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Racisme antiblanc : pour la première fois, des dizaines de victimes témoignent

Les idées, les mots, les livres, peuvent encore changer quelque chose…

Riposte Laïque : Vous venez de publier un livre au titre choc « Le racisme antiblanc », sous-titré « L’enquête interdite ». Avant d’évoquer cet ouvrage, pourriez-vous vous présenter à nos lecteurs, même si nous avons déjà relayé quelques-uns de vos écrits ?

https://ripostelaique.com/author/francois-bousquet

François Bousquet : Je suis journaliste depuis vingt ans et éditeur depuis trente ans, bref un homme du livre, du papier, de la chose imprimée, au sens le plus artisanal du terme. J’appartiens à la galaxie de la Nouvelle Droite et à la famille de la revue Éléments, dont je suis le directeur de la publication, héritière d’une tradition de combat culturel menée bien avant que le terme ne devienne à la mode. Dire de moi que je suis un combattant est un bien grand mot, disons un combattant culturel, si l’on entend par là que les idées, les mots, les livres, peuvent encore changer quelque chose. C’est ce que j’ai tenté de faire avec ce livre, « Le racisme antiblanc, L’enquête interdite ».

Mon livre donne la parole aux victimes du racisme antiblanc…

Riposte Laïque : Sur le sujet que vous abordez, des essais ont déjà été publiés. Gérald Pichon avait écrit « Sale Blanc », préfacé par Pierre Sautarel, Hervé Ryssen avait produit « Le racisme antiblanc, Assassins d’hommes blancs, tueurs et violeurs de femmes blanches » et l’avocat Gilles-William Goldnadel a publié il y a peu, « Réflexions sur la question blanche, du racisme blanc au racisme anti-blanc ». Selon vous, en quoi votre livre complète-t-il les ouvrages qui ont déjà traité de cette question pourtant taboue ?

François Bousquet : Ce qui distingue mon livre des précédents, c’est qu’il donne la parole aux victimes. C’est d’abord une enquête. Jusqu’ici, les témoignages de racisme antiblanc étaient épars, disséminés, relégués à la marge, faute de pouvoir les intégrer dans un continuum. Il fallait donc les rassembler, les faire parler, les confronter, pour révéler ce qu’ils ont en commun : une expérience vécue, suffisamment banalisée pour dessiner un paysage non pas marginal, mais central. Il ne s’agissait plus de dénoncer ce racisme dans une position de surplomb, quasiment in abstracto, sur le mode de l’essai – aussi remarquables soient-ils –, mais d’administrer la preuve concrète de l’existence du racisme antiblanc. Bref, d’appeler les victimes à la barre pour attester de l’ampleur du déni.

Ne perdez pas de vue que l’un des arguments récurrents des négateurs – dénégateurs – du racisme antiblanc, c’est son absence de documentation sérieuse. Ils réclament des chiffres, des rapports, des études, qu’ils se gardent bien de produire ou d’autoriser. Les chercheurs bannissent le sujet, les démographes le font disparaître et les journalistes le recouvrent d’un voile pudique. C’est le règne de l’omerta éhontée. Il fallait donc, pour la première fois, offrir le plus de visibilité à ces invisibles. Que sont ces humiliations, ces insultes, ces coups si le racisme antiblanc n’existe pas ? Une hallucination collective et un fantasme d’extrême droite !

Le grand Blanc vit dans des quartiers protégés, le petit Blanc vit dans les zones de relégation

Riposte Laïque : Vous parlez, au début de votre livre, des « grands blancs » et des « petits blancs ». Pourquoi avoir opéré cette différenciation ?

