Cette France pitoyable qui ne veut pas d’une « épreuve de force » avec l’Algérie et qui fait semblant de croire qu’on peut discuter avec ce pays radical, qui hait la France jusque dans son hymne national… Discuter avec l’Algérie, c’est baisser éternellement sa culotte, ce dont la France est coutumière avec ce pays qui ne nous est d’aucune utilité, diplomatiquement et économiquement. Ainsi, nous ne réclamons pas les ardoises dues en matière de frais de santé, nous continuons à payer des retraites à des gens morts depuis longtemps, nous versons des aides au développement à un pays qui non seulement ne se développe pas mais véhicule des valeurs totalement opposées à celles de l’Occident. La réalité est que Paris a peur des réactions des gens de la diaspora algérienne en France, des émeutes… et Paris croit quoi, qu’en baissant éternellement sa culotte, il s’assurera de la paix et de l’amour avec une partie non négligeable de ces gens biberonnés à la haine de la France ? L’épreuve de force, il la faudra, tôt ou tard. A s’y prendre comme cela, Macron, toujours lui, dont le soutien à l’islam, y compris radical, est ouvertement affiché, fait penser à cette puissante maxime de Churchill : nous choisissons le déshonneur pour ne pas avoir la guerre et nous aurons les deux. Nous avions listé, au RPF, une série de mesures à prendre contre ce pays avec lequel, quelles que soient les concessions faites, nous n’aurons jamais la paix : les voici : L’Algérie et sa guerre contre la France – Rassemblement du Peuple Français
Pour faire bonne mesure, François Bayrou estime que suspendre les visas aux ressortissants algériens seraient faire « porter à tout un peuple la punition qu’il ne mérite pas ». Est ce que les actes de délinquance perpétrés par les algériens de France expulsables, ne sont pas, pour le peuple français, une punition qu’il ne mérite pas ? Ah oui, mais dans ce sens là, ce n’est pas pareil, voyez vous, les misères infligées au peuple français ne comptent pas. Et Edouard Philippe en rajoute sur le voile dans le sport : « Une interdiction du port du voile dans le sport serait contraire à la laïcité »… on ne voit pas en quoi et il faudrait qu’il nous explique quelle compréhension il a de la laïcité ? On notera au passage que les chrétiens ou les juifs n’embêtent personne pour porter des signes religieux distinctifs dans le sport, ce sont toujours les mêmes non ? Ca a beau se voir, Philippe ne le voit pas. Plus de 70 % des Français sont contre ce voile dans le sport, donc il faut l’autoriser, comme le font systématiquement les Macronistes, dès que le peuple français est massivement contre quelque chose, il faut le faire. On peut douter de Philippe, de ses années de travail dans des pays musulmans, avec Areva, ces pays ou quand on fait des affaires, il est de bon ton de se convertir, puisque les locaux préfèrent faire des affaires avec des convertis, selon des principes financiers compatibles avec la charia.
Mais attention, la France ne baisse pas sa culotte avec tout le monde et se montre parfaitement capable d’épreuves de force : avec les Gilets-Jaunes par exemple, avec les amis de Thomas à Crépol, avec les paysans à bonnets jaunes ou rouges… mais pas avec les écolos qui se barricadent dans des arbres ou à Notre-Dame-des-Landes, pas avec les gens du voyage qui s’installent dans des propriétés privées, pas avec les voyous d’importation qui sèment la terreur dans les cités, pas avec les Black-Blocks que tout le monde connaît et qui peuvent pourtant sévir en toute quiétude… fort avec les faibles et faible avec les forts. La France « adore » l’épreuve de force sans risque, avec des gens solvables et bien élevés, les parents d’élèves qui veulent garder leur école, ou les gens absents, les Russes… là par contre, il y a du monde, du ton martial et des envolées lyriques, reprises en coeur par les journalistes aux ordres.
En France comme dans presque toute l’Europe, ces Algériens sont la première nationalité étrangère dans les prisons, ou une nationalité très présente et seule la France n’arrive pas à renvoyer les indésirables, tout le monde sait qu’avec la France, on peut monter le ton, même le président des îles confettis des Comores sait la faire fermer à la France, on hallucine. Cette même France qui veut se payer les Russes… et Macron d’envoyer un manuel de survie en cas de guerre. On attend le même manuel pour la survie des pauvres gens des banlieues chaudes, autrement plus urgent. Et des fois, des fois… on se demande pourquoi, ce même Etat décide de faire évacuer la Gaîté-Lyrique, envahie de « migrants mineurs de 40 ans », il aura fallu trois mois pour faire un truc qui aurait dû être mené dans les 24 heures… passons. Et là, on a les hurleurs habituels aux droits de l’homme, subventionnés eux aussi évidemment, qui braillent mais qui ne les prennent pas chez eux, vous pensez bien, d’où l’urgence d’arrêter de subventionner ces machins qui font commerce grassement de l’anti-France : les Cimade, France-Terre-d’Asile, Ligue des Droits de l’Homme et on en passe, le tout pour des centaines de millions d’Euros chaque année. Mais non, la marche sur la tête est un principe en France, le nourrissage des égorgeurs, un autre principe, la protection des voyous, un troisième principe, l’envoi au casse-pipe des policiers face à des brigands exotiques qu’il ne faut surtout pas abîmer, un quatrième principe et le mépris permanent du bonheur de vivre des gens de ce pays dans leur pays, un principe général.
L’Europe peut toujours se moquer de Poutine, elle fait aussi arrêter ses opposants avec zèle. Elle peut aussi se moquer de Trump qui lui, sait adopter des mesures fortes et prendre des risques, là où la France ne prend des risques que quand il n’y en a pas. L’Europe c’est comme le side-car, qui cumule les défauts des voitures et ceux des motos, on ne peut pas se faufiler et on se mouille. La France et l’Europe ont les mêmes méthodes dictatoriales que ceux qu’elles critiquent, sans en avoir ni le charisme, ni la force, ni le soutien populaire… le vote autrement va devenir une question de survie, alors même qu’on ne peut désormais plus voter que pour des candidats dûment adoubés par le système en place, au nom du fantoche « bouclier démocratique », nouveau patronyme de la dictature à l’Européenne.
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