Petite leçon d’histoire-géo pour ces incultes de journalistes
par Patrice Gibertie
Nos journalistes ont inventé un thermomètre vieux de… 120 000 ans ! La Une de Libération me perturbe sur le niveau intellectuel des journalistes.
Selon les observations du CERES, l’anomalie de rayonnement à ondes courtes (SW) a augmenté de +1,75 W/m² de 2001 à 2021, ce qui est probablement dû aux variations naturelles de la couverture nuageuse. Ce forçage SW peut expliquer le réchauffement (0,46° C) sur cette période.1
D’autres études
• «De nouvelles études expliquent pourquoi les données du GIEC sont en contradiction avec les observations :rôle du soleil sous estimé et bétonisation des stations météo urbaines» – publié le 3 septembre 2023 par Patrice Gibertie
• https://www.ceres-science.com/new-study-suggests-global-warming-could-be-mostly-an-urban-problem
L’AR6 du GIEC concluait que «les modèles climatiques ne peuvent reproduire le réchauffement observé […] qu’en incluant les effets des activités humaines […], en particulier la concentration croissante des gaz à effet de serre», et que «les simulations qui…» Lire la suite
Bon, en hist géo on vous a enseigné quoi ????
Le climat méditerranéen ?
Dans la Grèce antique il faisait plus chaud et les inondations ils connaissaient
Les anciens Grecs bossaient pour se protéger des pluies énormes qui ont toujours existé.2
Les inondations, phénomène diachronique et international, affectent de nombreuses personnes, bâtiments et infrastructures. Tout au long de l’histoire de l’humanité, les inondations sont les plus meurtrières et ont causé plus de pertes économiques que les autres catastrophes naturelles. Dans cette revue, l’histoire des inondations est considérée comme se concentrant sur la Grèce antique depuis le début de l’âge du bronze. Les Grecs de l’Antiquité évitaient de vivre à proximité des lacs et des rivières, probablement pour des raisons d’hygiène et de protection contre les inondations. Des ouvrages hydrauliques anti-inondation impressionnants et représentatifs, notamment des barrages, des murs, des canaux de différentes villes et autres colonies de l’époque minoenne et de la période archaïque, classique, hellénistique et romaine, sont présentés. Il est conclu que le risque d’inondation est plus grave aujourd’hui que dans l’Antiquité. L’urbanisation et la déforestation en cours au fil des siècles ont conduit à un risque d’inondation croissant et ingérable. Pour cette raison, un ensemble de mesures spéciales devraient être appliquées dans les zones vulnérables visant à atténuer les dommages graves que les inondations pourraient causer, notamment des barrages anti-inondation, des technologies de détournement du débit d’eau, la collecte des eaux de pluie et des jardins pluviaux pour la rétention des eaux pluviales, le reboisement et d’autres mesures environnementales intelligentes. Les exemples d’hydrotechnologies anti-inondations décrits dans cet article peuvent avoir une certaine pertinence pour l’ingénierie de l’eau, même à l’époque moderne. La collecte des eaux de pluie et les jardins pluviaux pour la rétention des eaux pluviales, le reboisement et d’autres stratégies environnementales intelligentes. Les exemples d’hydrotechnologies anti-inondations décrits dans cet article peuvent avoir une certaine pertinence pour l’ingénierie de l’eau, même à l’époque moderne. La collecte des eaux de pluie et les jardins pluviaux pour la rétention des eaux pluviales, le reboisement et d’autres stratégies environnementales intelligentes. Les exemples d’hydrotechnologies anti-inondations décrits dans cet article peuvent avoir une certaine pertinence pour l’ingénierie de l’eau, même à l’époque moderne.
Dans l’Andalousie du Moyen-Âge il faisait plus chaud qu’aujourd’hui et ils irriguaient
• https://journals.openedition.org/remmm
• https://www.persee.fr/doc/rgest
Face à cette réalité, les agriculteurs, les bénévoles et les chercheurs espagnols ont puisé dans l’histoire pour trouver des solutions, en se tournant vers un réseau tentaculaire de canaux d’irrigation construits par les Maures, la population musulmane qui a conquis la péninsule ibérique au Moyen-Âge et s’y est installée.
Ces canaux – appelés «acequias», de l’arabe «as-saqiya», qui signifie «conduite d’eau» – ont rendu la vie possible dans l’une des régions les plus arides d’Europe, alimentant les fontaines du majestueux palais de l’Alhambra et transformant la région, l’Andalousie, en une puissance agricole.
source : Patrice Gibertie