A mesure que s’accumulent les attentats, les faits divers, les insécurités, à mesure aussi que les opinions publiques s’orientent à droite, voire à ce qu’on appelle l’extrême droite, les tenants de la bonne pensée s’organisent et défendent bec et ongles un modèle dogmatique qui visiblement, est à bout de souffle. Dernière en date, cette vidéo dans laquelle on met en évidence le personnel soignant issu de l’immigration, disons d’une certaine immigration, en expliquant que s’il disparaissait, les soins ne seraient plus assurés. Eternelle ficelle qui consiste à se focaliser sur une profession pour laquelle les Français ont de l’empathie. Sauf que ce n’est pas comme cela que ça marche.
On notera au passage que dans ce sens là, on peut mettre en exergue l’origine des soignants, ce qu’on ne peut pas faire, par exemple, pour l’origine des prisonniers. Mais s’ils sont dans les soignants, les immigrés dont on parle sont aussi dans les malades et quand vous êtes allé aux urgences de votre hôpital, vous savez à quel point. On peut donc considérer logiquement que sans les malades issus de l’immigration, il n’y aurait pas besoin des soignants issus de l’immigration. Mais la propagande ne s’embarrasse pas de ces considérations, elle regarde par le bout de la lorgnette et explique que les soignants de l’immigration nous font du bien.
La propagande ne se penche pas justement, sur la population carcérale, ou sur les patronymes dans les mains courantes des commissariats, ou sur les auteurs de violences au couteau, ou scolaires, ou les auteurs de attentats. On peut aussi imaginer ce qui se passerait si tous ceux là, comme les soignants, manquaient à la France. Le Recteur de la Grande Mosquée de Paris, Chems-Eddine Hafiz, souhaitant que les aumôniers musulmans des prisons et des hôpitaux soient rémunérés par l’État, a expliqué que dans les prisons françaises, « il y a de 70 à 80 % de musulmans ». Personne ne l’a contredit. Cette religion n’étant pas locale, les gens dont parle le recteur sont forcément issus de l’immigration et cela ne veut pas seulement dire qu’ils représentent ce taux là en prison, mais qu’ils le représentent aussi en heures de travail pour les fonctionnaires de justice et de police, en dépenses de protection, de réparation, d’heures de travail perdues, de victimes, etc. On imagine donc ce qu’il adviendrait, si un organisme de propagande montrait ce qui se passerait si tout cela disparaissait. Mais il est préférable de ne parler que de la disparition des soignants, évidemment.
Pour faire cesser ces joutes langagières, entre le dogme obligatoire de l’enrichissement et la réalité qui le contredit en permanence, au RPF, nous demandons la mise en place de statistiques ethniques pour savoir justement qui fait quoi. Curieusement, les gens de gauche préfèrent user leur salive que baser leur discours sur des chiffres avérés. A croire qu’ils sont conscients des réalités mais qu’ils préfèrent le déni.
Sciences et Vie pratique aussi dans le style, en publiant un article comme quoi, les premiers hommes auraient été végétariens. Ca tombe bien, une bande d’écolos végans hystériques préconise qu’on se passe tout simplement de viande, l’élevage, ce n’est pas bon pour la planète, selon la rhétorique habituelle. Qu’importe les scènes de chasse de la grotte de Lascaux, les arcs et les flèches retrouvés, les restes de repas de viande cuite sur le feu, tout cela était sans doute du décorum et en réalité, on mangeait de l’herbe, à l’époque des cavernes. Ca ressemble à la fabrication du fameux « consensus scientifique » autour du carbone. Les carotteurs de glaciers nous ont montré avec certitude que le carbone avait été bien plus présent dans notre atmosphère avant même l’apparition de l’homme, mais qu’importe, ils n’ont pas eu droit à la parole. Seuls ont droit aux articles les chantres de la fable et à la fin, avec beaucoup d’articles, le « consensus scientifique » est fabriqué de toutes pièces et les opposants doivent se taire, comme ont dû se taire, Perrone, Raoult et Montagnier.
Les faiseurs de dogmes sont en difficulté car la réalité les contredit tous les jours et donc, il faut rabâcher et rabâcher encore, jusqu’à la lie, pour tenter de donner corps à quelque chose qui n’existe pas, ou auquel les gens ne croient plus. L’irruption de Trump, de ses méthodes, de ses décrets, est train de bousculer la mécanique bien huilée du formatage des esprits et donc, on force le trait pour tenter de maintenir vaille que vaille des narratifs sur lesquels on a bâti un monde qui n’existe pas, celui de la mondialisation heureuse, celui de l’immigration richesse, celui de la confusion entre la science et les actionnaires de la science, celui du monde qu’on nous propose en Europe et dont on nous dit qu’il est à la fois idéal et nécessaire, alors que quasiment tout le monde y est en souffrance.
https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2025/02/28/propagande-contre-realites/