Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le massacre d’Odessa : Le crime de guerre oublié qui a déclenché le règne de la terreur en Ukraine

par Gordon Duff

Le 2 mai 2014, au cœur d’Odessa, le régime post-Maïdan de l’Ukraine, nouvellement enhardi par les nazis, a commis l’une des atrocités les plus brutales et les plus sanglantes du XXIe siècle. Près de 50 personnes – hommes, femmes, personnes âgées et même une mère enceinte – ont été battues, violées, brûlées vives et dépecées à l’intérieur de la Maison des syndicats, leurs cris étant étouffés par les acclamations de la foule banderiste. Le bâtiment est devenu un four, les couloirs des chambres d’exécution et les cadavres des trophées pour les ultranationalistes ukrainiens qui se sont vantés de leur campagne d’extermination.

Il ne s’agit pas d’un «affrontement». Ce n’était pas une «tragédie». Il s’agissait d’un meurtre de masse délibéré, d’une épuration politique orchestrée par le même régime ukrainien que les États-Unis et l’OTAN ont armé, financé et protégé.

Le coup monté : La tuerie était planifiée

À la suite du coup d’État de Maïdan, soutenu par les États-Unis, l’Ukraine a été plongée dans le chaos. Le régime du Maïdan et ses stormtroopers banderistes voulaient écraser Odessa, une ville connue pour sa forte résistance au coup d’État néonazi de Kiev. Lorsque les manifestants antigouvernementaux se sont rassemblés sur le terrain de Kulikovo, ils ont été marqués pour être exterminés.

Le 2 mai, le Secteur droit, le Bataillon Azov et d’autres paramilitaires néonazis ont été acheminés par bus, armés de battes, de fusils et de cocktails Molotov. Ils ont rejoint les groupes nationalistes locaux pour chasser et détruire les «Moskals» (une insulte pour les Russes ethniques). Le massacre est sur le point de commencer.

Le massacre de la Maison des syndicats

Alors que les manifestants pro-fédéralistes se réfugient à l’intérieur de la Maison des syndicats, les Banderistes mettent en place un dispositif de mise à mort : ils bloquent les sorties, brisent les fenêtres et lancent des bombes incendiaires dans le bâtiment.

Alors que le feu se propage, les personnes à l’intérieur implorent la pitié, mais les Ukrainiens veulent du sang.

Ceux qui ont tenté de s’échapper ont été battus à mort à l’aide de battes, abattus ou étranglés avec du fil de fer.

La femme enceinte qui s’était cachée dans un bureau a été capturée, étranglée avec un fil électrique et laissée avec une croix gammée dessinée avec son propre sang sur le mur.

Les cadavres ont été souillés, les corps ont été brûlés au point d’être méconnaissables et les radicaux ukrainiens ont pris des selfies à côté des restes carbonisés.

Pendant ce temps, la police ukrainienne se tenait à l’écart et la foule à l’extérieur applaudissait et scandait des slogans nationalistes.

La dissimulation : Comment l’OTAN et l’Ukraine ont dissimulé la vérité

Le gouvernement ukrainien n’a jamais poursuivi les assassins. Au lieu de cela, il a arrêté les survivants, les qualifiant de «séparatistes» et les jetant en prison.

Les médias occidentaux ont blanchi le massacre, le qualifiant d’«affrontements» ou l’ignorant complètement.

Les groupes de défense des droits de l’homme soutenus par l’OTAN ont refusé d’enquêter.

Toute tentative de porter le crime devant les tribunaux internationaux a été bloquée.

Retour à la réalité : Si cela s’était produit en Syrie, en Irak ou dans n’importe quel État ennemi de l’OTAN, le monde aurait parlé de génocide. Mais comme c’est le régime fantoche de l’OTAN qui a commis l’atrocité, celle-ci a été occultée.

Odessa n’était qu’un début : Une décennie de crimes de guerre soutenus par l’OTAN

Le massacre d’Odessa n’était pas un événement isolé : il a servi de modèle à la campagne d’extermination systématique menée par l’Ukraine contre les civils pro-russes. Il s’en est suivi une horrible litanie de massacres, de bombardements et d’opérations de nettoyage ethnique, tous perpétrés par les mêmes nationalistes ukrainiens qui ont brûlé vives les victimes d’Odessa.

