Loin de nous l’idée d’établir un délit de sale gueule, mais le moins qu’on puisse dire est que dans ce domaine, il y a des personnes qui donnent confiance au premier coup d’oeil, et d’autres un peu moins…
Olivier Sarrabeyrouse est donc un ancien directeur d’école, devenu politicien communiste et, entre autres fonctions, il est maire de Noisy-le-Sec. Une ville qui vote aux présidentielles 2022 Mélenchon à 52 % au premier tour, seulement 2 % pour Roussel, et Macron à 75 % au deuxième tour.
On pourrait s’interroger sur le fait qu’un parti qui a la mort de 100 millions de personnes sur la conscience soit toujours légal, et ait encore des élus, quand les partis nazis sont interdits, alors que Hitler et Staline étaient alliés en 1939 et ont coopéré, avec la complicité du PCF, jusqu’en 1941.
Toujours est-il que le stalinien Sarrabeyrouse a réussi à se faire élire maire de Noisy-le-Sec, en 2020, dès le premier tour, avec 53 %, sur une liste de progrès social, écologique et solidaire. Défense de rigoler dans les rangs !
Et donc, pour respecter le programme citoyen mis en avant, le nouveau peuple a droit au cinéma gratuit et en plein air, et c’est lui qui choisit les films. Des communistes qui font voter les masses ne peuvent être que des révisionnistes petit-bourgeois !
Et ce nouveau peuple cher à Mélenchon et à Sarrabeyrouse avait choisi – même si on serait curieux de savoir combien ont voté – de voir « Barbie », un film wokiste et un peu LGBT, pour des raisons confuses. Sauf que la police islamiste veillait, et a estimé que ce film était impur et donc haram. Sous la menace, le couard maire de Noisy-le-Sec s’est donc couché lamentablement et a retiré le film, qui ne sera pas projeté.
Il est incapable, comme Mélenchon lors des obsèques de Charb, d’expliquer la religion des censeurs et des assassins de liberté, mais il dit qu’il ne s’est pas couché et qu’on va voir ce qu’on va voir.
Et effectivement, on voit ! Ce minable lâche, pour espérer conserver le vote musulman, cible donc « l’extrême droite » coupable d’avoir informé le pays d’un fait que les médias vendus et corrompus cherchaient à cacher. Pathétique orateur, il essaie de se raccrocher aux branches.
Cette crapule stalinienne de maire de Noisy-le-Sec, membre d’un parti qui a sur les mains le sang de 100 millions d’innocentes victimes du communisme, dont il est complice, puisque toujours communiste, incarne tout ce que nous détestons. C’est un petit apparatchik sans le moindre courage. Mais surtout, c’est un islamo-collabo, qui essaie de pactiser avec l’ennemi, comme son parti le faisait avec les nazis il y a 80 ans. Il ose dénoncer l’islamophobie qui serait la nôtre, alors que nous nous contentons de dire que les censeurs sont des islamistes. Ce faisant, en faisant de l’islamophobie un délit, il prend le parti des envahisseurs, des ennemis de la France, encore une fois comme ses traîtres camarades en 1939.
Et surtout, il livre à la vindicte les seuls résistants qui refusent qu’une police religieuse fasse la loi dans les quartiers et décide pour le peuple les films autorisés et les films interdits. Bien sûr, il n’oublie pas de mettre un peu de « Palestine » dans sa bouillie, bien qu’on ne voie pas bien ce que le sujet vient faire dans ce débat.
Olivier Sarrabeyrouse était donc directeur d’école. Avec de pareils spécimens, on comprend mieux l’état catastrophique de l’Éducation nationale. Mais sa minable attaque contre « l’extrême droite » ne changera rien. Il va dégager en 2026, et ce seront les musulmans de la ville qui mettront un LFI à la mairie, parce que, pour les muzz, malgré son rétropédalage qui ne trompe personne, le maire de Noisy-le-Sec, aux yeux de « La Nouvelle France », sera moins fiable que le premier crétin que présentera Mélenchon. Donc, les électeurs musulmans vont le faire battre.
Et que cet islamo-collabo se fasse virer ne fera pleurer personne.