elle se situe à Belâbre (département de l’Indre).
Dans cette petite ville, le maire un socialiste immigrationniste pur jus, qui se veut « humaniste » persiste dans sa volonté d’imposer 80 migrants, malgré une opposition résolue de la majorité de ses administrés.
La population réclame un référendum qu’il lui refuse, sachant sans doute ce que serait le résultat du vote. Par contre, des parfaits démocrates comme ce maire ne se refusent pas d’en demander un pour les retraites. Ou est la cohérence ? Ce 49.3, que nos gouvernants utilisent sans se priver, d’autres s’en servent aussi pour imposer leur volonté au niveau local. De plus, le Préfet s’est invité à la salle des Fêtes avec l’association immigrationniste Voltaïs pour soutenir l’équipe municipale. Ils se sont assurés aussi de l’appui de la LDH qui ressort ses poncifs habituels, parlant « d’incitation à la haine ». Avec menaces de procès.
C’est le combat du pot de terre contre le pot de fer, mais rien ne prouve que les gagnants d’un jour soient ceux de demain ! L’organigramme du système est bien ficelé mais il n’est pas infaillible.
On sait également que ses maires pro-immigrants ont un intérêt financier à augmenter leur population en recevant des clandestins. Mais pour de l’argent et la satisfaction de leurs idées politiques, ont-ils le droit de s’opposer à un référendum ? La démocratie qui est la volonté du peuple, exigerait plutôt de débattre autour d’une table et ensuite de voter en toute connaissance de cause.
Les journalistes oublient de dire que la Mairie de Belâbre s’est vue proposer l’implantation d’une petite manufacture pouvant employer 25 personnes à la place des 80 migrants attendus ; ce que ce maire « humaniste » ne pouvait accepter qu’en maintenant son projet du Cada. Résultat: Il aura peut être ses 80 clandos attendus mais sera privé de 25 emplois pour ses administrés.
Ce petit maire plein de morgue, dans son gauchisme borné préfère recevoir des gens sans qualification et sans travail qui vivrons fatalement aux frais de la commune et de l’Etat, tout en accentuant les clivages, l’incompréhension et la méfiance entre les habitants, mettant une mauvaise ambiance dans la commune.
Sur ces sujets, on a l’air de rabâcher et faire le jeu de ce qu’ils appellent « l’extrême droite, » car trop de gens s’en foutent complètement. Mais éviter à son pays d’être très bientôt submergé par un tsunami de faux réfugiés qui devient incontrôlable, devrait être la principale inquiétude de tout le monde. C’est aujourd’hui le problème le plus important n’en déplaise aux idiots utiles qui ne voient rien venir du plan de Soros et Cie. Et comment croire que notre région sera épargnée. Alors manifester pour la réformes des retraites, bravo, mais il serait bien que l’on entreprenne des manifs toutes aussi importantes pour refuser le programme mortifère immigrationniste du Gouvernement mondial.
Il serait nécessaire aussi, que la raison supplante l’émotion, et la sensiblerie qui va avec. Et que l’on sorte enfin de ce sentiment de repentance qui met le français dans la position de tout accepter à partir du moment où il s’agit d’immigration post-coloniale. En 60 ans, depuis leur indépendance ces pays auraient pu sortir du marasme économique et se développer avec toutes les aides qu’ils ont reçues. Si ils ne l’ont pas fait, ce n’est pas la faute du contribuable français, invité à entretenir leurs ressortissants qui profitent largement de nos lois laxistes.
Pour ces promoteurs du Cada de Belâbre ou d’ailleurs, il est sans doute glorifiant de se poser en défenseur de ces « pauvres immigrés ». De se refaire une moralité à peu de frais. Mais leur soi-disant humanisme n’est pas de la générosité, mais de l’égoïsme. Ils ne veulent pas voir ce que sera plus tard leur pays, et le destin de leurs enfants; d’ailleurs ils s’en moquent complètement.
» Les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent » (Coluche).
Onyx
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