Avec ces injonctions lexicales, l'armée mondialiste tire ses dernières cartouches. Quelques pétards mouillés qui font de la peine. Poum. La détresse de l'idéologue à bout d'arguments est un spectacle déprimant. Qui aura pitié du pauvre être réduit à maudire les mots qui contreviennent à ses certitudes ? Ses incantations déchirent le ciel médiatique. Il y a du Vaudou dans ses croyances. Parler de guerre civile et abracadabra... te voilà enduit d'ultra-droite. De la tête aux pieds, couvert opprobre, marqué au fer de l'infamie. Parler de moutarde, ça fait monter la mayonnaise. Dans les fiches cuisine de l'Obs, Olivier Véran atteste du phénomène. Quelques passes magiques... Et hop... le voilà tel un œuf mimosa. Bouquet de persil, prêt à servir. Chaud devant !
La théorie fumante du tandem Véran-Casajus doit inspirer compassion. La vie du gauchisant n'est pas facile. Trouver des explications toujours plus foireuses au mal du pays est un travail harassant. Un élixir serait en cours d'expérimentation. Une cuillère à soupe : ta femme revient, Zemmour s'en va, le RN descend. Le filon des mots épuisé avant même son exploitation va contraindre le propagandiste à creuser encore. À ces profondeurs, l'oxygène se raréfie, la remontée est périlleuse. Les reverrons-nous un jour ?
Jany Leroy
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