La semaine qui vient de s’écouler a été particulièrement spectaculaire, quant à l’activisme des milices de gauche. Non contentes d’avoir poussé les bobos de gauche parisiens à descendre dans la rue pour « fêter » la mort de Jean-Marie Le Pen, elles ont, dans la meilleure tradition révolutionnaire, détruit la tombe du fondateur du Rassemblement national, à coups de masse. Certains diront qu’il n’y a aucune preuve, mais qui d’autre qu’un gauchiste peut agir ainsi ? On remarquera que pas un dirigeant de gauche n’a protesté, et que le gouvernement est resté bien discret. L’excellente Marion Maréchal, suite à cet acte, pointe du doigt la vraie nature de la gauche, et s’interroge, dans Le Journal du Dimanche, pour savoir si nous sommes encore un peuple.
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2025/02/02/sommes-nous-encore-un-peuple-6533650.html
En rendant son tablier, le procureur de Grenoble a eu cette phrase terrible : « L’ultragauche, c’est un attentat tous les six mois en moyenne ». Pourquoi ne l’a-t-il pas dit avant ? En tous cas, aucune réaction dans la presse, ni du maire Piolle, ni chez les députés de gauche, ni chez les ministres.
Cette semaine, les milices de gauche se sont également distinguées en allant vandaliser l’Ecole supérieure de Journalisme de Paris, coupable d’être financée, entre autres, par Vincent Bolloré, mais surtout aussi de former des journalistes qui échappent au moule de la gauche.
Dans un autre registre, elles se sont permis, une nouvelle fois, d’aller dégrader l’école de Marion Maréchal, l’ISSEP, à Lyon, coupable de former de futurs cadres de la Nation dans un registre qui n’est pas tout à fait de gauche.
Dans un registre différent, des chercheurs d’extrême gauche se mobilisent contre une entreprise de chercheurs, la Cirad, accusée d’avoir un léger financement de la part de Bolloré, toujours lui. Au lieu de trouver quelque chose, ce pour quoi ils sont payés, voilà la principale préoccupation du militant politique d’extrême gauche déguisé en chercheur.
https://reporterre.net/A-Montpellier-ces-chercheurs-ne-savaient-qu-ils-etaient-finances-par-Bollore
Bien évidemment, les miliciens d’extrême gauche sont en première ligne au CNRS, qui coûte juste 2,9 millions d’euros au contribuable, pour planquer d’autres militants politiques toujours déguisés en chercheurs. Ils ont décidé à présent, avec la complicité de Thierry Breton et la bienveillance du gouvernement, d’obliger tout le monde à quitter X-Twitter, et balancent les noms, sur les réseaux sociaux, de leurs petits camarades qui ne l’ont pas encore fait.
Mais les milices d’extrême gauche ne se contentent pas de traquer les activités de Vincent Bolloré, elles ont également décidé de surveiller les fréquentations politiques de certains commerçants qui exercent sur les marchés, en Anjou, et d’amener 60 nervis pour terroriser la population et dissuader les habitants de leur commander de la viande.
Au Vigan, notre ami Daniel Pollett nous parle, ce jour, d’autres milices d’extrême gauche qui se sont opposés à ce que les vœux du député local se déroulent dans une salle municipale, appelée « Raymond Aubrac ». Sans surprise, la municipalité s’est couchée et a proposé une autre salle au député, qui a été taguée. Et bien sûr, de nombreux invités, par peur des violences, ne se sont pas déplacées.
On ne compte plus par ailleurs les agressions contre des opposants politiques, contre les policiers, contre les gendarmes, les contre-manifestations, les interdictions d’accès à des salles, les vandalisations de restaurants ou de salles municipales, les centres-villes saccagés, de cette clique de miliciens protégée par le pouvoir.
Cela ne rend que plus scandaleuse la dissolution de Génération Identitaire, en 2021, par Darmanin. Rappelons que ces jeunes patriotes n’ont jamais brûlé de voitures, ni de poubelles, détruit de vitrines, agressé d’opposants politiques, ils n’ont fait que mener des actions politiques exemplaires, sans violence, pour réveiller la société française assoupie par l’endoctrinement des médias, et mettre en avant des questions vitales pour l’avenir de notre pays.
L’opération menée sur le toit de la mosquée en construction de Poitiers était exceptionnelle, en terme d’efficacité militante, en montrant la symbolique de Poitiers, et le fait que ce n’était pas neutre de construire une mosquée dans la ville où Charles Martel a chassé les Arabes, nous évitant, comme l’Espagne, sept siècles de colonisation musulmane.
Demander que les aides sociales soient réservées aux Français, en déployant une banderole sur le toit de la CAF, n’est porteur d’aucune violence, mais envoie un message politique clair au gouvernement, aux Français aussi…
Dénoncer, en pleine période de folie « Blacks Lives Matter », le racisme anti-blancs en déployant une banderole, devant 20.000 gauchistes et racailles, sur la place de la République, fut là aussi une opération exceptionnelle.
Envahir les locaux de SOS Méditerranée et dénoncer la complicité de cette officine dans l’invasion migratoire de la France et le trafic d’êtres humains qui l’accompagne fait également honneur au militantisme de ces jeunes patriotes.
Mais bien sûr, ce qui marquera les esprits sera l’incroyable action menée au col de l’Echelle, montrant la porosité de la frontière franco-italienne. Une action exemplaire, qui sera jugée comme un camouflet par l’Etat français, qui ne pardonnera pas l’audace et la réussite d’une telle entreprise.
On sait que de manière obsessionnelle, Jean-Luc Mélenchon (qui a fait de la racaille gauchiste, spécialiste des agressions à dix contre un, Raphaël Arnault, un député de la République) a demandé à de multiples reprises la dissolution de Génération Identitaire. Les traîtres à la cause juive que sont les juifs de gauche de la Licra ont fait de même, alors que le véritable antisémitisme sévit à l’extrême gauche, et absolument pas dans les rangs des identitaires.
Et il s’est trouvé un minable ministre de l’Intérieur, qu’on dit de droite, et qu’on présente comme un ancien de l’Action française, assez lâche, mais aussi assez soumis, pour donner suite à cette demande, tout en continuant à foutre une paix royale aux miliciens d’extrême gauche qui terrorisent les Français qui ne pensent pas comme eux.
Le menteur d’État Darmanin, qui a un bilan catastrophique comme ministre de l’Intérieur, qui a menti au monde entier sur les incidents graves du Stade de France, qui a caché l’identité des émeutiers, suite à la mort de la racaille Nahel Merzouk, en faisant le coup des Kevin et Mattéo, sera à jamais marqué par cette infamie que constitue la dissolution de Génération Identitaire.
Ce renégat a même osé déposer plainte contre Riposte Laïque, se prenant un bouillon judiciaire monumental. Peut-être qu’à présent qu’il est garde des Sceaux, les juges lui donneraient satisfaction…
Et, histoire d’augmenter un CV déjà bien rempli, Moussa, à présent ministre de la Justice, soutient honteusement la caste des avocats, qui veut faire rendre gorge à Frontières, qui a mis un coup de pied dans la fourmilière de la mafia immigrationniste.
Espérons que, comme tous les traîtres, Moussa devra en répondre un jour de tous ses méfaits devant le peuple de France, quand un Trump français sera aux manettes.
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