Le réchauffisme est une partie d’un tout. Avec le wokisme, le genrisme, la pédophilie, la drogue et la féminisation des mâles. Un ensemble de contre-valeurs destinées à déstabiliser les gens raisonnables et à finir d’abrutir les crétins. Mais cette fois, les salopards qui prétendaient soumettre le monde à leurs lubies vont avoir affaire à forte partie.
La fin des pseudo-usines écologiques pour amuser les bobos
Trump s’est engagé à annuler, et à remettre dans le budget de la Nation tous les fonds non dépensés de la loi climatique insensée de Robinette (dite « IRA ») avec ses « usines écologiques », qui a injecté en pure perte des centaines de milliards de dollars dans des crédits d’impôt, des cadeaux fiscaux et des investissements non rentables dans les énergies dites propres. Usines à gaz sans gaz. Éoliennes sans vent. Moulins à paroles. Dépolluants solaires. And so on…
On dit que le cynisme des vieillards, quand ils marchent à côté de leurs pantoufles, les rapproche de la naïveté des enfants. Ainsi, ce vieux routard de Robinette, rompu à toutes les palinodies, s’est laissé piéger par une question simple : « Est-ce que ça va fonctionner ? ». Réponse : « On ne le saura pas avant très, très longtemps ».
Comme d’ici là il sera mort, il échappera à l’opprobre pour avoir dilapidé les deniers publics. Quant à la dinde des Indes, on l’aura oubliée depuis longtemps…
C’est reparti pour le pétrole, même si on n’oublie pas le gaz et le lithium
En bon capitaliste, Donald sait que la diversification accroît la valeur d’un portefeuille. Les cours dépendent des fluctuations de l’offre et de la demande. Pas des décrets pondus par des fonctionnaires sclérosés qui ne sauraient pas gérer la supérette de mon village. Parce que le concept de recettes nécessairement supérieures aux dépenses leur est étranger. Pour eux, c’est l’État qui doit raquer pour combler tous les déficits.
La dictature du tout électrique ne touche qu’un petit nombre de ripoubliques bananières comme le Francistan, le Bochistan et le Nordistan à l’économie à la dérive, aux dirigeants dégénérés et aux populations trop pleutres pour se révolter.
Avec Trump aux commandes, on va recommencer à forer à tout va. Pourquoi se priver bêtement du pétrole et du gaz de schiste disponibles sur place, pour enrichir les Arabes ? On sait maintenant pratiquer des fracturations hydrauliques sans gros dommages. Interdites en France pour ne pas nuire aux émirs du pétrole si généreux avec certains de nos politicards.
« Nous avons plus d’or liquide que n’importe quel pays dans le monde. Plus que l’Arabie saoudite ou la Russie », s’est félicité l’ancien-nouveau Président dans son discours de victoire. (En fait, les réserves russes sont supérieures. Mais l’extraction est plus facile et plus rentable au Montana, au Colorado, au Texas et en Californie qu’en Sibérie.)
Conséquence immédiate sans attendre l’investiture de Trump en janvier, la voix des délégués américains à la COP29, qui s’ouvre en Azerbaïdjan, sera inaudible. Risqueront-ils leur carrière en se cramponnant à leurs lubies ? Ou auront-ils l’intelligence de rester discrets, en attendant d’être remplacés, spoil system oblige. Avec une chance de se refaire ensuite…
Le GIEC et les écolos chauffent les oreilles de Donald
Les écolos c’est qui ? C’est quoi ? Aux USA comme en France, cette secte attire des minus au profil bien défini. Soit des personnes dont l’éducation a souffert de lourdes carences, et qui ont intégré quelques foucades à la mode pour se donner l’air intelligent. Soit des imbéciles instruits. Qui ont pompé comme des éponges un fatras de connaissances auxquelles ils n’ont rien compris, et qu’ils sont incapables de relier entre elles. Adorateurs de cas sociaux comme Greta la gratteuse.
Regardez leurs gueules d’enfarinés, écoutez leurs discours décousus, vous conviendrez que ces nuisibles irresponsables ne devraient pas avoir leur place dans les circuits décisionnels. Ce sont des complexés avides de reconnaissance sociale. Qui savent prostituer leur maigre capital électoral. C’est leur unique compétence.
Et si encore, ils se limitaient au domaine de l’écologie radicale. Mais ils en débordent outrancièrement. Un écolo Nouvelles Normes n’en a rien à cirer de la nature, de l’environnement et de la pollution. Il défend les espèces dites menacées mais ne s’émeut guère de la disparition programmée, par Grand remplacement, des leucodermes.
