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Saint-Brévin-les-Pins, une énorme manipulation de l’opinion se prépare.

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Bernard Germain,

porte-parole de la Coordination Partout Callac cliquez là

Yannick Morez, maire de Saint-Brévin (44), promoteur d’un projet de CADA juste à côté d’une école maternelle et primaire, a annoncé récemment l’abandon de son mandat et son départ de Saint-Brévin. Officiellement parce qu’il aurait été « abandonné » par l’État et victime de l’incendie de ses deux véhicules et d’une partie de sa maison.

En réponse, Johanna Rolland, maire PS de Nantes, appelle à une manifestation (en fait nationale) à Saint-Brévin le 24 mai prochain, pour soutenir le maire mais surtout pour promouvoir la politique immigrationniste de Macron.

Comment se fait-il - selon l’association des maires de France - que 1293 maires depuis 2020 ont démissionné, dans l’indifférence générale, mais que la démission de Yannick Morez soit ainsi montée en épingle ? La réponse est simple : une gigantesque manipulation de l’opinion est en préparation.

Nous avons déjà connu une opération similaire en mai 1990 avec l’affaire de Carpentras.

La sépulture d’un homme - juif - mort depuis 15 jours, avait été violée (ainsi qu’un grand nombre d’autres tombes) et son corps avait été retrouvé mutilé et empalé sur un piquet de parasol. Ce qui était insupportable. L’émotion, à l’époque avait été immense. S’en était suivie une incroyable campagne contre le racisme et l’anti-sémitisme, accusant nommément le FN de Jean-Marie Le Pen de ces faits épouvantables. Élément extraordinaire, François Mitterrand Président de la République, avait même participé à une manifestation nationale Place de la Nation à Paris, à cette occasion. Au final, lorsque les coupables furent trouvés, ils n’avaient aucun lien avec le FN.

Des indiscrétions, en provenance de l’entourage du maire, indiquent qu’il avait pris sa décision de démissionner avant que ses voitures ne soient incendiées. Cet incident - que nous condamnons totalement comme toute forme de violence - se révèle aujourd’hui un bon prétexte pour justifier et habiller son départ.

Et d’aucuns de récupérer sa démission pour l’instrumentaliser et en faire le prétexte à une mobilisation qui sera certainement une manifestation de soutien à Morez mais surtout une manifestation de soutien à la politique immigrationniste de Macron que le maire de Saint-Brévin mettait en œuvre, comme d’autres.

Aujourd’hui à Saint-Brévin, comme hier à Carpentras contre le FN, le message qu’enverra la manifestation du 24 mai est totalement prévisible. Il va diaboliser ceux qui combattent la politique de Macron, soutenue par le maire de Saint-Brévin, en les accusant d’être des « fascistes » et de recourir à la violence pour s’opposer à l’installation de CADA.

Ce message sera évidemment largement relayé par tous les organes de presse pro-immigration.

Son objectif sera de faire comprendre à tous les Français qui souhaitent combattre l’installation de CADA, que s’ils agissent dans ce sens il seront vus pour ce qu’ils sont : des « fascistes », des gens « d’extrême droite », voire des « nazis ». Afin de les intimider, les effrayer et les faire renoncer à toute mobilisation.

La coordination Partout Callac n’est nullement dupe de cette énorme opération d’instrumentalisation de la démission du maire de Saint-Brévin.

Elle invite tous les Français attachés à leur pays, son identité et sa culture à continuer avec nous le combat pour stopper cette immigration incontrôlée et faire en sorte que Saint-Brévin reste Saint-Brévin, la Bretagne reste la Bretagne et la France reste la France. Sans se laisser intimider.

http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2023/05/16/saint-brevin-les-pins-une-enorme-manipulation-de-l-opinion-s-6443450.html

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