Par Philippe Germain
Ils appellent ça « le progrès » mais ce n’est qu’un convoi funèbre où l’Europe, vêtue de ses beaux principes, avance vers la tombe, poussée par des idéologues des Droits de l’homme sans âme et des technocrates repus…
La France, elle, n’est plus qu’un corps sans tête administré par une caste de technocrates gris, servile devant Bruxelles et aveugle devant l’histoire. Pour la délivrer, il faudrait un choc — pas les palabres d’un parlement fatigué, mais la main ferme d’un homme qui connaît encore le poids de la patrie et le prix de la soumission. Un coup d’arrêt, un coup de force, pour briser la cage technocratique, balayer ses complices médiatiques et judiciaires et rendre la parole au peuple par le tranchant d’un référendum sur la révision du Code de la nationalité.
Ce ne serait qu’un début. Car une fois le mal extirpé, il faudrait donner à la France un cœur qui bat et une tête qui pense : une monarchie fédérative et autogestionnaire où l’autorité veille en haut et où les libertés fleurissent en bas, comme dans les champs après l’orage. Reconstruire les piliers effondrés — l’Église, l’Armée, la Justice, l’Administration — et replacer chaque Français dans la grande charpente de son pays. Alors, la cathédrale France retrouverait son âme.
Mais il faudra plus qu’un décret ou un trône : il faudra une élite nouvelle, incorruptible, capable de parler à la fois au laboureur et au prince et de tenir tête au nihilisme civilisationnel comme on tient tête à la tempête.
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