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Brigitte Gate : le petit gros, faux Jean-Michel, démasqué !

Note préliminaire pour les lecteurs de Riposte Laïque

Au stade où nous en sommes, après trois ans de recherches des « Brigittologues », il ne restait que deux choses à éclaircir pour pouvoir affirmer que le personnage qui se fait appeler Brigitte Macron est bien Jean Michel Trogneux, à savoir démasquer et/ou identifier le nom du petit gros qui joue le rôle du frère de « Brigitte », et retrouver la vraie Brigitte, 73 printemps (avec ses deux versions possibles, celle d’origine (n°1) ou la Brigitte n°2 « Proba » de Pressibus (née Auzière)).
Pour que les lecteurs non assidus comprennent bien, avant 1986 Jean Michel Trogneux menait plusieurs vies, soit homme, soit femme, et une double vie avec deux femmes (sa « sœur » et Véronique DREUX). Il n’avait donc pas besoin d’un Jean-Michel « homme de paille ».

En 1986 il arrive en tant que femme en Alsace, mais à Amiens tout le monde pensait que c’était le Jean-Michel qui était parti. Quant à la mère biologique de Sébastien, Laurence et Tiphaine, elle a aussi disparu à ce moment (à Croix ou en Normandie), « recluse ».
À son retour d’Alsace à Amiens en 1991 il a pu commencer à avoir besoin d’un double, d’un comédien qui joue son rôle.
C’est devenu nécessaire à partir de 2007, quand il épouse Emmanuel Macron, il fallait bien crédibiliser le fait que Brigitte Macron soit une femme en exhibant un frère Jean-Michel de substitution.
À l’investiture de 2017 c’était devenu indispensable. Cela s’est terminé en apothéose lors de celle de 2022 avec la vidéo de TF1 et la photo du petit gros enlacé tendrement par Brigitte sur le perron de l’Elysée.

http://www.guerredefrance.fr/

BRIGITTE GATE OPÉRATION MACARON 14/03/2025
LE PETIT GROS DÉMASQUÉ !

Ayant à faire dans la Somme, j’ai décidé d’aller faire un tour à Amiens, rendre une visite d’amitié à deux hauts lieux de la Brigittologie, à savoir le 14 rue des Vergeaux, adresse de la carte électorale de Jean-Michel Trogneux (JMT dans la suite), et le PMU qui a toutes les chances de devenir une célébrité planétaire, le NEMROD. Un coup à entrer au guide Michelin : « vaut le détour » et par ailleurs au Guiness des lapsus significatifs.

Sans qu’il y ait de déclaration officielle, ni d’article dans ce sens dans la presse, il a été suggéré progressivement dans la presse qu’un « petit gros », présent aux investitures de 2017 et 2022, mais pas que, est JMT, le frère de Brigitte. Jusqu’à une photo de 2022 sur le perron de l’Elysée où Brigitte et JMT sont fraternellement enlacés, ce qui officialise la chose.

Les habitudes du « petit gros » censé être JMT dans ce bar ont été évoquées dans le livre d’Emmanuelle Anizon « L’affaire Madame ». De plus, des photos ont circulé sur Facebook montrant ce petit gros jouant aux cartes avec des amis, qui ont permis d’identifier le NEMROD. Loin de moi l’idée de tenter de rencontrer le petit gros comme l’a fait Natacha Rey qui a pu le filmer dans ses escaliers, pas de harcèlement ni atteinte à la vie privé donc. Ce n’est qu’après la miraculeuse réussite de mon déplacement que j’ai baptisé cette histoire « Opération Macaron » (d’Amiens), pour un colonel, ça fait plus mili.

Je suis arrivé au parking EFFIA des Halles à 16 h 33 et reparti à 18 h 23.
Passage au 14 rue des Vergeaux, le magasin atelier est à nouveau fermé, et le nom TROGNEUX figure bien sur une sonnette.

Ensuite direction le NEMROD, vers 17 h. Je me suis installé un peu par hasard à la table à gauche de celle des joueurs de cartes. J’ai commandé une bière triple locale ma foi d’excellente qualité.

