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Patrick Cohen, modèle du journalisme dégénéré

Connaissez-vous Patrick Cohen ?

Nul doute qu’en matière de journalisme dégénéré, il représente l’un des plus tristes spécimens d’une profession naguère noble, aujourd’hui gangrenée par l’idéologie subversive et les errements d’une modernité délétère. Aveuglé par les dogmes du progressisme niveleur, il érige en vertu ce qui n’est que l’expression d’un sectarisme étroit, maniant avec une adresse perverse l’intolérance la plus odieuse et la perfidie la plus insigne. Ce triste personnage s’inscrit dans la longue lignée des fossoyeurs du bon sens national, préférant aux règles élémentaires du métier cette infâme déviation qui confond information et propagande.

Imprégné jusqu’à la moelle d’une subjectivité épaisse, il se vautre dans un charabia idéologique dont la lourdeur affligeante trahit la vacuité de sa pensée et la mauvaise foi crasse de son entreprise. Sous ses dehors faussement érudits, il n’est qu’un bateleur, un sophiste aux prétentions creuses que tout esprit un tant soit peu éclairé remettrait d’emblée à sa place, le contraignant au respect de la vérité et de l’impartialité que sa morgue méprisante bafoue sans vergogne.

https://www.youtube.com/watch?v=05_cbGguIK0

Patrick Cohen, issu des contrées urbaines du 9-3, n’a, à l’évidence, pas hérité des vertus et des qualités qui distinguent certains de ses contemporains originaires des mêmes lieux. Car enfin, si la naissance ne fait pas tout, il est permis de constater que l’homme, en ses errements médiatiques, n’a point su s’élever au-dessus de ses mesquines obsessions. Son ego boursouflé l’empêche de saisir la portée réelle de ses discours et le conduit invariablement à des amalgames douteux, à des insinuations indignes d’un homme qui se dit journaliste.

https://www.youtube.com/watch?v=sBktSGbKfWw

Et pourtant, que de signes avant-coureurs ! Ce rejeton d’une élite autoproclamée, trop heureux de se prévaloir d’un prestige frelaté, traîne derrière lui un sillage d’échecs qui en disent long sur son imposture. Recalé de Sciences Po, ce temple de la bien-pensance pourtant prompt à accueillir les siens, il n’en a tiré aucune leçon, pas plus qu’il n’a su tempérer son arrogance. Et que dire de sa lâche esquive du service national ? Plutôt que d’assumer un engagement, il se réfugie dans la simulation d’une folie feinte pour se soustraire à son devoir. Un homme d’honneur se serait déclaré objecteur de conscience, assumant jusqu’au bout les conséquences de ses convictions, mais de telles vertus sont étrangères à sa nature.

À l’image de ce triste sire qu’est Jean-Michel Apathie, il se vautre dans la calomnie et la diffamation, dénonçant ce qu’il nomme le complotisme tout en se faisant lui-même l’artisan du mensonge institutionnalisé. Dans une époque troublée où le peuple français aspire à la vérité et à la clarté, il s’acharne à dénigrer ceux qui, avec dignité et courage, portent à la connaissance du public des faits que l’on voudrait occulter. Son obsession maladive à fustiger une certaine presse, qui pourtant répond à une attente légitime, trahit une volonté de censure qui ne dit pas son nom.

Ainsi donc, Patrick Cohen, flanqué de sa cohorte de médiocres, de Jean-Michel Apathie à Léa Salamé, en passant par ses complices du service de l’audiovisuel public, n’est qu’un faquin de plus, un bateleur sans envergure qui aurait peut-être mieux fait de reprendre l’atelier paternel, où la chaudronnerie lui aurait offert un destin plus humble, mais ô combien plus honorable que celui qu’il s’acharne à se tailler dans l’infamie et la félonie.

https://ripostelaique.com/patrick-cohen-modele-du-journalisme-degenere.html

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