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  • Malaise à l’école : ils sont Kouachi (Présent 8271)

    Les médias pourront toujours diffuser en boucle les discours d’apaisement de Boubaker ou de Chalghoumi, ils pourront bien marteler qu’il ne faut « surtout pas faire d’amalgame », il n’en restera pas moins que, sur le terrain, la majorité des « jeunes » musulmans cautionnent les crimes perpétrés par les Kouachi et autre Coulibaly. Comme l’ont montré les nombreux incidents qui ont accompagné vendredi dernier l’évocation des attentats dans les établissements scolaires.
    Malaise à l’école : ils sont Kouachi (Présent 8271)

    « Au moins 80 % »

    Dans le courrier qu’il avait adressé le 7 janvier à l’ensemble du personnel enseignant, le ministre de l’Education, rappelant que « la République a confié à l’Ecole, dès son origine, la mission de former des citoyens, de transmettre les valeurs fondamentales de liberté, d’égalité, de fraternité et de laïcité », avait invité les profs « à répondre favorablement aux besoins ou demandes d’expression qui pourraient avoir lieu dans les classes »Et ils n’ont pas été déçus !

    Quand ils n’ont pas tout bonnement éludé la question, conscients qu’ils étaient des risques de dérapage, ils se sont heurtés aux réactions les plus hostiles. Ainsi, sur son compte Facebook, une enseignante raconte-t-elle comment, lors de son arrivée jeudi dernier à l’école, elle a été accueillie par des « Moi j’suis pour ceux qui l’ont tué »… Dans une classe de 3e d’un collège du XIIIe arrondissement de Paris, huit élèves sur 26 ont rejeté la décision de décréter un jour de deuil national, l’un d’eux expliquant même au prof de français qu’« ils l’ont bien cherché ». Mieux : dans une école élémentaire de Seine-Saint-Denis, ce sont « plus de 80 % des élèves d’une classe » qui ont refusé la minute de silence en hommage aux douze personnes assassinées ! Et dans un lycée professionnel de Bobigny, ladite minute s’est faite sur fond de « Allah Ouakbar »

     

    « Je suis Kouachi »

    Cette minute de silence ayant été laissée à l’appréciation des proviseurs, un prof d’anglais de l’Académie de Versailles s’est même vu demander de ne pas la faire respecter pour… « éviter les troubles » ! C’est que les risques sont réels. Comme l’a découvert à ses dépens cet élève de quinze ans d’un lycée technique de Châteauroux qui, pour avoir défendu la tolérance et la laïcité sur Facebook, s’est fait roué de coups vendredi par trois élèves de son lycée. Bilan : huit jours d’ITT. Et puis il y a cette enseignante de Lille, qui s’est entendu dire par un élève de quatrième : « Si tu fais la minute de silence, je te bute à la kalach »

    Surprise ? Pas vraiment. A l’instar de ceux du 11-Septembre, de Mérah ou encore de Nemouche, il est clair que les attentats perpétrés par les frères Kouachi et Coulibaly ont été largement applaudis dans les banlieues abandonnées à l’immigration, aux imams salafistes et à l’argent des Qatari.

    Franck Deletraz

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