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10 septembre : et si c’était enfin le début du grand réveil français ?

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Ils ne sont qu’une poignée à l’origine de l’appel, mais leur message résonne déjà comme un coup de tonnerre : « arrêt total et illimité du pays » à partir du 10 septembre. Un mot d’ordre simple, radical, limpide : mettre la France à l’arrêt, parce que le pays n’en peut plus.

Et ils ont raison.

Alors que François Bayrou, recyclé en premier ministre de l’austérité technocratique, annonce 43,8 milliards d’euros de coupes budgétaires, ce sont toujours les mêmes qui trinquent : les familles, les salariés, les chômeurs, les étudiants, les mères célibataires, les soignants, les retraités modestes. Deux jours fériés supprimés, une « année blanche » sortie de nulle part, des menaces sur l’assurance-chômage… Mais toujours pas un mot sur les milliards engloutis dans l’immigration incontrôlée, l’assistanat importé et la bureaucratie grassement subventionnée.

Ni syndicats, ni partis, juste des Français à bout

Le collectif à l’origine de cette mobilisation s’appelle « Mobilisation10septembre ». Ils ne sont ni encartés, ni manipulés. Ils n’attendent rien des centrales syndicales, qu’ils savent compromises depuis longtemps. Ce sont des Français lucides, qui ont compris qu’il ne faut rien attendre d’en haut. Qu’il n’y a plus rien à négocier. Que seule la révolte directe, populaire, enracinée dans le réel, peut encore infléchir le cours des choses.

Et que voit-on ? Le Système s’agite déjà. On les accuse de proximité avec « l’extrême droite », parce qu’un twitto vaguement complotiste a partagé leur visuel. Comme si cela suffisait à discréditer une mobilisation qui touche toutes les classes populaires, de toutes sensibilités. On essaie de politiser ce qui n’est, au fond, qu’un cri de survie.

Une France qui n’a plus rien à perdre

Il y a, dans cet appel du 10 septembre, quelque chose du 17 novembre 2018. Les élites devraient se souvenir de ce jour où les ronds-points ont remplacé les plateaux télé, où les oubliés de la mondialisation ont dit « stop ». Et qu’ils n’imaginent pas, cette fois, étouffer la colère avec des miettes ou des manipulations médiatiques.

Car depuis les Gilets jaunes, rien n’a changé. Pire : tout a empiré. La fiscalité asphyxie. L’insécurité gangrène. L’immigration de masse ruine les comptes publics et fracture la nation. Les prestations sociales sont gelées pour les Français, mais distribuées sans retenue à d’autres. Et pendant ce temps, le gouvernement serre la vis.

Le 10 septembre : le jour où la peur pourrait changer de camp

Oui, le pouvoir tremble. Il sent venir le retour du réel. Il redoute qu’au-delà des clivages partisans, une masse critique de Français se lève et dise « non ». Non à l’humiliation fiscale. Non au mépris de classe. Non à la dépossession démocratique.

Et si le 10 septembre était le début d’un automne français ? Pas un feu de paille. Pas une manif encadrée par des stewards syndicaux. Mais un soulèvement lent, profond, massif. Une grève civique. Une paralysie calculée. Une rupture.

Le régime ne tient plus que par l’apathie générale. Que se passera-t-il le jour où cette apathie prendra fin ?

La réponse est peut-être à un carrefour, un rond-point ou une station-service… dès le 10 septembre.

http://marcrousset.over-blog.com/2025/07/une-motion-de-censure-a-bayrou-pour-declencher-le-grand-reveil-francais.html

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