À 17 h 10, miracle, le petit gros se pointe (avec béquille et/ou canne) avec son copain Jean. Coup de chance, il faut en avoir dans les enquêtes, un peu comme pour la « Dame au Chapeau », en plus du flair et l’intuition. Rien de ce que raconte ensuite n’était prévu !

Il faut savoir que dans les bistrots, les piliers s’installent toujours au même endroit, bingo, c’est la table du jeu de cartes. L’homme aux lunettes à montures épaisse installé avant, un habitué, à la table la plus proche du comptoir, lui a dit « bonjour HENRI » (par contre plus tard un jeune l’a appelé Jean-Michel, mais c’est son rôle de comédien décidé par la « Brigitte »). Précision : le deuxième prénom de Jean-Michel Trogneux est justement Henri.

J’ai donc pu à loisir écouter les bribes de conversations dans le brouhaha des commentaires des turfistes et du Léon Zitrone de service (pas d’enregistrement, ça ne sert à rien, ces preuves illégales sont rejetées par les juges). Placé à 2 mètres, j’ai pu observer son oreille droite, ce n’est pas celle de Jean-Michel Trogneux (JMT dans la suite), les oreilles ne se modifient que très peu, les siennes ne correspondent absolument pas à celles du jeune JMT (voir les clichés de Xavier Poussard et PRESSIBUS).

Premier détail, il lit son portable sans lunettes, l’étudiant de l’ESTP en portait et cela ne s’arrange pas en vieillissant. Le trombinoscope de l’ESTP a bien été trafiqué.

Arrive un troisième personnage. Le jeune serveur connait très bien ses habitués, rouge ou rosé ?

Nos joyeux drilles ont attaqué plus tard une deuxième tournée. Le petit gros, dont on dit qu’il est malade, a une bonne descente.

Pour me donner une contenance, je suis allé acheter le Courrier Picard, c’est la patronne, Corinne Purnelle, qui m’a servi. Elle m’a donné avec le journal le magazine pour chéries Fémina. Afin qu’elle ne m’oublie pas, car elle va recevoir cet article, avec mes excuses, une boutade : je vais l’envoyer à Sandrine Rousseau.

Tout en faisant semblant de lire, je suis toute ouïe. Vu les conversations le petit gros et ses potes sont des Français du peuple, les sans-dents de Hollande, les alcooliques et illettrés du Macronard. Son comportement à l’Élysée lors de l’investiture de 2022 où il était complètement perdu n’a donc rien d’étonnant. Or le JMT a été élevé dans une des familles les plus bourgeoises d’Amiens, a « fréquenté » les milieux huppés parisiens (on va dire), voire les Rothschild, ça ne colle absolument pas, c’est un indice.

Décrivons les personnages, que j’ai bien photographiés (mémorisés), histoire de les désigner s’il y a un tapissage pour vérifier mes dires :
Jean portait une veste de marin, avec une écharpe bleu moyen, pantalon gris.
L’homme arrivé plus tard, c’était Adidas blanche, jogging gris et manteau élimé à martingale, rayé verticalement.
L’homme aux grosses lunettes portait une veste noire, chemise bleu foncé pull gris. Il joue au PMU et carbure quant à lui à la bière.

Le plus intéressant, à trois reprises, le petit gros a invité ses copains à SON ANNIVERSAIRE LE 15 JUIN, qui aura lieu chez SA sœur, à kilomètres d’Amiens. Or JMT a encore trois sœurs, a priori vivantes (une quatrième est morte dans un accident de voiture), la plus vieille ayant 93 printemps et la petite dernière, c’est la recluse ou séquestrée (72 ans) qui aurait été remplacée par l’individu qui se fait appeler Brigitte Macron. Les deux premières sont mariées à des patrons de grosses entreprises, là non plus ça ne colle pas avec une sœur « populaire » qui réside dans la campagne de la Somme pas loin d’Amiens. Il aurait en plus dû dire « une de mes sœurs » et si ses copains les connaissent, préciser le prénom, dont éventuellement « Brigitte ».

