Ce qui est bien avec LFI et l’ensemble de la gauche, c’est qu’on n’est jamais déçus. Ils arrivent toujours à être à leur meilleur niveau, et à faire même parfois mieux que ce qu’on espérait.
200 partis, syndicats et associations, et cela ne fait que 90.000 manifestants dans toute la France, dont 20.000 à Paris. C’est bien peu. Mais à défaut de la quantité, on avait la qualité.
D’abord ces manifestants qui réussissent, lors d’une journée antiraciste, à scander « À bas l’État, les Juifs et les fachos ». On a bien écouté, c’est bien ce qu’ils disent. Rappelons que les médias, lors de l’organisation de Jour de Colère, n’avaient entendu, pendant 48 heures, que quelques slogans hostiles au Juifs, et n’avaient parlé que de cela. Et n’oublions pas que LFI, responsable de la manifestation, l’est aussi des propos qui y sont tenus. On attend avec impatience la réaction de leurs copains de la Licra et des autres associations dites antiracistes qui étaient dans le cortège.
Alors, certes, le service public et tous les médias de propagande essaient d’étouffer l’affaire, et de nous dire qu’on a mal entendu, mais c’est difficile à vendre…
Nous avons eu droit également à des menaces de mort ouvertement proférées contre ceux qu’ils appellent les fafs, c’est-à-dire nous, les patriotes qui voulons des frontières pour défendre notre pays, et qui refusons notre remplacement par des populations africaines, et l’islamisation de notre pays par des soldats d’Allah.
Bien sûr, Vincent Bolloré n’a pas été oublié…
Nous avons aussi eu droit à ceux qui se déclaraient eux-mêmes les PD de la manifestation, et qui en paraissaient fiers, ne se posant pas de question quand à leur cohabitation avec des soldats d’Allah qui, en général, les brûlent, les pendent aux grues ou les jettent du toit des immeubles.
Et bien sûr, nous avons eu droit aux Palestinosses de service, avec leurs keffiehs et leurs voilées, qui bien sûr appellent à boycotter l’État hébreu, qu’ils considèrent comme génocidaire.
Sans oublier la raciste de service, qui a juste oublié qu’elle aussi est blanche…
Et pour garder les bonnes habitudes, une manifestation parisienne de gauche ne peut se terminer sans la vandalisation de la statue de la place de la République, ni les poubelles brûlées, ni les abribus pétés, ni bien sûr sans quelques affrontements avec les méchants CRS.
Pendant que ces collabos manifestaient dans 200 villes de France, les Français continuaient de payer de leur sang le prix de leur politique criminelle.