Extraits de l'interview hebdomadaire de Viktor Orbán du 13/10/23
"Ce sont des choses brutales qui font frémir. Remercions Dieu de ne pas avoir un tel problème. Rendons grâce pour la sécurité dans laquelle nous vivons."
"La première chose que nous espérons faire est de rapatrier d’Israël tous les Hongrois. Les compétences sont disponibles, mais ce n'est pas si simple, car il est difficile pour de nombreux touristes de comprendre qu'ils peuvent être en danger, bien qu'aucune victime hongroise ne soit connue jusqu'à présent"
Les choses commençaient tout juste à bien se passer au Moyen-Orient, les relations israélo-arabes s'étaient beaucoup améliorées sous l'administration de Donald Trump. Malgré l'attentat terroriste, tout doit être sauvé du rapprochement des dernières années.
Parlant des manifestations de solidarité qui ont lieu en Europe occidentale, le Premier ministre a déclaré: De tels événements ne sauraient avoir lieu en Hongrie, car ils conduiraient en eux-mêmes à une menace terroriste.
"D'un autre côté, il y en a en Europe occidentale, et il y a aussi des gens qui approuvent de telles actions. Rendons grâce à Dieu d'avoir eu la bonne idée en 2015 et d'avoir construit la clôture".
"Le gouvernement hongrois doit protéger les citoyens juifs hongrois et ils ne doivent pas se sentir en danger. Le gouvernement hongrois doit rester ferme même en période de danger", c'est pourquoi les manifestations en faveur du terrorisme sont interdites (la Gauche l'a essayé).
Tout d'abord l’UE invite les migrants en Europe en exprimant son souhait qu'elle trouvera une solution pour eux en répartissant les migrants entre les États membres. L'UE veut nous imposer ses problèmes avec la répartition des clandestins, ce qui est absurde, alors que le seul modèle qui ait réussi en matière de politique migratoire jusqu'à présent en Europe est le modèle hongrois.
Orbán a ensuite déclaré qu’il nous était nécessaire de nous défendre politiquement, car l’UE nous impose un nouveau système de migration par décision politique et par force juridique, mettant de côté les accords antérieurs et le droit de véto.
"Il faut un changement à Bruxelles", a déclaré le Premier ministre, faisant allusion aux élections européennes de juin prochain, car "Bruxelles n'aide pas, elle détruit actuellement l'Europe".
"Les dirigeants de l'UE vont à l'encontre de leur propre peuple lorsqu'ils invitent des migrants", a déclaré Orbán, déplorant que la Hongrie ait été la seule voix de la raison où l'on a demandé aux gens s'ils voulaient laisser entrer les réfugiés. (Cela se produira également dimanche en Pologne, où un référendum sur la question des migrants aura lieu en marge des élections.)
Selon Orbán, si nous demandions aux Européens, ils seraient également d’accord avec la position hongroise.
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