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Les prédicateurs de la mondialisation


On peut pardonner à Sainte Greta son ignorance. Faute d'être allée à l'école, les principes de la thermodynamique appliquée aux volumes atmosphériques lui échappent complètement.
On peut hausser les épaules quand Macronescu essaie de capter le vote vert en annonçant qu'il va interdire le réchauffement climatique dans la Constitution.
Et pourquoi ne pas faire condamner en justice les tremblements de terre, les cyclones, les éruptions volcaniques, les tsunamis et les chutes de météorites tant qu'il y est ?
Tout est possible chez un démagogue...
Mais que dire des pseudo-savants qui soutiennent des énormités ?
Veulent-ils surpasser Lyssenko, Sokal et l'homme de Piltdown au palmarès des supercheries scientifiques ? Ou sont-ils stipendiés pour colporter une panique irraisonnée sur laquelle s'engraissent toutes sortes d'entreprises troubles qui prétendent sauver la planète ?
La question mérite d'être posée quand on voit avec quelle mauvaise foi les médias menteurs appartenant au Nouvel Ordre Mondial parlent d'unanimité et  de consensus, alors que la doctrine du GIEC n'est validée que par 600 personnes environ.

Quand 31.000 scientifiques du monde entier, Ph.D, éminents universitaires et chercheurs de réputation internationale, dont une brochette de Prix Nobel, refusent de se laisser intimider et dénoncent l'imposture du prétendu réchauffement anthropique.
Mais ces gens-là ne sont jamais invités à s'exprimer dans les médias, des pressions sont exercées pour qu'on ne les accueille plus dans les colloques et que les revues scientifiques ne publient plus leurs études.
Et sur le web, la plupart des moteurs de recherche les ont déréférencés, tandis que les grands réseaux dits sociaux de même que les plateformes dites d'information les ont censurés puis bannis. Puis exercé leur vindicte sur ceux qui faisaient allusion à leurs travaux. 
Le dioxyde carbone n'est pas un poison
Bien au contraire, il est indispensable à la vie ! C'est l'aliment de base des plantes. Avec l'eau et le rayonnement solaire. Sans CO2 il n'y aurait pas de plantes et une grande partie de l'atmosphère que nous respirons ne se renouvellerait plus. D'ailleurs, si la concentration de CO2 dans l'atmosphère a légèrement augmenté à la fin du siècle dernier, passant de 0,038% à 0,04% aujourd'hui le niveau est stable.
Le CO2 d'origine anthropique représente 4% du total soit 0,0016% de l'air.
Dans le même temps la surface couverte par la végétation sur la terre s'est accrue de 20% 
Aux ères des dinosaures, le niveau de CO2 a atteint des valeurs proches de 10.000 ppm (partie par million ou 106 ) soit 25 fois la concentration actuelle. Ce fut pourtant l'époque d'une flore et d'une faune géantes d'une extraordinaire diversité.
D'ailleurs est-ce un hasard si les agriculteurs en serres y injectent trois fois plus de CO2 qu'il n'y en a dans l’atmosphère ? Résultat observable : Les plantes poussent plus vite, elles résistent mieux aux maladies et aux insectes,  leurs fruits sont plus gros,  et grâce à une photosynthèse plus efficace, elles consomment moins d’eau.
Perdre la moitié de la concentration actuelle, de l'ordre de 400 ppm, conduirait inexorablement à l’extinction d'une grande partie de la végétation et donc des animaux qui s'en nourrissent. Avec à l'horizon la famine pour la plupart des humains. Malgré le véganisme prôné par les réchauffards.En outre, rappelons que près des trois quarts de l'oxygène que nous respirons provient du phytoplancton (et pas des forêts !) C'est le vrai poumon de la planète, lequel se nourrit de CO2. Réduire de façon drastique le CO2 mènerait à une catastrophe planétaire.
Oui, mais « Et  le réchauffement ? » 
Difficile de discuter avec les fanatiques d'une nouvelle religion cramponnés à leur dogme. La dissonance cognitive est commune aux esprits simples qui ont longtemps gobé des sornettes, et souffrent tellement quand on leur oppose des faits qui contredisent leurs croyances, qu'ils nient tout dans une véritable fureur hystérique !
Pour les autres, je recommande la *lecture des graphes* établis par des scientifiques  du monde entier récapitulant les phases de chaud, froid, sec, humide au cours de 15.000 dernières années.
En toute hypothèse, sur un temps plus court depuis la fin du petit âge glaciaire, il  apparaît clairement que la courbe des températures suit les périodes d'activité solaire et n'est en aucune façon corrélée au CO2.
 