François Bousquet : Cette distinction recoupe l’opposition entre les « Anywhere » et les « Somewhere », mais en y ajoutant une dimension prudemment occultée : celle de la race perçue avant tout comme un marqueur social et politique. Le grand Blanc, c’est le Blanc légitime. Celui qui domine les représentations et les discours tout en se déclarant solidaire des dominés. C’est là le cœur du paradoxe de sa domination sociale : il tire, tout ou partie, de son capital moral du fait même qu’il défend les opprimés dûment labellisés par la doxa progressiste. Cette posture charitable lui confère une immunité symbolique : dominant, certes, mais du bon côté. Là où le grand Blanc vit dans des quartiers protégés ou gentrifiés, scolarise ses enfants dans des établissements triés sur le volet et bénéficie de la mondialisation, le petit Blanc vit dans les zones de relégation. Il n’éprouve pas le multiculturalisme comme une richesse, mais comme une assignation, alors que le grand Blanc y échappe par une ségrégation aussi furtive qu’hypocrite : sociale, scolaire, immobilière. C’est l’avatar contemporain de Tartuffe, qui aurait troqué l’hypocrisie religieuse contre l’hypocrisie sociale : couvrez ces races que je ne saurais voir… On est passé des faux dévots aux révolutionnaires en carton de la gauche caviar.

Ce livre n’est qu’un début, tant la matière abonde…

Riposte Laïque : Vous publiez de nombreux témoignages, vécus par des adultes, hommes et femmes, qui ont aujourd’hui entre 25 ans et 55 ans, et qui décrivent ce qu’ils ont enduré, dans des écoles, souvent à partir de l’âge de dix ans, quand ils étaient minoritaires, voire très isolés. Vous ne cachez pas avoir parfois pleuré en les écoutant, tant ce qu’ont subi ces enfants, blancs, mais aussi parfois métisses, de la part de vrais racistes, maghrébins ou subsahariens, est révoltant. Comment avez-vous pu obtenir tous ces témoignages ?

François Bousquet : Par mes propres contacts, du moins dans un premier temps. Peu de gens osent parler publiquement du racisme antiblanc, par peur d’être marginalisés et taxés d’« extrême droite ». Mais ce qui a fait basculer mon enquête dans une autre dimension, c’est lorsque Fdesouche et Damien Rieu ont relayé mon appel à témoins. Dès qu’on brise l’interdit, les langues se délient. Il suffit d’amorcer la pompe. Une fois qu’on tire le fil, il vient tout seul, des récits d’ados insultés et humiliés qui vous prennent à la gorge. Ce livre n’est qu’un début. La matière abonde.

La majorité des enseignants préfèrent sauver leur peau, quitte à sacrifier les petits Français blancs

Riposte Laïque : La plupart des témoins que vous citez évoluaient dans des périphéries urbaines, notamment autour de Paris, Lyon ou Marseille. Certains parents ont cherché refuge dans des écoles catholiques, et pas toujours avec succès. Vous parlez également de l’attitude révoltante des enseignants et responsables d’écoles, souvent complices des agresseurs, et impitoyables avec les victimes blanches ? Comment expliquez-vous cela ?

François Bousquet : Il y a là un paradoxe, du moins dans les établissements catholiques des zones à forte densité musulmane. Officiellement, ces écoles offrent une qualité d’enseignement supérieure, mais elles sont victimes de leur modèle économique : leur survie financière dépend des niveaux de remplissage. Dans ces zones, la majorité des élèves du privé catholique est musulmane. Les élèves non musulmans, surtout dans le primaire, l’apprennent à leurs dépens quand ils se font traiter de « halouf » et sont exclus pour cela.

