
L’Union européenne, encore, insupporte en ce moment la filière viticole européenne, avec ses 15 millions d’euros d’aides versés à l’Afrique du Sud, pour tenez vous bien, financer la “diversité et l’inclusivité” dans sa viticulture. Soit 10 millions attribués aux entreprises de viticulteurs, à condition qu’ils soient noirs et 5 millions pour la commercialisation et distribution de leurs vins. L’affaire n’est ni plus ni moins que vécue comme une provocation, ceci alors que des fermiers blancs ont été assassinés en raison de leur couleur, dans ce pays qui vire de plus en plus au chaos. Le problème est que la viticulture européenne est en crise : chute des ventes, consommation en baisse, concurrence internationale déloyale. La peine est donc double pour les professionnels français et européens, confrontés à des réglementations de plus en plus complexes, à des arrachages de parcelles et des reconversions difficiles. On rappelle qu’au RPF, nous sommes contre la subvention directe aux entreprises qui doivent vivre de leurs produits mais que nous entendons faciliter leur travail par un allègement des charges et des règles et la mise à disposition de réseaux de qualité.
Le tout sur fond d’arnaque idéologique, puisque le fil conducteur est le développement « durable », adossé au discours alarmiste sur le réchauffement climatique dont on sait maintenant qu’il n’a pas d’origine humaine puisque les paléontologues ont mis en évidence une période romaine plus chaude que maintenant, avec des modifications du climat sur des périodes courtes, de la même amplitude que celle de l’ère industrielle qui sert de prétexte pour instaurer des taxes et détruire des pans industriels entiers. La période romaine et bien d’autres, avant l’apparition de l’homme, quand la calotte glaciaire descendait jusqu’à la latitude de Paris, avant un réchauffement spectaculaire, sans combustion de pétrole.
Avec ce même motif, on retrouve la France, en tant que donatrice, dans dix-neuf pays africains qui ne sont pas suffisamment « avancés ». Avec pour fils conducteurs « la paix et la stabilité », qui se gagnent en signant des chèques, tout le monde sait cela, l’égalité entre les femmes et les hommes, également obtenue en dépensant l’argent des Français, évidemment et la lutte contre le changement climatique et la biodiversité, toujours changer le climat terrestre en dilapidant l’argent des contribuables français en Afrique… au total 1,6 milliard d’euros. A noter tout de même que la RATP donne également plus de 150 vieux bus à la Tunisie. Il faut croire qu’arrivés là-bas, ces vieux diesels ne polluent plus parce que l’argument climatique n’entre plus en ligne de compte dans cette affaire…
Mais ce n’est pas tout, la France se paye le luxe de donner aussi de l’argent à la Chine, toujours pour des prétextes idéologiques, développement durable, écologie, bio-diversité dans des coins paumés des provinces chinoises, vu que la seconde puissance mondiale ne doit pas avoir les moyens de s’occuper de ses propres lopins de terre à nettoyer. Vous ne rêvez pas, il y en a pour 220 millions. Comme aurait dit Hollande : « C’est pas cher, c’est l’État qui paye »…
Au RPF, entre autres propositions d’économies structurelles, nous proposons un arrêt total de ces aides, sachant que la dette de la France est plus élevée que celles de pas mal de pays africains réunis. Et que ces « accords » ne sont même pas assortis de conditions telles que l’arrêt de l’immigration sauvage depuis ces pays africains subventionnés. Encore la double peine pour les contribuables français.