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« Réchauffement climatique » : Démêler le vrai du faux dans le discours médiatique

 
le 17/11/24
 lemediaen442

Pour tous les grands thèmes abordés par les médias officiels et mis sous le nez d’un public regardant la télévision et/ou écoutant la radio, nous nous rendons compte qu’il ne s’agit pas ouvertement d’un mensonge, mais plutôt d’un discours où une partie manque à la balance.

Pourquoi les médias oublient-ils de mentionner que le réchauffement médiéval a permis l’évolution des modes de vie et que la mortalité due au froid est supérieure à celle due à l’excès de chaleur ?

Le premier élément manquant irréfutable, c’est d’oublier de replacer la Terre qui nous porte dans l’Univers et son environnement cosmique. En effet, c’est un raccourci présomptueux de penser l’homme si influent dans ce milieu sans limites et autonome. Ces manquements entraînent la conséquence que le raisonnement, s’il y en a encore un, ne peut être que naturellement faussé. Quand d’autres personnes apportent un tableau resitué par une analyse scientifique, composée aussi de doutes sur la situation, l’interprétation en change carrément, si encore le public ose enlever ses œillères.

Réchauffement climatique, l’alarmisme politico-médiatique est-il justifié ?

Eric Verrecchia est professeur émérite de biogéochimie à l’Université de Lausanne, en Suisse. Il est également géographe-physicien, géologue et spécialiste du carbone. Un regard exhaustif est posé sur la situation, de l’analyse des données du passé jusqu’à celles d’aujourd’hui, en passant par les prévisions calculées par le modèle du GIEC, ainsi qu’un bref schéma sur le fonctionnement de cet organisme.

Cet entretien recontextualise de nombreuses données et les expose en relatif. De plus, il va à contre-courant de la notion de culpabilité de vivre, que l’instrumentalisation et la politisation du climat tenteraient de nous faire ressentir. Sur les questions précisément de l’instrumentalisation du climat, notre invité reste prudent dans ses réponses. L’auditeur averti reconnaîtra de quoi il en retourne précisément, comme avec l’agenda du W.E.F et de ses acolytes.

Enquête sur un mensonge mondial :

Mike Borowski de Géopolitique Profonde reçoit Alban D’Arguin pour une analyse au sens large. Pour rappel, ils abordent le trou dans la couche d’ozone, les différents cycles de température, souvent ignorés, comme le réchauffement durant le Moyen Âge, qui a permis l’évolution des modes de vie grâce à l’abondance. Le recul des agriculteurs en lien avec la terre est également abordé. Ces derniers se souviennent de leurs propres expériences ou de celles de leurs parents et grands-parents, citant des années particulièrement sèches.

 

Climat et CO2 : décryptage d’une manipulation :

La chaîne TVL reçoit Jacques-Marie Moranne, ingénieur centralien et conférencier sur la physique du climat.

Il nous apporte des informations sur l’analyse du climat, notamment sur la température moyenne qui augmente de 1,2°C tous les 100 ans, sur les cycles de températures répétés environ tous les 1000 ans, le dernier étant le réchauffement médiéval et sa période faste, sur la période froide post-Seconde Guerre mondiale observée, où effectivement, il y a eu un réchauffement depuis, sur l’analyse des carottes glaciaires et le CO2 dont l’augmentation serait due à l’élévation de la température et non l’inverse (observation identique pour le méthane), ainsi que sur l’impact du CO2 sur la vie et son importance.

Il fait en moyenne 5°C de plus à Marseille par rapport à Dunkerque. Y a-t-il pour autant une migration des populations vers le Nord ? En observant le flux migratoire à chaque période estivale, nous avons une idée de l’orientation naturelle entre le chaud et le froid. D’ailleurs, les statistiques mondiales démontrent que la mortalité due au froid est supérieure à celle due à l’excès de chaleur, et ce, même dans les pays chauds où il peut subsister des épisodes froids.

 

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