La réalité finit toujours par s’imposer. Depuis longtemps les éclairés alertaient en vains les demeurés, les Chirac, les Hollande, les Sarkozy, les Macron et tout ce que compte de crétins notre pays, et ils sont nombreux.
Mais là le signal est donné qui va s’imposer à tous et en premier lieu à la métropole :
« La Présidente macroniste de la province sud Sonia Backès plaide pour une séparation ethnique des provinces estimant que le destin commun a échoué :
« Au même titre que l’huile et l’eau ne se mélangent pas, je constate à regret que le monde kanak et le monde occidental ont, malgré plus de 170 années de vie commune, des antagonismes encore indépassables », a-t-elle estimé. « Qu’il s’agisse de leur manière de vivre en société, par la place qui est faite aux femmes par exemple. Qu’il s’agisse encore de leurs systèmes politiques, féodal pour les uns et démocratique pour les autres », a asséné Sonia Backès.
C’est exactement le constat que commencent à faire la plupart des métropolitains à propos des haineux extra-européens d’importation façon Diallo, Mbappé aux petits anges partis trop tôt ou Thuram qu’on leur a imposés.
Mais la problématique métropolitaine se pose en termes différents puisqu’ici, c’est le Blanc de souche qui constitue en majorité le Peuple Premier, et les culturels d’importation ne sauraient aucunement revendiquer quelque séparatisme puisque nous avons le droit d’aînesse et la légitimité jusque dans la charte de l’ONU pour reprendre nos terres et nos avoirs dans leur totalité ancestrale.
Si la solution passe pour la Nouvelle-Calédonie par une séparation des provinces, concernant la France continentale d’Europe, l’unique solution à l’échec du destin commun, dont plus personne ne veut, passe obligatoirement et exclusivement par la Grande remigration, de gré ou de force.
Il est temps de prendre la mesure, et toute la mesure, des propos de Madame Sonia Backès qui s’appliquent pleinement et entièrement à la situation en métropole :
« Lorsque deux forces s’opposent et que deux camps sont persuadés de défendre légitimement leurs valeurs, ils se retrouvent face à un choix. Celui de s’affronter jusqu’à la mort de l’un des deux ou de se séparer pour mieux vivre », a-t-elle résumé.
Les attaques au couteau de Blancs, les égorgements de profs blancs, les menaces de mort perpétuelles lancées par les coraniques et la gauche nazislamiste suivies d’exécutions réelles qui défient à tout instant la chrétienté, la laïcité et la judéité qui y vivaient en paix ne sont plus supportables au Peuple Premier de France, il est donc temps de se dire adieu : Africains, Tchétchènes, Afghans, Pakistanais, Front Populaire et plus généralement toute la gauche qui véhicule des valeurs qui ne sont pas nôtres doivent partir avant que le peuple autochtone en vienne aux armes un jour ou l’autre au cours d’une crise plus intense que les précédentes.
Un Mélenchon, un Faure, une Binet, une Diallo, une Marylise Léon, un Hollande, un Sarkozy, un Macron, un Attal, un Bompard, à titre d’exemples, n’ont plus leur place dans le pays que les Français de souche auront décidé de reprendre en mains : ils sont tous, avec bien d’autres dont il sera aisé de faire la liste en reprenant leurs tribunes publiées-signées dans Le Monde ou Libération ces dix dernières années, assimilables aux colons amenés à partir pour que la France retrouve la voie de la paix entière et complète.
Il en va de même de la plus grande partie de la magistrature ainsi que de toute la préfectorale et hauts fonctionnaires qui ont mis en place et accompagné la politique du Grand remplacement et d’un multiculturalisme multi-civilisationnel dont la Nouvelle-Calédonie vient de montrer les limites et l’insupportabilité, et dont nous n’avons eu de cesse de dénoncer les conséquences armées où entraînait fatalement la présence sur un même territoire de communautés qui ne pourront jamais vivre ensemble et dont les exemples abondants de faillites dans le monde et dans l’Histoire de l’Humanité auraient dû empêcher d’y seulement penser.
Mais la majorité des politiciens français, on le sait maintenant, ça n’a pas les capacités de penser, ça ne sait que compter le pognon détourné-encaissé pour détruire une Nation millénaire.
Il faudra donc surtout, avant que tout le pays de France ne sombre dans une situation comparable à celle du Liban, pays ruiné par ses gringuenaudes politiques dont s’inspirent directement depuis 40 ans les gringuenaudes politiques françaises, que ces dernières avec leurs petits protégés colons quittent la France en abandonnant tous leurs avoirs à titre de dédommagement.
Qu’ils soient cinq ou quinze millions ne fait rien à l’affaire, ils devront partir tous, qu’ils aient une autre nationalité ou pas importe peu, ils devront se débrouiller tous, indésirables par la haine qu’ils ont vouée au Peuple Premier de France qu’ils ont tenté sciemment de génocider par substitution comme le dénonçait déjà Aimé Césaire en 1975 à l’Assemblée nationale concernant la Guyane, ils sont seuls responsables de leur destin au départ et nous n’avons aucune obligation internationale sur notre tête à leur accorder le moindre droit, si ce n’est celui de partir.
Jean d’Acre
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Aimé Césaire, lorsqu’il utilise l’expression « génocide par substitution » à l’Assemblée nationale en 1975, se fait applaudir par toute la gauche française, cette même gauche qui en 2023 organise le Grand remplacement des Blancs de France : « Des peuples entiers ont finalement été évacués de l’histoire parce qu’ils ont été d’abord recouverts, laminés, absorbés. En tout cas l’histoire nous a rendus méfiants : nous redoutons le génocide par substitution, même s’il s’agit d’un génocide par persuasion (applaudissements sur les bancs des socialistes et radicaux de gauche). »