Pierre-Emile Blairon
L’immigration de masse (essentiellement musulmane, en provenance du Maghreb et surtout d’Algérie) a débuté en France avec Valéry Giscard d’Estaing et son premier ministre Jacques Chirac quand ils ont introduit le désastreux « regroupement familial » (décret du 29 avril 1976), lequel était fortement recommandé par l’oligarchie mondialiste de l’époque pour faire venir de la main-d’œuvre bon marché et ainsi faire baisser les salaires des Français, ceci avec la bénédiction de la gauche, de l’extrême-gauche mais aussi des Juifs français qui croyaient que les antisémites étaient ces petits blancs patriotes qualifiés d’extrême-droite qu’il fallait contrer par tout moyen, sans savoir qu’ils sciaient la branche sur laquelle ils étaient assis.
Pour en revenir à notre époque, hors de toute logique, les contraintes les plus fortes de la dictature sanitaire mise en place par les mondialistes à partir de 2020 ne se sont pas exercé sur les masses les plus nombreuses comme les Africains (notamment les Africains du Nord) mais à l’encontre des blancs européens, le but étant de détruire d’abord la civilisation européenne, les peuples européens n’étant pas assez malléables et trop cultivés pour devenir de dociles esclaves.
Une résistance timide s’organise cependant contre le déferlement migratoire, l’un des moyens employé par l’Ordre mondial pour affaiblir les Européens.
Les Européens du Nord, Le Danemark, la Suède, la Norvège, la Finlande et l'Islande, se sont rencontrés le 31 octobre 2023 pour créer une coalition afin d’expulser les « migrants » en situation irrégulière sur leur sol vers leurs pays d’origine.
En revanche, une expulsion en France est quasiment impossible (sauf au goutte à goutte) du fait de diverses dérogations, de l’action des associations d’aide aux « migrants », de la lenteur des pouvoirs publics et de la justice à décider de ces départs et du laxisme des autorités qui fait que ces expulsions prononcées ne sont appliquées qu’à la hauteur de 6 % en 2021 pour 124.111 « obligations de quitter le territoire » prononcées.
Je ne serais pas surpris que l’Allemagne, l’Angleterre et les Pays-Bas rejoignent bientôt la coalition des pays nordiques, malgré les dénégations des autorités de ces pays.
Posons-nous la question : où vont donc aller les 2,4 millions de Palestiniens chassés de leur territoire par les bombardements israéliens ?
Israël n’a pas laissé grand-choix à cette population ; il n’y a qu’une seule issue possible : le poste-frontière de Rafah à la frontière égyptienne ; selon France 24 du 6 novembre 2023, « Jusqu’à l’attaque du Hamas du 7 octobre, l'aide entrait par le point de passage de Kerem Shalom contrôlé par Israël. L'État hébreu a depuis renforcé les restrictions existantes, faisant de Rafah le seul point d'entrée de l'aide humanitaire.
Au cours des premiers jours de la guerre, l'Égypte a déclaré que le poste-frontière était ouvert mais pratiquement inopérant en raison des bombardements – l’armée israélienne a effectué trois frappes aériennes sur Rafah en 24 heures, le 10 octobre. La frontière et ses environs ont été dévastés. Les routes étant devenues impraticables, les camions chargés d'aide humanitaire sont restés bloqués côté égyptien. » (Lara Bullens, Passage de Rafah entre l'Égypte et Gaza : "Ce n'est pas une frontière normale")
Les gazaouis ont creusé des tunnels leur permettant d’entrer en Egypte ou de faire venir de l’aide humanitaire et des vivres.
Comme il n’existe pas d’autre point de passage, il semble probable que les Gazaouis forceront le blocus par ce passage, et que l’Egypte n’aurait alors plus d’autre choix que de créer un couloir dit humanitaire afin de les acheminer vers la Libye… où ils seront attendus par les ONG et conduits vers l’Europe par bateaux.
En Europe ? Seulement en Europe du Sud, puisque ceux du Nord n’en veulent pas. L’Europe du Sud, ce sont les deux péninsules : ibérique et italienne, et la France.
Comme les Palestiniens sont à l’évidence des réfugiés politiques, qu’ils viendront cette fois en famille, avec femmes et enfants, et qu’ils vont faire pleurer dans les chaumières des Européens du Sud et des Français conditionnés depuis des lustres, ce sont des centaines de milliers, voire des millions (les Palestiniens , en incluant les réfugiés en Jordanie, Syrie et Liban sont au nombre de 6 millions – oui, 6 millions ! - issus en grande majorité du précédent exode imposé par les mêmes Juifs en 1948) qui arriveront chez nous et qui ne pourront pas être extradés.
C’est donc une totale illusion (ceci à l’intention de nos amis pro-israéliens) de croire que les Occidentaux (USA, UE, Israël) sont à même de résoudre le problème migratoire qu’ils ont eux-mêmes créé ; au contraire, l’Europe du Sud deviendra le déversoir obligé de leurs « animaux humains », une invasion programmée qu’ils auront déjà largement entamée depuis des décennies.
Si on regarde alors la situation des Européens, non seulement sur le plan géopolitique mais aussi religieux des Européens sur leur propre territoire, on se trouve projeté dans un passé lointain à l’époque des guerres de religion, car on s’aperçoit du clivage entre deux Europes (en plus de l’Europe réelle et celle dite « de Bruxelles), celle du Nord et celle du Sud, on se rend compte qu’il pourrait y avoir un autre conflit, en résurgence sans doute inconsciente, sorte de revanche des Européens du Nord, majoritairement protestants, contre ceux du Sud, dont la quasi-totalité est catholique.
On voit aussi, si l’on considère les choses plus profondément et plus spirituellement, que les mondialistes satanistes s’acharnent à éradiquer les descendants des conquistadores (Portugais et Espagnols) et les descendants de l’empire colonial français, et à faire disparaître physiquement les berceaux de toutes les anciennes grandes civilisations de l’hémisphère nord : berceau ukrainien pour les indo-européens (civilisation des Kourganes), berceau des Serbes (Kosovo), destruction des vestiges archéologiques de la civilisation mésopotamienne (Irak-Syrie), disparition programmée de l’ancien peuple celto-gaulois qui étendait sa population sur un territoire maintenant habité – plus pour longtemps - par les Français, les Belges et les Italiens du Nord (les anciens Insubri), effacement des héritiers des grandes civilisations de l’Antiquité, Rome et Athènes (la Grèce est désormais déjà détruite), tous les descendants de ces grands peuples auront disparu, noyés sous le nombre des étrangers importés par l’Occident, principalement les ressortissants du monde musulman.
Il reste encore un peuple anciennement indo-européen qui n’a pas encore été complètement détruit, ce sont les Iraniens que le Shah voulait délivrer de l’islam ; c’est la CIA qui a déposé le shah d’Iran et non pas l’ayatollah Khomeiny (tranquillement installé en France avant le départ forcé du Shah) ; on peut parier que l’Iran sera la prochaine cible du complexe militaro-industriel occidental, opportunément surnommé par les Iraniens : le Grand Satan.
Pierre-Emile Blairon