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Angleterre : Tommy Robinson toujours en prison pour avoir osé dire la vérité sur les crimes de l’immigration

Angleterre : Tommy Robinson toujours en prison pour avoir osé dire la vérité sur les crimes de l’immigration

En octobre, le militant identitaire britannique Tommy Robinson avait été condamné à 18 mois de prison ferme, après la violation d’une décision de justice lui interdisant de répéter des propos diffamatoires envers un réfugié syrien.

Il est en prison pour avoir donné une autre version d’une affaire de harcèlement d’un jeune réfugié syrien qui avait été tabassé par un jeune blanc dans une vidéo qui avait fait le tour des réseaux. Alors que le lycée en question recevait des menaces contre ce jeune blanc, Robinson a affirmé que le jeune syrien, Jamal, n’était pas si innocent, et qu’il avait menacé la soeur du jeune. Or, et c’est là le problème, Robinson n’a jamais pu le démontrer car tous ses témoins, corroborant sa version, ont refusé de parler à visage découvert, tétanisés par la vague de terreur islamiste. Robinson s’est retrouvé seul à maintenir ses propos, envers et contre tout. Le tribunal lui interdisant de propager sa version, il a continué et a été condamné à 18 mois de prison.

Cofondateur en 2009 d’un groupe issu de la mouvance hooligan l’English Defence League (Ligue de défense anglaise), il a reçu le soutien d’Elon Musk, qui a demandé sa libération, mercredi 1er janvier :

« Pourquoi Tommy Robinson est-il en isolement pour avoir dit la vérité . Il devrait être libéré et ceux qui ont dissimulé cette tragédie devraient prendre sa place dans cette cellule. »

En France, Sarah Knafo a écrit sur X :

« Tommy Robinson se bat pour son pays. Son pays l’enferme. Les peuples occidentaux doivent enfin choisir des dirigeants qui les aiment. Cela se produira partout. »

Marion Maréchal s’est fendue d’un « Free Tommy Robinson ». Le  chef néerlandais du Parti de la liberté (PPV) Geert Wilders a tweeté la même chose.

Sur X, Elon Musk a évoqué cette affaire d’exploitation sexuelle durant plusieurs décennies de plus de 1 500 jeunes filles à Rotherham, dans le nord de l’Angleterre. La plupart des responsables étaient des hommes originaires du Pakistan et les autorités ont été mises en cause pour ne pas avoir pris la mesure de cette affaire :

« Au Royaume-Uni, des crimes graves comme le viol nécessitent l’approbation du service du procureur (CPS) pour que la police puisse inculper les suspects. Qui était à la tête du CPS lorsque des gangs de violeurs ont pu exploiter de jeunes filles sans avoir à faire face à la justice? Keir Starmer (l’actuel Premier ministre, ndlr) ».

L’affaire des gangs pédophiles pakistanais est un sordide cas d’école sur la manière dont nous abdiquons toute analyse sociologique, dès lors que celle-ci heurte le politiquement correct. Les services britanniques étaient au fait de la surreprésentation de pédophiles d’origine pakistanaise dans des organisations visant en particulier des jeunes filles blanches. Or, ces services ont préférer le “pas de vague” à la poursuite de ces gangs. Il a fallu la pression de ces affreux réseaux sociaux pour lever les tabous et mettre les responsables politiques et médiatiques devant leurs défaillances. Nos gauchistes, qui dissertent volontiers sur le racisme systémique et la culture du viol, peinent toujours à envisager que ces vices puissent être décuplées dans un certain nombre de cultures arriérées. Le Pakistan, pays musulman exposé à l’influence du déobandisme (l’une des pires sectes de l’islam sunnite), figure en bas de tous les classements relatif aux droits des femmes et des filles. Il est aussi dans le top 7 des pays qui comptent le plus de mariages forcées de filles mineures.

Les médias britanniques, désormais obligés d’évoquer ce scandale, évoquent des gangs asiatiques, afin d’éviter de mentionner le caractère islamique des prédateurs.

Lord Pearson, ancien dirigeant de l’UKIP, a déclaré à la Chambre des Lords :

« 250 000 jeunes filles britanniques blanches ont été violées au cours des 25 dernières années, en grande partie par des hommes musulmans. »

https://lesalonbeige.fr/angleterre-tommy-robinson-toujours-en-prison-pour-avoir-ose-dire-la-verite-sur-les-crimes-de-limmigration/

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