Quant aux enseignants et aux personnels éducatifs, ceux qui ont eu le courage de témoigner dans mon enquête sont l’exception. Les autres – la majorité – sont les complices silencieux de cette machine infernale. Pourquoi ? Parce qu’ils préfèrent sauver leur peau, leur poste, leur tranquillité, plutôt que de s’attirer les foudres d’une hiérarchie tétanisée. Un professeur à Bobigny m’a confié qu’il n’y a guère plus que deux Blancs en banlieue : le flic et le prof, qui se pense comme l’anti-flic. Le problème n’est pas récent : un livre comme « L’Apartheid scolaire, enquête sur la ségrégation ethnique dans les collèges » pointait cela il y a vingt ans. Ce livre, pourtant signé de chercheurs parfaitement formatés, dénonçait déjà le naufrage du modèle scolaire républicain, l’explosion en plein vol de la mixité sociale et ethnique, la fuite massive des familles blanches. Les auteurs y documentaient le traitement de faveur que les enseignants octroient aux élèves issus de l’immigration, au prétexte qu’ils seraient « défavorisés » (ils parlent même d’une « surnotation » en faveur des enfants issus de l’immigration extra-européenne). Et parallèlement ils constataient – assez honnêtement – que les élèves français subissaient une double peine : l’humiliation de voir leurs agresseurs protégés par les enseignants et les encadrants, et l’interdiction de se plaindre sous peine d’être accusés de « racisme ».

Demain, les campagnes seront à leur tour sommées de prouver leur sens de l’hospitalité

Riposte Laïque : Un de vos témoins affirme que le phénomène qu’il a subi, il y a 30 ans, était à l’époque marginal, mais qu’à présent, presque tous les jeunes Français sont confrontés au racisme antiblanc, que cela soit à l’école ou dans les transports. La France rurale n’est-elle pas encore préservée de ce phénomène, qui progresse à toute vitesse ?

François Bousquet : Croire que la France périphérique sera préservée relève de la pensée magique. Si la politique migratoire continue sur sa lancée, la « diagonale du vide » n’en a plus pour longtemps à se repeupler. Alphonse Allais voulait « mettre les villes à la campagne », Macron et Mélenchon veulent y disperser les flux migratoires en installant des populations immigrées dans les bourgs désertifiés et les sous-préfectures sinistrées. C’est déjà bien engagé. Il suffit de prendre un TER ou un Intercités pour voir combien l’immigration a largement colonisé la périphérie. Le répit rural n’est qu’une parenthèse. Demain, les campagnes seront à leur tour sommées de prouver leur sens de l’hospitalité. Tant qu’on ne rompra avec le logiciel immigrationniste, il n’y a pas de raison que ce mouvement cesse.

Que peut bien faire un gosse blanc paumé dans une cité où il est minoritaire ?

Riposte Laïque : Vous évoquez, dans les témoignages publiés, plusieurs types de réactions, face aux insultes, coups, crachats et rackets subis par les petits blancs. Certains se recroquevillent, d’autres choisissent de se battre, d’autre enfin se soumettent aux codes des agresseurs, à leur langage, à leur musique, à leur religion, pour acheter la paix, quitte à devenir à leur tour des racailles agressant des Blancs, comme eux. Qualifieriez-vous cette attitude de réflexe de survie ?

François Bousquet : Que peut bien faire un gosse blanc paumé dans une cité où il est minoritaire, cerné par les caïds, les dealers, les boucheries halal et les mosquées, sinon acheter au prix fort sa tranquillité. Réflexe de survie ? Oui, mais ce n’est qu’un nom élégant pour désigner une assimilation à l’envers. Pas par lâcheté – ce serait trop facile de leur jeter la pierre –, mais par instinct de survie en effet. Quand votre quotidien, c’est de finir votre journée la tête dans le caniveau parce que vous avez le malheur d’être la mauvaise personne au mauvais endroit, ou bien vous résistez – c’est le cas des témoins que j’ai rencontrés –, ou bien vous entrez dans le moule – ce sont là des compatriotes qu’on a perdu à jamais parce qu’ils se sont racaillisés ou convertis.

