Curieusement, comme s’ils avaient honte de publier un verdict aussi honteux, aucun média lyonnais n’a relayé l’information donnée par Riposte Laïque, informant nos lecteurs que l’enseignant de Bourg-en-Bresse avait été condamné à 4 mois de prison avec sursis. Il était accusé, suite à une plainte du maire socialiste Jean-François Debat, d’avoir incité à la haine les Français contre les musulmans, pour avoir placardé plusieurs affiches montrant que sur des domaines comme la paix, la liberté, l’égalité ou la fraternité, l’islam n’était pas compatible avec la France. La Licra s’était portée partie civile, et l’enseignant avait même été arrêté et menotté sur son lieu de travail. Un scandale absolu.
Si les médias avaient couvert le procès, aucun n’a commenté le verdict.
Nos amis de Résistance républicaine, par la plume de Christine Tasin, avaient pourtant exprimé leur indignation devant un tel verdict.
Dans sa vidéo du jour, Pierre Cassen avait même évoqué des pratiques dignes d’un tribunal islamique, s’appuyant sur la liberté d’expression autorisée dans les pays musulmans, où chaque phrase doit être compatible avec la charia.
https://ripostelaique.com/lyon-4-mois-de-prison-pour-un-prof-qui-na-pas-applique-la-charia.html
La présidente du tribunal qui a prononcé une telle sentence – contre laquelle l’accusé a fait appel – se nomme Brigitte Vernay. Avant d’être nommée à Lyon, elle officiait dans le Jura, où, selon les médias locaux, elle faisait l’unanimité.
À Lyon, elle s’est distinguée dans le très médiatisé procès Barbarin, qu’elle a fait condamner à 6 mois de prison avec sursis pour ne pas avoir dénoncé aux autorités un prêtre, qui certes avait avoué avoir eu des comportements coupables avec de jeunes garçons avant les années 1990, et qui s’était amendé depuis. Une histoire ancienne de 25 ans, donc. L’acharnement mis pour détruire le cardinal Barbarin est intéressant à observer quand on voit la complaisance qui existe dans l’Éducation nationale, les milieux politiciens et le show biz sur des affaires bien plus sordides. Humiliation pour le juge Brigitte Vernay, la Cour d’appel de Lyon avait cassé sa condamnation, relaxant le cardinal Barbarin. Mais en France, les magistrats ne subissent pas les conséquences, en première instance, d’un désaveu de la Cour d’appel, ce qui est une curieuse conception de la justice. Dans de nombreux autres secteurs de la société, ce qui s’apparente à une faute professionnelle est impitoyablement sanctionné, surtout chez les policiers, et les juges sont souvent à la manœuvre. Mais pour eux, c’est impunité totale !
https://www.lyoncapitale.fr/actualite/lyon-barbarin-condamne-recit-dune-journee-historique
Par contre, si elle s’est montrée acharnée contre le cardinal Barbarin, la juge Brigitte Vernay s’est montrée bien plus clémente avec le recteur de la mosquée de Lyon, Kamel Kabtane. Certes, personne ne s’attendait à ce que elle, si sensible à la pédophilie quand elle vient des catholiques, interroge le recteur sur le fait qu’il demande à tous ses coreligionnaires d’imiter le beau modèle, Mahomet, sachant que ce dernier avait, à 53 ans, épousé Aïcha, âgée de 6 ans, et avait consommé le mariage à l’âge de 9 ans. Un juge curieux aurait pu lui demander s’il ne faisait pas, de manière consciente ou pas, l’apologie de la pédophilie quand il se promenait avec un livre demander d’imiter un prophète au comportement pédophile. Mais la juge Brigitte Vernay, si elle sait se montrer audacieuse et impitoyable avec un cardinal catholique, sait être plus prudente avec un recteur musulman. Pourtant, ledit Kamel Kabtane avait délibérément transgressé la loi, en pleine période du covid, profitant des restrictions de liberté de déplacement pour lancer, depuis sa mosquée, un grand appel au muezzin, à la prière musulmane, essayant ainsi d’imposer encore davantage l’islam, de manière sonore, à la population lyonnaise. Et effectivement, le recteur, suite à cette action, se retrouvera bien devant le tribunal présidé par Brigitte Vernay… mais comme accusateur ! En effet, indignés par cette offensive, des jeunes militants de Génération Identitaire avaient protesté sur les réseaux sociaux, avaient accusé Kabtane, qui n’était pas à son coup d’essai, de vouloir islamiser la France – ce qui est le rôle de tout bon musulman – et avaient réclamé son expulsion. Dans l’esprit des juges, souvent de gauche, une telle requête signifie que les militants patriotes ont incité à la haine contre le paisible recteur. Donc, alors que le délinquant – qui a créé un délit – était le recteur, ce fut, en toute logique avec la justice vue par Dupond-Moretti et ses juges, les jeunes militants qui furent condamnés à 4 mois de prison avec sursis et à 5 000 euros d’amende, quand le pauvre Kabtame, qui naturellement pleurnichera et se dira blessé, s’en sortira sans la moindre sanction.