Du moment qu’il convoie des clandestins, défend des délinquants, offre son cul à des allogènes, détourne des subventions au profit de voyous et de squatters, finance des mosquées et arrache les sapins de Noël, sans oublier de remplir sa gamelle au passage, son agenda est à jour !
L’horreur absolue ! Trump a remis ouvertement en doute la réalité du réchauffement climatique pendant sa campagne !
Les discussions orientées, les infos biaisées, les faux experts, les débats arrangés n’ont pas réussi à le présenter comme le coupable de la fin du monde. En plus de tout ce qu’on lui reproche par ailleurs.
Il a réussi, malgré l’insistance lourdingue des journaleux-faussaires, à évacuer des débats et des sujets d’actualité, le prétendu réchauffement climatique. Donald est ouvertement climato réaliste depuis longtemps, et favorable aux énergies fossiles. Tant qu’on ne maîtrisera pas la fusion nucléaire (à ne pas confondre avec la fission) et que la sphère de Dyson restera du domaine de la science-fiction. Peut-être la science et la technologie de demain, mais en attendant, on doit faire avec ce qu’on a.
Le retour de Trump à la Maison-Blanche devrait marquer (on l’espère !) un virage à 180 degrés dans la politique environnementale et climatique des USA mise en place par le grabataire Biden et que la dinde Harrissa aurait continué, sans se poser la moindre question.
Deux microcéphales qui avaient l’incroyable prétention de contrôler les éruptions solaires, l’ellipse de la terre et les oscillations de notre planète sur son axe pour stopper un léger réchauffement climatique, fini depuis 15 ans, et dont ils attribuent l’origine aux activités humaines. Comme tous les perroquets et les perruches qui regardent trop la télé.
Les pleureuses rappellent le sort réservé à l’accord de Paris
À la fin de son premier mandat, Donald avait retiré les États-Unis de l’accord de Paris sur le climat, tarte à la crème des gauchistes depuis 2015, avant que Joe le gâteux ne le réintègre en 2021. Mais à la différence des Froggies pour qui les conventions léonines sont éternelles, les Ricains savent qu’un État souverain peut toujours dénoncer un traité qui lui est défavorable.
Trump pourra (on l’espère !) virer ça à nouveau, dès son retour à la Maison-Blanche le 20 janvier, ce qui rendrait le retrait des USA effectif en janvier 2026. Théoriquement. Mais en pratique avant. En coupant les vivres à cette bande de jean-foutre. Comme pour l’Ukraine. Il suffit de fermer le robinet à dollars pour ramener les énergumènes à la raison.
Dans le cadre de cet accord, le grabataire et sa dinde fourrée s’étaient engagés à réduire de moitié d’ici à 2030 les émissions de gaz à effet de serre au main land. Favorisant la concurrence industrielle de la Chine et de l’Inde qui ne sont pas soumises aux mêmes diktats.
Avec bien entendu une lourde bureaucratie d’accompagnement. Une spécialité des progressistes, parasites improductifs, avec la propension à claquer le pognon qu’ils n’ont pas gagné. Le pandémonium habituel. Des pseudo-experts, des professeurs Tournesol à la ramasse, de contrôleurs et des inspecteurs du néant, et des pères fouettards pour menacer les récalcitrants. Profitez-en encore pendant deux mois, bande de pourris ! Après, il faudra vous serrer la ceinture et vous trouver un autre job.
Trump a promis d’annuler les oukases démocrates visant à accélérer le passage à la voiture électrique. Que la loi de la libre concurrence s’applique ! Pour les automobiles fabriquées aux USA, s’il y a des happy few pour qui ce signe extérieur de richesse est valorisant, tant mieux pour les affaires de son ami Elon. Mais on ne subventionnera plus le choix des bobos en puisant dans la poche des contribuables.
Par contre, pour empêcher le dumping, on doublera les taxes d’importation pour les chinoises. Dès l’annonce de la victoire de Donald, l’action Tesla a bondi de 15 %. Ce n’est sûrement pas un hasard.
Diverses normes récentes, notamment sur les limites aux émissions de CO2 des usines de la « rust belt », pourraient être annulées sans passer par le Congrès puisqu’elles dépendent de décisions locales. Là où les Républicains ont remporté presque partout les élections. Mais les Démocrates, toujours respectueux des électeurs, ont annoncé qu’ils combattraient la vox populi devant les tribunaux.
Christian Navis
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