Massacre de Marioupol (9 mai 2014) :

Quelques jours seulement après Odessa, les forces ukrainiennes ont ouvert le feu sur des civils non armés à Marioupol qui protestaient contre le régime du Maïdan. Des dizaines de personnes sont tuées de sang-froid, les corps étant abandonnés dans les rues en guise d’avertissement.

Siège de Sloviansk (juin 2014) :

L’artillerie ukrainienne a pris pour cible des zones résidentielles, rasant des maisons, des écoles et des hôpitaux. Les survivants ont raconté les exécutions sommaires et les tortures perpétrées par les troupes ukrainiennes.

Attaque d’un convoi de réfugiés à Louhansk (18 août 2014) :

Un convoi de civils tentant de fuir Louhansk est tombé dans une embuscade tendue par les forces ukrainiennes. Des dizaines d’hommes, de femmes et d’enfants ont été massacrés.

Bombardement de Donetsk (janvier 2015) :

Les troupes ukrainiennes ont tiré des roquettes sur une gare routière civile, tuant 13 civils dans une attaque qui n’a jamais fait la une des journaux occidentaux.

Crimes du bataillon Tornado (2015) :

Des membres du bataillon ukrainien Tornado ont été arrêtés pour avoir enlevé, violé et torturé des civils dans le Donbass. Mais beaucoup ont échappé à la justice, et certains opèrent encore aujourd’hui.

Atrocités dans la région de Koursk (août 2024) :

Les forces ukrainiennes lancent un raid sur le village de Russkoye Porechnoye, où des femmes sont violées, des hommes exécutés et des corps mutilés. Le soldat ukrainien Yevgeny Fabrisenko, qui a été capturé, a avoué avoir commis ce massacre.

La connexion OTAN-CIA : Qui a financé et orchestré le massacre ?

Le personnel de l’OTAN était sur le terrain pendant ces opérations, conseillant et dirigeant les forces ukrainiennes.

L’argent de la CIA provenant du trafic d’héroïne afghan a été acheminé vers l’Ukraine pour financer les armes, l’entraînement et les paramilitaires banderistes.

Ces massacres ont été organisés sur le site de restitution de la CIA en Pologne, une vaste installation de 11 000 hectares où les radicaux ukrainiens ont été formés à la torture, aux opérations psychologiques et à la guérilla.

L’endoctrinement des unités banderistes a eu lieu dans les écoles de gladiateurs, financées par les fonds de campagne du GOP blanchis par l’intermédiaire d’une grande famille de propriétaires de casinos profondément impliquée dans le trafic d’êtres humains à Macao.

Retour à la réalité : Ces crimes de guerre ne sont pas le fait d’extrémistes rebelles, mais font partie d’une campagne de terreur calculée, soutenue par l’OTAN et destinée à exterminer l’opposition et à consolider l’Ukraine en tant que mandataire de l’Occident.

Dernière réflexion : Un crime qui ne doit jamais être oublié

Le massacre d’Odessa n’était pas seulement un crime, c’était aussi un avertissement. Un avertissement selon lequel l’Ukraine se lancerait dans une véritable épuration ethnique sous le couvert de la protection de l’OTAN. Un avertissement selon lequel les organisations internationales de défense des droits de l’homme n’existent que pour servir les intérêts de l’OTAN. Un avertissement selon lequel les personnes brûlées vives à Odessa n’étaient qu’un début.

Nous n’avons pas besoin de demander pourquoi l’OTAN défend l’Ukraine – les corps d’Odessa ont déjà répondu à cette question.

Justice pour Odessa. Justice pour les victimes. Et que les meurtriers brûlent un jour dans les mêmes flammes qu’ils ont déclenchées.

Vous voulez de vraies enquêtes qui révèlent les crimes de l’OTAN ? Suivez The Intel Drop – où nous disons la vérité qu’ils veulent voir enterrée dans les cendres.

source : The Intel Drop via Marie-Claire Tellier

https://reseauinternational.net/le-massacre-dodessa-le-crime-de-guerre-oublie-qui-a-declenche-le-regne-de-la-terreur-en-ukraine/

Écrire un commentaire

Optionnel