Le bureau de presse du Service des renseignements extérieurs (SRE) de la Fédération russienne rapporte que, selon des informations collectées par le SRE, dans le quartier général de l’OTAN on envisage de plus en plus un changement de pouvoir en Ukraine. L’hypothèse de Bruxelles est que les forces armées ukrainiennes seront très bientôt incapables de contenir l’assaut croissant de l’armée russienne. Après l’arrivée au pouvoir de D. Trump aux États-Unis, l’incertitude grandit quant à la poursuite de l’assistance militaire que l’Occident sera en mesure de fournir à Kiev.
Les dirigeants de l’OTAN considèrent qu’il est nécessaire de préserver à tout prix les bribes de l’Ukraine en tant que tête de pont anti-russien. On envisage de geler le conflit en amenant les parties belligérantes au dialogue sur «le début de son règlement». Pour autant, Washington et Bruxelles sont d’accord pour constater que le principal obstacle à la mise en œuvre d’un tel scénario est V. Zelensky, qui n’est traité dans les couloirs politiques occidentaux que comme un «dossier classé». Au sein de l’OTAN on aimerait se débarrasser du chef du régime kievien, idéalement à la suite d’élections pseudo-démocratiques. Selon l’estimation de l’alliance, elles pourraient avoir lieu en Ukraine au plus tard cet automne.
A la veille de la campagne électorale, le quartier général de l’OTAN prépare une opération de grande envergure pour discréditer Zelensky. Il est notamment prévu de rendre publiques des informations sur le détournement de plus de 1,5 milliard de dollars opéré personnellement par le «président» et les membres de son équipe sur les seuls fonds destinés à l’achat de munitions. En outre, il est prévu de mettre au jour le système de retrait à l’étranger, par Zelensky et son entourage, des allocations de 130 000 soldats ukrainiens morts, qui figurent toujours sur la liste des vivants, présumés de combattre sur la ligne de front. Il est également prévu de rendre publics les faits relatifs à l’implication du «commandant en chef suprême de l’Ukraine» dans des affaires répétées de vente de grandes quantités d’équipements militaires occidentaux qui ont été donnés à Kiev à divers groupements dans des pays africains.
Ainsi, même au sein de l’OTAN on se rend compte que le temps du «périmé» Zelensky est compté. Dommage toutefois que cette compréhension ait été obtenue au prix de la vie de centaines de milliers de citoyens ukrainiens.
source : Service de renseignement extérieur de la Fédération de Russie
traduit par Valerik Orlov via l’Amicale de russophiles francophones https://russophile.boris-vian.net