Caniculi Canicula
Les réchauffistes sont les premiers à dire d'un ton docte et inspiré qu'il ne faut pas confondre météo contingente et climat rémanent. Mais dès qu'il s'agit de canicule, changement de discours : le casuel et le provisoire, liés à des phénomènes locaux, deviennent l'expression du réchauffement planétaire global.
Alors pour leur rafraîchir un peu la mémoire, plongeons dans les chroniques des clercs des siècles passés :En 994, Hugues Capet régnant, l'absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant tous les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux. Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures > 42°C pendant au moins 6 à 8 semaines. Les témoins d'époque évoquent une "chaleur infernale" pendant près de 3 mois ! 
Des canicules de plusieurs mois, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que hommes et bétail mouraient littéralement de soif puis de faim, on en connut 8 majeures jusqu'en 1682. Les plus meurtrières furent celles de 1540 et de 1636 qui  tua 500.000 Français.
Plusieurs dizaines de canicules se succédèrent, de moindre durée, entrecoupées de stases. Suscitant une vingtaine de jacqueries qu'on qualifierait aujourd'hui d'émeutes de la faim.
En 1684, l'Académie Royale des Sciences releva 25 jours d’une température d'au moins 31° et 16 jours de pas moins 35° à l'ombre à Paris où le thermomètre marqua plusieurs fois 40° en 1701 selon l'échelle de Torricelli.
Le climat se dérégla à nouveau en 1694, en 1718 et 1719 avec 700.000 morts, puis 1767, 1778, 1803, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893. Avec des pics de mortalité et de chaleur en 1846 et 1859.
Et ça continua ainsi jusqu'au XXème siècle. Mais les astrologues du GIEC n'ont probablement jamais entendu parler de la canicule de 1911 qui fit 45.000 morts en France (19.000 pour celle de 2003 attribuée au prétendu réchauffement) pas plus que du pic de chaleur de 56,7°C enregistré en Californie en juillet 1913.
C'est dans leurs têtes que ça chauffe ! 
Pour les pseudo-experts du GIEC constitués en 1990 en grands chamanes de la religion réchauffiste, universelle et obligatoire, vers 2040 la température moyenne de la terre dépasserait de 1,5 °C celle du début de l’ère industrielle, deux siècles plus tôt, si les émissions de gaz à effet de serre dont leur obsessionnel CO2 devaient se poursuivre au rythme actuel... Et ce serait alors la fin du monde !
La belle affaire quand on sait que lors de l'optimum médiéval de 950 à 1350 il faisait selon les endroits entre 2°C et 5°C de plus qu'aujourd'hui, en fonction des reliefs et des courants marins et aériens. En un temps où le Groenland était la terre verte des Vikings, quand la vigne poussait en Scandinavie et à Terre Neuve.
Et si on remonte plus loin dans le temps, Hannibal a pu franchir discrètement les Hautes Alpes avec ses éléphants il y a 22 siècles  parce qu'il n'y avait pas de glaciers sur sa route. L'optimum climatique romain redécouvert par Nature en 1999 a duré d'environ 250 avant JC à 400 après.

L’effet de serre... Imposture ou ignorance ?

Dès le début, on pouvait se poser la question. Car il n'y a aucun lien démontré entre un léger réchauffement de la planète et les émissions de CO2. Ce gaz a un effet de serre négligeable. Le CO2 ne représente que 0,04% de la composition de l’air. Une légère variation de ppm n'aurait aucune incidence sur les températures.
D'ailleurs, la teneur en CO2 est stable depuis la fin du siècle dernier, où elle était passée de 0,038 à 0,040% en 50 ans. Une augmentation terrifiante !

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