"Quand la vérité n'est pas libre, la liberté n'est pas vraie" (Jacques Prévert)
Paul Vermeulen
Philippine avait 19 ans. Elle était étudiante. Une jeune femme pleine de vie, engagée depuis toujours, par exemple dans le scoutisme, dont la vie et l’honneur ont été arrachées un vendredi soir dans le bois de Boulogne, à proximité de son université, par un migrant marocain récidiviste de 22 ans, à peine sorti de prison et sous le coup d’une Obligation à Quitter le Territoire Français (OQTF), ces procédures visant des migrants en situation irrégulière dont chacun sait qu’elles ne sont pas véritablement appliquées, avec un taux d’exécution de seulement 7 % (sur 120 000 OQTF) – avant tout par manque de volonté politique.
Pourtant, c’est du domaine de l’évidence : la France conserve suffisamment de puissance pour faire pression sur des pays tels que le Maroc afin qu’ils reprennent leurs délinquants, criminels ou meurtriers, libérant ainsi assez de places dans nos prisons pour qu’il ne soit pas nécessaire d’en construire de nouvelles. Seuls les aveugles refusent toujours de voir combien immigration légale tout autant qu’illégale sont les principales responsables des tragédies vécues par les jeunes femmes françaises et européennes, des tragédies quotidiennes qui commencent par des regards, des propos salaces et autres. Pour bien des migrants, les femmes d’Europe ne sont que de la chair. Ils y sont habitués : c’est ancré en eux.
Ils passent bien trop aisément à l’acte, d’autant plus qu’ils n’ignorent pas combien nous sommes devenus faibles, une faiblesse qui, suite à cette nouvelle tragédie, n’en fini pas de bouleverser l’opinion publique. Le drame de trop ? Combien faudra-t-il d’horreurs de cette sorte ? Notons que le tueur n’a pas oublié de voler la carte bleue de sa victime. L’horreur ethnique n’a pas de limites.
Le pouvoir est coupable !
Le premier coupable de l’atrocité survenue ce soir-là est le pouvoir macronien, aux manettes depuis 2017, lequel n’a pas produit l’once d’une véritable lutte contre l’incroyable et immonde répétition de ces actes sinon le peu qu’il sait faire : parler dans le vide. Peut-être cela eut-il été différent si, au lieu des nôtres, car Philippine était des nôtres, une jeune femme française de souche et de civilisation européenne, oui, sans doute cela eut-il été différent si viols et meurtres de masse touchaient les leurs : les jeunes femmes arabo-musulmanes. Alors, tout ce qui fait Collaboration avec le pire en France, de LFI aux macronistes prétendument vertueux, en passant par une droite libérale dont plus personne ne sait où elle se situe, et autres amis du « vivre ensemble » descendrait dans les rues avec, pourquoi pas ?, comme service d’ordre des milices arabo-musulmanes chargées de maintenir « la paix sociale », au cas où la crainte du prétendu danger d’extrême-droite ne déferle sur les rues du pays ? A ce « danger », un Darmanin, devenu un Moussa Darmanin ridicule, a fait semblant de croire. Comme si la prétendue « extrême-droite » était le réel problème pesant généralement sur notre pays, sur les plans sociaux, économiques, scolaires et sécuritaires.
Le second coupable de la tragédie dont Philippine a été victime est l’immigration. Et donc la mondialisation. L’immense majorité des migrants légaux ou illégaux, réfugiés, bénéficiaires du droit d’asile ou non, ne vient pas de pays en guerre, n’est pas victime de crises économiques ou liées au climat. Ils sont jeunes, masculins et cette venue est organisée volontairement pour servir de « travailleurs » au détriment des Français et des Européens, tout en détruisant la civilisation européenne : qui supprime l’enracinement par le déracinement impose aisément son idéologie. Nous en sommes là. Et ces individus ethniquement non européens n’ont rien à faire sur le continent européen. Philippine a donc aussi été victime d’une idéologie, celle des mondialistes responsables de politiques de submersion migratoires. Le marocain qui l’a assassiné n’avait rien à faire sur le territoire et, d’ailleurs, si les services de l’Etat avaient joué leur rôle correctement il aurait dû être évacué la vieille. Cependant, la multiplication de ces tragédies pose une question plus large, étant donné que cette multiplication est essentiellement à sens unique : celle de la présence des migrants sur le territoire français et plus largement sur le sol européen. La réponse est simple : ces individus n’ont rien à faire ici. Ils sont par nature destinés à vivre dans leur aire civilisationnelle. Qu’ils y retournent. Cela peut s’appeler remigration si nécessaire et ne pas concerner seulement des individus de nationalité étrangère, lesquels sont loin d’être les seuls à être de culture arabo-musulmane ou ethniquement subsahariens à vivre sur un territoire français où des villes préfectorales acceptent par exemple, entre une quantité extraordinaire de boutiques ethniques, des bars réservés aux hommes. En France. Comment peut-on continuer d’accepter cela ? De la même manière, comment peut-on continuer d’accepter la violence continuelle issue de ces catégories de population, dans les rues, dans les écoles, dans les transports en commun, dans les stades, contre les femmes, partout… Il est à parier que si une marche blanche était organisée pour Philippine, elle accueillerait bien du monde. Elle serait aussi probablement sujette à violences concrètes dans l’espace public, et verbales dans les médias où toute la bien pensance hurlerait au crime de lèse-majesté progressiste.
Une faiblesse endémique
Car une autre responsabilité des tragédies à répétition que nous vivons provient de l’état d’esprit longtemps dominant dans ce pays, en vogue dans les médias de grand chemin et partout où l’idéologie du Progrès domine, ainsi l’école ou l’université. Les « gentils » migrants seraient des victimes, excusables par nature. Rien n’est de leur faute. Ils ont souffert.
Messieurs, voyez-vous, l’Europe aussi. A chacun ses souffrances, conservez donc les vôtres dans vos déserts, vos villes, vos villages, développez vos économies, gardez vos délinquants plutôt que de nous les envoyer sous le nom de « migrants ». En France, nombre de nos concitoyens ont longtemps cru au bobard victimaire, cela change un peu maintenant que les médias se diversifient, malgré la grande peur des bien pensants progressistes, jusque-là seuls à informer ou désinformer la population. Cette croyance est en franc recul. Elle nous provenait en droite ligne de la Révolution française et du 19e siècle, de l’injonction à une fraternité, une égalité et une laïcité mal comprises, croyance qui poussait à imaginer que le « fameux universalisme républicain » consisterait à accueillir tout le monde.
Diantre non ! Les temps sont venus de la mise à bas de ces fariboles. Alors, nos enfants et nos femmes pourront de nouveau sortir dans les rues. Et vivre.
Source : Le Nouveau Présent. Pour accéder à cet article sur le site de ce journal, cliquez ici