Interrogé par Jérémy Normand, envoyé spécial à Moscou, le vice-président de la Douma (Assemblée nationale russe) a récemment mis en garde la France concernant l’éventuel déploiement de troupes françaises en Ukraine.
Dans une interview diffusée par BFMTV le 21 mars dernier, Piotr Tolstoï, vice-président de la Douma, a vertement mis en garde la France, qu’il accuse de « provoquer la Troisième Guerre mondiale ». Ces paroles interviennent après que le président de la République française, l’inénarrable Emmanuel Macron, a menacé la Russie d’envoyer des troupes sur le sol ukrainien. Une menace entendue, donc, à laquelle le gouvernement de Poutine s’est empressé de répondre.
L’envoi de troupes au sol en Ukraine serait pour la France un suicide
« Si 300 ou 400 Français sont tués, votre président sera pris au piège : il devra soit accélérer les événements, soit renforcer la présence militaire, soit retirer les troupes », a expliqué au micro de BFMTV P. Tolstoï. « Actuellement, il y a 13 000 mercenaires en Ukraine, dont 367 sont Français. 147 ont déjà perdu la vie (…) Et nous continuerons à tuer, ne vous en faites pas », ajoute-t-il avec aplomb.
Sur le terrain diplomatique comme sur le sol ukrainien, la Russie entend bien camper sur ses positions, ne comptant en aucun cas retirer ses troupes, et n’hésite pas à demander à la France de revoir sa posture concernant la question de l’Ukraine et de l’aide militaire à lui apporter. Plus que nous-mêmes, la Russie est bien consciente de l’inégalité des forces entre elle, qui réussit ces dernières décennies à s’imposer comme la grande puissance eurasienne, tant sur le plan géoéconomique que militaire, et la France, gouvernée par des mignons et défendue par une « armée de majorette ».
Désireux de réveiller les Français, complètement hypnotisés par une propagande intense et omniprésente, le vice-président de la Douma a dépeint les tristes conséquences auxquelles aboutira immanquablement la politique va-t’en-guerre envisagée par la France. « L’idée d’envoyer les soldats français en Ukraine, ça va se terminer avec des cercueils couverts par le drapeau tricolore à Orly. (…) Ce n’est pas Macron qui va aller les chercher. Les Français doivent comprendre les conséquences, c’est tout. »
« La France est gouvernée par des pervers »
Enfin, Piotr Tolstoï, comme pour mieux mettre en valeur le lien qui existe entre cette folie des élites en Occident et la décadence morale qui les anime et qu’ils promeuvent, s’est laissé aller à la fin de l’entrevue à quelques confidences quant à l’image que la France renvoyait chez lui. « Aujourd’hui, la France est gouvernée d’une partie par les pervers ». Croyant le prendre au piège, le journaliste bien-pensant lui demande s’il fait référence à Gabriel Attal, qui ne put s’empêcher lors de son discours de politique générale, devant l’Assemblée Nationale le 30 janvier dernier, de nous partager sa fierté d’être Premier Ministre et… homosexuel. Est-ce, pour les Russes, « être « spécial » voire « pervers » » que d’être homosexuel ? : « tout à fait ! ».
Trois mots suffisent au responsable russe pour souligner le fossé infranchissable entre l’Occident dégénéré qui, creusant toujours plus profondément sa tombe, accélère chaque jour sa propagande LGBT, et son propre pays, la Russie, où vivre ouvertement contre-nature conduit à une certaine exclusion sociale et une mise à l’écart de tout poste clé au gouvernement.
Ces propos, que nous ne pouvons démentir, auraient sur le sol de l’État totalitaire français déclenché une vague de haine ainsi que de sévères représailles de la part du « camp du Bien » et de ses officines communautaires, comme monsieur l’abbé Raffray commence à peine à en faire les frais.
Suzi Feufollet