À un moment, il précise qu’il a six petits enfants de 14 ans à un an (ou deux). Ce ne sont donc pas les enfants de Sébastien, Laurence et Tiphaine qui sont sept. Comme il est censé être JMT, son seul mariage officiel est celui avec Véronique Dreux, avec deux enfants, le fameux Jean-Jacques, le clone de Macron, et sa sœur Valérie. Là non plus, ça ne colle pas, il n’y a pas six enfants et surtout pas de bébé. Et le dernier personnage dont selon mon scénario « CNdG » il a pu être géniteur avec Françoise Noguès, c’est Emmanuel Macron qui n’a pas eu d’enfants et pour cause.

Le petit gros est supposé avoir 80 ans (JMT né en 1945), donc ses enfants auraient environ 50 à 55 ans, pas de bébé à cet âge-là. Conclusion à vérifier, le petit gros a plutôt 60 à 65 ans, avec des enfants de 35 à 40 ans.

Autre détail : ses copains lui ont demandé deux fois des nouvelles du « magasin », il a répondu « le magasin ça va ». Ce personnage s’y intéresse voire le fréquente, surtout le point de vente principal historique du 1 rue Delhambre, siège social. Sauf que les bureaux sont bien situés au 14 rue des Vergeaux, une boîte aux lettres faisant foi.

L’examen succinct des sociétés montre une organisation très familiale où le petit dernier de la saga de six générations, Jean-Baptiste, est pratiquement le seul actionnaire. L’entreprise comptant quarante à soixante personnes, le petit gros est soit un cousin éloigné, soit un employé (ou ex) et non pas comme je l’avais pensé un actionnaire, voire un homonyme, puisqu’il y en avait un à Amiens, Francis (DCD) convoqué avec Jean-Michel le jour de leur conseil de révision.

L’information capitale, c’est la date, le 15 JUIN, or Jean Michel TROGNEUX est né le 11 février 1945.
On ne fête pas l’anniversaire de ses 80 ans quatre mois après !!!

Le petit gros jouant le rôle de JMT est bien une imposture totale. C’est imparable et la captation de ces conversations détruit complètement les légendes mises en place par le vrai JMT, le personnage qui se fait appeler Brigitte Macron. Tout ce que je raconte est vérifiable par un juge d’instruction. Il suffit en effet de convoquer la patronne, son serveur, et les trois copains facilement identifiables de cet après-midi mémorable au NEMROD, pour éventuellement une confrontation avec moi-même.

Et pourquoi pas le Jean-Baptiste qui peut apporter des précisions sur cette affaire « qui a phagocyté la famille », en plus il doit travailler au 14 rue des Vergeaux donc connaître le petit gros.

J’en savais suffisamment, je me suis donc éclipsé.

Au retour vers mon véhicule, je suis repassé devant le 14 rue des Vergeaux, et nouveau coup de chance une jeune femme rentrait dans l’immeuble. Les boites aux lettres ont été changées et il y en a bien une au nom de Jean-Michel Trogneux et une autre pour les trois sociétés Trogneux.

Résumons : il est absolument impossible que le petit gros soit Jean-Michel Trogneux.

Ce qui veut dire par conséquent que le personnage Brigitte Macron ne peut être que Jean-Michel Trogneux (dans mon scénario).

Après Candace Owens dont les vidéos ont fait des millions de vues, un certain Tucker Carlson rentre dans la danse, lui qui a fait 2 milliards de vues avec son interview de Poutine.

L’heure des règlements de comptes va prochainement sonner. Ça va être terrible.

Reste quand même à retrouver la vraie Brigitte Trogneux/Auzière. Est-ce la « Dame au Chapeau » ?

Colonel Napoléon de Guerlasse (pseudo)

Texte remanié et précisé le 23/03/2025

https://ripostelaique.com/brigitte-gate-le-petit-gros-faux-jean-michel-demasque.html

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