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Angleterre : les émeutes de la peine et de la colère

émeutes

En Angleterre, plusieurs manifestations ont tourné à l’affrontement avec les forces de l’ordre, notamment dans la ville de Sunderland. Ces manifestations font suite au massacre perpétré à Southport par Axel Rudakubana, un jeune homme de 17 ans d’origine rwandaise.

Le 29 juillet, Axel Rudakubana a en effet perpétré une attaque au couteau lors d’un cours collectif de yoga et de danse pour enfants. Trois fillettes âgées de six, sept et neuf ans ont péri sous ses coups et huit autres enfants ont été blessés, dont cinq sont dans un état critique. Un professeur de yoga et un employé des locaux où se déroulait le cours ont également été grièvement blessés.

Face à une telle horreur, las des « marches blanches » et autres appels à « ne pas faire d’amalgame », de nombreux anglais sont descendus dans la rue pour exprimer leur dégoût et leur colère et dénoncer le laxisme migratoire qui conduit à ce genre de drames.

Bien décidés à montrer qu’ils n’avaient pas vocation à être des victimes passives et sans réaction dans leur propre pays, des milliers d’anglais ont manifesté, drapeau national au vent, pour réclamer la sécurité et le contrôle de l’immigration. Ces manifestations ont tourné en plusieurs endroits à l’émeute et à la confrontation violente avec la police.

En France, ces manifestations de la juste colère d’un peuple qui ne tolère pas qu’on assassine ses enfants sont dénoncées et dénigrées car elles seraient « manipulées par l’extrême-droite » et les représentants de la gauche tendance LFI/Front Populaire n’ont pas de mots assez durs pour les condamner, passant totalement sous silence l’horrible massacre qui les a suscitées. Aveuglés par leur idéologie xénophile, ils démontrent une nouvelle fois que leur passion pour l’immigration est plus forte que tout et qu’ils la défendront quel qu’en soit le coût en sang et en larmes pour les peuples autochtones européens dont ils se désintéressent totalement.

La rédaction

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