J’ai en tête le témoignage d’une jeune femme dont les parents d’extrême gauche n’ont pas voulu tricher avec la carte scolaire (une exception). Résultat : elle a fait sa sixième à Montreuil dans le public, où elle a compris très vite que seule la soumission la sauverait. Il suffit de voir un nanar comme « Il était une fois dans l’Oued » (2005), qui raconte, sous un mode complaisant, le destin d’un petit Blanc de banlieue du nom de Johnny Leclerc, devenu Abdelbachir pour s’acheter une place dans la meute. La racaillisation et l’islamisation comme ticket d’entrée. Ribéry, alias Bilal Yusuf Mohammed, qui a échangé la Marseillaise contre une prière musulmane ostentatoire, n’a rien inventé. Il suffit de rappeler le parcours d’Arnaud Djender, un Blanc, qui, en 2010, à la gare du Nord, a fracassé le visage d’un autre Blanc à coups de « Sale Français » et de « Sale Blanc ». Il aura fallu une balafre de quinze centimètres infligée à sa victime pour que la justice consente du bout des lèvres – et seulement en appel – à reconnaître pour la première fois (en 2014) le caractère raciste aggravant de ce type d’agression. Une première bien timide. L’assimilation à l’envers est une fabrique de renégats. Retourner la haine contre les siens devient alors la dernière étape de cette intégration à l’envers.

Les footballeurs blancs sont les derniers des Mohicans

Riposte Laïque : Pourquoi avoir évoqué dans un long chapitre le racisme antiblanc qui frappe le football, professionnel comme amateur ?

François Bousquet : Parce que le football est un laboratoire à ciel ouvert. Ce qui s’y joue, sur la pelouse, dans les vestiaires, sur les bancs de touche, finit toujours par s’inviter dans la société tout entière. L’antiracisme de façade y fait merveille tant qu’il s’agit de traquer les cris de singe qui descendent des tribunes. Mais dès qu’on s’intéresse à ce qui se passe sur les terrains, dans les centres de formation ou les clubs amateurs, c’est le grand silence. Là, le racisme antiblanc est structurel. Crachats, coups, menaces, insultes : « Sale Français », « Sale Blanc », « Bouffeur de cochon ». La violence est si banalisée que les familles désertent les clubs, les Blancs se raréfient, jusqu’à disparaître complètement de certaines équipes, dont l’équipe nationale. Pierre Ménès l’a dit et payé au prix fort : sur certains terrains franciliens, les Blancs sont les derniers des Mohicans. Le foot est le miroir d’une société qui a changé de pavillon : du bleu-blanc-rouge au black-blanc-beur, et désormais au noir sur noir, comme une toile monochrome. Le drame d’Élias, tué à la machette à la sortie d’un entraînement à Paris, l’a tragiquement rappelé. Le foot dit sans fard ni filtre le remplacement que nous vivons.

Il parait que depuis quarante ans, de méchants Gaulois martyrisent de gentils immigrés extra-européens

Riposte Laïque : Dans une inversion accusatoire classique, et malgré les faits, la gauche, dans le déni, accuse les blancs de racisme et traite la diversité en victime, alors que la réalité montre que c’est trop souvent le contraire. Espérez-vous que votre livre puisse libérer la parole, et rétablir une vérité que les médias et les politiques cachent aux Français ? Quelles retombées médiatiques avez-vous eu, depuis la sortie du livre ?

François Bousquet : Les premières retombées sont encourageantes, mais elles restent malheureusement trop confinées à nos cercles. Les médias centraux ne s’y risquent pas, comme s’il s’agissait d’un virus hautement contagieux qu’il fallait à tout prix maintenir sous cloche. Le racisme antiblanc est le point aveugle de l’antiracisme officiel. Le sujet est cadenassé, verrouillé, placé sous abri antiatomique. On pourra recenser des milliers de témoignages, aligner les faits, montrer l’évidence, le logiciel médiatique restera programmé pour nier. L’imposture fonctionne depuis quarante ans, celle de méchants Gaulois qui martyrisent de gentils immigrés extra-européens, contre l’évidence.
Est-ce que, néanmoins, cette enquête nous délivrera de ce sortilège maléfique ? Je le souhaite. Mais elle ne pourra pas le faire toute seule. Il faut qu’elle circule, qu’elle soit relayée. Le succès de ce livre, si succès il y a, ne viendra ni du Monde, ni de Libération, ni de France Inter, il viendra des Français eux-mêmes, quand, majoritairement, ils montreront qu’ils en ont assez d’être humiliés dans leur propre pays.

