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En reconnaissant un État palestinien, Macron accepte l’invasion islamique de l’Occident

On sait, au moins depuis le Kosovo, que les peuples originels d’une terre sont délégitimés dans leurs aspirations à y vivre s’ils entrent en concurrence avec des musulmans, et la reconnaissance de l’État de Palestine par la France s’inscrit dans ce schéma de spoliation. Au passage, nous rappellerons que les Juifs n’ont jamais quitté la Terre sainte, ou Terre promise pour le judaïsme. Et à ceux qui prétendraient que c’est faux, qu’ils étudient les manuscrits médiévaux, tant chrétiens que musulmans, lesquels attestent cette présence.

Autre fait historique qui mérite d’être rappelé, lorsque Theodor Herzl – fondateur du sionisme moderne – rencontra le sultan Abdulhamid II à la tête de l’Empire ottoman, dont faisait alors partie la Palestine, ce dernier répondit en ces termes aux aspirations d’Herzl : « Je ne peux pas me défaire d’un seul pouce de la terre de Palestine… elle ne m’appartient pas mais appartient plutôt à la nation musulmane. »

Tout était dit, et le comportement des Nations arabes, toutes musulmanes, depuis 1948, après la proclamation d’indépendance de l’État d’Israël, qui suivit de quelques mois le vote à l’ONU du plan de partage de la Palestine entre un État juif et un État arabe, a toujours été dans ce sens, à savoir qu’Israël n’appartient pas au peuple palestinien mais bel et bien au Dar al-Islam, c’est-à-dire la maison de l’islam. Les Palestiniens ne sont qu’un prétexte destiné à endormir les peuples du monde qui s’engouffrent dans cette duperie à leurs propres dépens. Car l’islam ne vise rien d’autre que la soumission du monde.

D’ailleurs, si les pays musulmans se souciaient un tant soit peu des Palestiniens, il y a bien longtemps qu’ils les aideraient autrement qu’en leur fournissant les moyens de fabriquer des armes destinées à tuer les Juifs mécréants.

Aussi – sous l’ombre de l’Arabie saoudite, détentrice du lieu le plus saint de l’islam, La Mecque, tout se tient ! –, le discours d’Emmanuel Macron à la tribune de l’ONU – en passe de devenir une instance islamique internationale –, reconnaissant péremptoirement au nom de la France, et sans consulter son peuple à ce sujet, un État palestinien, est un discours de dhimmi dont nous mesurerons prochainement les effets pervers.

En effet, ce discours présidentiel inconscient prépare notre pays à subir le même sort que le Kosovo. Cela pourra commencer par une scission des régions françaises à majorité musulmane. Puis, sous la pression démographique exercée par les femmes musulmanes, le reste de la France tombera dans l’escarcelle de l’islam qui brandira sa légitimité à revendiquer la France entière comme sa terre, étant donné le nombre écrasant de ses fidèles. Alors le muezzin chantera sur les tours de Notre-Dame.

Pour revenir au Proche-Orient, on parle de la Palestine mais on oublie les quelque 2 079 300 Arabes israéliens qui représentent 21,1 % de la population du pays (source Wikipédia) et sont autant d’ennemis de l’intérieur, comme nous avons les nôtres, avec nous aussi les attentats meurtriers qui vont avec. Mais contrairement aux gouvernements israéliens qui se sont succédé depuis 1948, nous, Français, offrons à nos ennemis les instruments de notre supplice en acceptant des accommodements dits « raisonnables » avec l’islam mais qui sont en réalité les instruments de notre supplice.

Non qu’il s’agisse d’idéaliser Israël, un pays qui a ses tares comme tous les autres et dont certains diront que des extrémistes religieux s’en prennent sur place à la présence chrétienne, notamment à Jérusalem. C’est vrai, mais ces extrémistes ne tuent pas les chrétiens et ne représentent que l’infime minorité d’une population qui accueille par ailleurs volontiers le christianisme, contrairement aux musulmans qui, jusque chez nous et en nombre, entendent l’exterminer. Si l’islam reprenait Jérusalem, alors c’en serait fin de toute trace chrétienne, c’est une certitude.

 La Nation juive demeure un bouclier non seulement physique contre l’expansion islamique mais encore symbolique. Que tombe Israël et nous n’aurions plus de modèle de résistance en Occident contre l’invasion islamique. Pire, avec la chute d’un aussi farouche résistant, nous perdrions peut-être la volonté de nous défendre. Enfin, en Israël, les chrétiens ne sont pas décapités ou brûlés vifs, en islam si. En France, les Juifs sont régulièrement assassinés sans que cela n’émeuve autant que les pauvres « petits anges » délinquants de la diversité « partis trop tôt ».

D’autant que certains prétendus patriotes sont plus obsédés par le « complot juif » que le cimeterre vengeur de l’islam. Le résultat c’est que nous voyons ressurgir les vieux mythes antisémites, quitte à sombrer dans le ridicule, comme à l’époque du confinement certains prétendaient encore que les Juifs avaient empoisonné les puits. Sans doute qu’ils n’avaient pas l’eau courante !

Encore une fois, et pour couper court aux accusations de soumission à Israël dont on accuse Riposte laïque, il ne s’agit pas d’être d’accord sur toute la ligne avec cette unique démocratie du Proche-Orient, mais Israël ne menace en rien nos intérêts vitaux, contrairement à d’autres dont les actes sautent au visage, excepté pour ceux qui ne veulent pas voir. Mais ceux-là sont-ils vraiment patriotes et attachés à leur identité pour fustiger bien plus l’Étoile que le Croissant ? Il est à craindre que non.

En attendant, Emmanuel Macron n’a pas seulement reconnu l’État de Palestine, il a offert un blanc-seing à l’invasion islamique de la France. Pour preuve de sa soumission à l’islam, il a accompli ce geste symbolique le jour même du Nouvel An juif. Et le 13 novembre prochain que fera-t-il : il inaugurera une mosquée ?

https://ripostelaique.com/la-reconnaissance-dun-etat-palestinien-cest-la-reconnaissance-de-linvasion-islamique-de-loccident.html

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