Selon le diocèse de Toulouse, les clandestins seraient au nombre « d’une centaine », soutenus par une vingtaine de collectifs, syndicats et associations. « Ils ont investi l’église sans demande préalable », déplore le diocèse, qui tente de trouver une solution : « Cette église n’est pas adaptée pour les accueillir. Il n’y a pas de sanitaire, pas de cuisine… Un dialogue constructif s’est opéré afin que les migrants soient au mieux et que le culte puisse se dérouler, mais cette solution ne peut être que très temporaire. »
D’après la préfecture de Haute-Garonne, les occupants du gymnase sont « des hommes isolés étrangers en situation irrégulière, dépourvus de document de reconnaissance de minorité ».