Autre verdict surprenant de la juge Brigitte Vernay, l’étonnant complaisance, habillée bien sûr d’alibis juridiques des plus douteux, pour un commando de sept militants antifas, donc certains issus de la diversité, qui avaient courageusement massacré, y compris au sol, trois militants de Civitas pendant plusieurs minutes. Les faits paraissaient pourtant incontestables, mais trois militants, sur décision de la présidente du tribunal, sortiront libres du tribunal, sans la moindre sanction, les quatre autres étant condamnés à des amendes dérisoires. Bien sûr, la centaine de supporters antifas acclama ce verdict de la présidente Vernay, qui, parmi les prétextes utilisés pour annuler la procédure, expliquera que les réquisitions de téléphonie constituaient une violation de la vie privée disproportionnée avec les faits. On connaît de nombreux patriotes, y compris dans cette rédaction, qui vont s’étrangler d’indignation quand on sait ce qu’ils ont subi, sans la moindre réaction des juges…
https://lesalonbeige.fr/la-justice-protege-les-milices-antifas/
On ignore par contre si c’est la juge Brigitte Vernay qui officiait quand deux militants patriotes lyonnais, qualifiés bien sûr d’extrême droite, seront jugés en comparution immédiate, suite à une bagarre jugée raciste parce que les belligérants paraissaient avoir le profil de la racaille antifa, et que cette fois, ils sont tombés sur plus fort qu’eux. Toujours est-il que Sinisha Milinov, patriote d’origine serbe, a dû se poser des questions quand il a été condamné, sur la confiance qu’on doit avoir quant à la justice de notre pays, qui est bien sûr rendue au nom du peuple français…
Par contre, sur un autre dossier, la juge Vernay fit également l’unanimité, mais contre elle, par une autre sentence tout aussi ahurissante. Deux militantes écologistes, Sophie Brodt et Ilona Jelic , avaient vandalisé un tableau de Monet pour défendre la planète menacée. Convoquées devant le tribunal judiciaire de Lyon, elles avaient transformé le tribunal en tribune politique. Malgré la gravité de l’acte, le procureur de la République Alain Grellet avait réclamé une ridicule peine de deux mois avec sursis à leur encontre. Quant au maire de Lyon, l’écolo Doucet, pourtant victime du préjudice, il ne demanda qu’un seul euro de dommages et intérêts, alors que les frais de restauration s’élevaient à 2000 euros. Mais c’était sans doute encore trop pour la vaillante présidente Vernay, qui décida donc de relaxer purement et simplement les deux vandales écolos, argumentant que les preuves établies n’étaient pas assez solides. Pourtant, elles s’étaient fait prendre en photo, de manière très satisfaites d’elles-mêmes, et avaient fait circuler les images abondamment sur les réseaux sociaux.
Et donc, dernier exploit de cette magistrate, la condamnation à 4 mois de prison, même avec sursis, contre un enseignant lanceur d’alertes sur l’islam. Devant une telle disparité de jugements, dans un pays où le slogan « Liberté, égalité, fraternité » est gravé sur toutes les mairies, on est en droit de se demander si la juge Brigitte Vernay ne serait pas adhérente du Syndicat de la magistrature, ce qui expliquerait nombre de ses verdicts partisans difficilement justifiables.
Martine Chapouton
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