par Gérard Leclerc
Notre-Dame de Liesse, du Saint-Cordon, de Malaise… L’omniprésence des sanctuaires mariaux souligne la place éminente de la Vierge dans notre pays.
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par Gérard Leclerc
Notre-Dame de Liesse, du Saint-Cordon, de Malaise… L’omniprésence des sanctuaires mariaux souligne la place éminente de la Vierge dans notre pays.
Par Gérard Leclerc
L’abbé Donnissan, le curé d’Ambricourt… Les figures sacerdotales qui peuplent l’œuvre de Georges Bernanos doivent beaucoup au saint patron des curés.
Sous le soleil de Satan, le premier roman de Georges Bernanos, est paru en 1926. On peut faire le rapprochement de cette publication avec la canonisation du saint Curé d’Ars qui est de l’année précédente, bien que l’écrivain ait commencé à écrire son livre au lendemain de la Première Guerre mondiale. Cela n’empêche pas que la figure de Jean-Marie Vianney soit bien présente, avec le personnage de l’abbé Donissan, qu’il appelle « le saint de Lumbres ». C’est que, selon le témoignage de son ami et confident Robert Vallery-Radot, Bernanos aurait lu la vie du Curé d’Ars et en aurait été très marqué : « Ce saint qui avait failli ne pas recevoir les ordres à cause de son manque de moyens intellectuels, et cependant avait bouleversé son temps, attiré le monde entier à son confessionnal de petit curé de village, prédit l’avenir, guéri les malades, lu dans les âmes, lutté corps à corps avec le démon, lequel, de rage, avait brûlé sa paillasse. Ce saint ravissait [Bernanos] par la seule simplicité de son cœur d’enfant qui n’aimait que Dieu et les âmes des pécheurs. »
Dans la nuit de samedi à dimanche 27 juillet, les ADF (Forces démocratiques alliées), groupe armé formé à l’origine d’anciens rebelles ougandais et qui a fait allégeance au groupe État islamique, ont attaqué la paroisse Bienheureuse Anuarite de Komanda dans la province de l’Ituri, dans le nord-est de la RDC.
par Gérard Leclerc
À ce moment estival, où le pays entre dans une phase de détente, il est utile de faire le point, même s’il est rapide, sur notre situation spirituelle. Celle-ci n’est pas indépendante de notre situation plus générale, marquée par des divisions parfois violentes, des questions en suspens et l’incertitude quant aux prochaines échéances politiques. Comment les chrétiens ne seraient-ils pas eux-mêmes affectés par ce climat orageux, qui n’est pas sans relation avec l’état moral d’une France en perte de repères et engagée dans des réformes sociétales, telle celle sur la fin de vie, qui montrent à quel point nous persistons sur une ligne de déconstruction intérieure.
Sur les cinq premiers mois de l’année, 322 actes antichrétiens ont été recensés, contre 284 en 2024 sur la même période, a fait savoir le ministère, jeudi. Entre janvier et mai, 504 actes antisémites ont été recensés, contre 662 l’année dernière.
Combat royaliste 80
Par Philippe Germain
La fièvre planétaire est marquée par le brutal retour DU Politique dans quatre zones géopolitiques : l’Ukraine, le Moyen-Orient, l’Antarctique et l’Indopacifique où l’impérialisme chinois fait peser le risque de perte d’intégrité territoriale de la France. Pour contrer ce risque, l’école d’Action française offre de solides connaissances, ordonnables dans une ligne politique nationaliste. Celle de « l’atout géopolitique d’Outre-mer », éveillant les métropolitains à ce qui reste de grandeur de la France. Ensuite, « l’eurocriticisme » évitant d’espérer dans la fausse bonne solution d’un rassemblement des patriotes au parlement européen. Dans la conclusion de son ouvrage de référence, Comment dissoudre la France dans l’Europe, Axel Tisserand renvoie vers une autre connaissance. Celle de « l’union latine », formalisée par Charles Maurras en 1952 dans Le soliloque du prisonnier. Celle de la rencontre d’une civilisation catholique idéalement et moralement organisée et d’un esprit latin, autour de la cause de « l’archie », la cause de l’ordre.
Évoquée depuis un peu plus d’un an, l’installation d’une croix sur un terrain privé au village de Larcenac à Saint-Vincent, a eu lieu en ce jeudi de l’Ascension. La cérémonie s’est déroulée en fin d’après-midi sur un terrain privé en bordure d’un chemin, à 300 mètres en contrebas du GR 765, le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle.
par Rodolf Hertig
Constater la religiosité de la République française n’est aujourd’hui plus à faire. D’aucuns pourraient épiloguer sur ses « cérémonies » laïques, sur sa puissance propagandiste et sur sa volonté perpétuelle d’avancer toujours davantage une certaine idée qu’ils se font de l’homme (Homo Deus) et de sa nécessaire « émancipation », nous disent-ils, en tout cas c’est ce qu’ils font sans aucune considération morale qui n’est pour eux qu’un frein au progrès. Comme ces faits clairs et bien compris, voire acceptés, par une majorité des citoyens sont suffisamment explicites nous n’étayerons point davantage nos dires.