Pour les élus de gauche, défendre la diversité est un bon placement qui rapporte gros

Riposte Laïque : Il y a toute une génération de jeunes députés LFI et d’autres partis de gauche qui nient totalement le racisme antiblanc. En dehors du dogme, selon vous, l’ont-ils connu, et le nient-ils par idéologie, ou bien leur origine sociale aisée, bien souvent, les en a préservés ?

François Bousquet : Par réflexe idéologique, par confort social, par intérêt professionnel. Gageons qu’ils ne sont pas naïfs, mais intéressés. Tant que le rapport coût-bénéfice de la société multiculturelle restera positif pour eux, ils ne changeront rien. Pourquoi le feraient-ils ? Défendre la diversité est un bon placement : il rapporte moralement, il rapporte médiatiquement, il rapporte socialement. C’est en effet moralement gratifiant : vous êtes généreux, ouvert, tolérant, du bon côté de l’Histoire. Psychologiquement rassurant : vous êtes persuadé d’avoir raison contre les fachos haineux. Socialement hyper-rentable : votre capital culturel se monnaye en capital économique, en réseautage, en promotion sociale. Issus pour la plupart de milieux aisés, protégés, surdiplômés, nos élites sont le produit d’un entre-soi qui confond progressisme et supériorité morale, cosmopolitisme et mépris de classe. Elles peuvent se permettre de nier le racisme antiblanc parce qu’elles n’en paient jamais le prix. Elles ne prennent pas le RER à 23 heures, n’habitent pas au pied des tours, n’ont jamais été les seuls Blancs dans un couloir de collège ou sur un quai de gare dans le 91 ou le 93. Elles font profession de vertu comme on entre à Sciences Po ou dans une école de journalisme. Ce sont les notaires du mensonge progressiste, qui regardent le peuple historique comme on regarderait une bête curieuse, derrière une vitre – avec distance, dégoût et condescendance.

La Nouvelle Librairie a été une magnifique aventure ouverte à toutes les dissidences

Riposte Laïque : Que devient « La Nouvelle Librairie » que vous aviez ouverte dans le Quartier latin, ce qui vous a valu de nombreuses agressions ? Et comment se procurer votre livre ?

François Bousquet : La Nouvelle Librairie a été une magnifique aventure, ouverte à toutes les dissidences, ce que ne sont pas les antifas, qui n’ont cessé, dès le premier jour, de vouloir l’effacer du paysage, à coups de marteaux, de menaces, de tags, de vitrines défoncées. Deux fois la vitrine brisée, sept dépôts de plainte, toutes classées sans suite, à telle enseigne qu’on a renoncé ensuite à porter plainte. La routine, en somme, dans un pays où le sabotage militant est devenu un droit d’inventaire sur la liberté d’expression des autres.

Pas une ligne dans la « grande presse », pourtant si prompte à dégainer les grands trémolos républicains en nous expliquant, à la suite de Henri Heine, que, là où l’on brûle des livres, on finit par brûler des hommes. Malgré cela, nous avons tenu six ans, sans subventions, sans protection, face aux milices gauchistes. Mais tenir a un prix. À la fin, il est devenu trop lourd à payer, économiquement et humainement. La librairie a baissé le rideau, mais l’entreprise continue sous une autre forme. La Nouvelle Librairie reste une maison d’édition. C’est elle d’ailleurs qui publie « Le racisme antiblanc, L’enquête interdite ». Où se procurer le livre ? Sur le site des éditions de la Nouvelle Librairie, en le commandant chez son libraire ou sur plateformes de vente.

https://nouvelle-librairie.com/

Propos recueillis par Pierre Cassen

https://ripostelaique.com/racisme-antiblanc-pour-la-premiere-fois-des-dizaines-de-victimes-temoignent.html

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