Louis Dasté, de son vrai nom André Baron, ingénieur, journaliste et militant nationaliste français antidreyfusard, fut proche de la Ligue de la patrie française (dirigée notamment par Jules Lemaître et François Coppée) puis de l’Action française. Fondateur de divers journaux antimaçonniques, il est l’auteur de plusieurs livres dénonçant l’action des sociétés secrètes.
culture et histoire - Page 409
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Les sociétés secrètes et leurs crimes, depuis les initiés d’Isis jusqu’aux Francs-Maçons modernes (Louis Dasté)
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Ce que penser veut dire Avec Alain de Benoist
Riche actualité éditoriale pour Alain de Benoist qui, après Le moment populiste, fait paraître aux éditions du Rocher Ce que penser veut dire. Un voyage au coeur du monde des idées, limpide et stimulant, de Rousseau à Michéa. Pour changer le monde, il faut le comprendre. Et pour le comprendre, il faut l’interpréter. Ici commence le travail de la pensée.
Un livre d’Alain de Benoist, c'est une caisse à outils mise à la disposition de ceux qui cherchent mieux comprendre et agir le monde qui les entoure. Le thème de ce livre-ci, Ce que penser veut dire, est a la fois un prétexte et une leçon. Une pensée efficiente, pour lui, n’est pas un système de vérités impératives. Seuls les doctrinaires et les médiocres fonctionnent ainsi. Une pensée efficiente est, d'abord, l’exemple d’une méthode, d'un déploiement d'idées, d’une dissémination ordonnée de repères qui tentent de configurer, de représenter, de cartographier le labyrinthe du monde en vue d'une action sur celui-ci.
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CiNémésis, épisode 2: Agora
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Beccaria, Voltaire et Napoléon ou l’étrange humanisme pénal des Lumières (Xavier Martin)
Xavier Martin, Professeur émérite d’histoire du droit à l’Université d’Angers, est l’auteur d’une douzaine d’ouvrages sur les implications d’une approche réductrice de l’humain dans l’esprit des Lumières, sous la Révolution, et durant la séquence napoléonienne.
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La Petite Histoire : Davout, l’invincible maréchal de fer – Les grands maréchaux
Pour cet épisode, on continue, avec la thématique de ce mois de septembre sur les plus grands maréchaux de l’Empire. Après Murat et Ney, place maintenant à Davout. Surnommé le Maréchal de Fer, Louis-Nicolas Davout est le seul maréchal invaincu des guerres napoléoniennes. À ses hommes comme à lui-même, il imposait une rigueur et une discipline de fer, ce qui lui permettra de remporter bien des batailles épiques. La plus célèbre d’entre elles, celle qui lui vaudra son titre de duc, c’est bien entendu la bataille d’Auerstaedt, où il écrase les Prussiens à un contre trois grâce à ses talents de manoeuvrier et de tacticien. Il n’a jamais failli, n’a jamais été vaincu, n’a jamais trahi Napoléon.
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De Gaulle et ses Premiers Ministres 2/2
La lassitude du Général
Le domaine réservé est donc, c’est une constante de la Ve République, l’apanage du chef de l’État. Le Premier ministre, s’il ne s’y aventure pas, peut espérer renforcer son rôle sur d’autres terrains. Georges Pompidou, plus ambitieux que Michel Debré (1), y parvient avec talent. Après les législatives du 25 novembre 1962, où il a démontré dans le combat électoral sa pugnacité, il entend rendre manifeste l’activité du gouvernement. Ce renforcement du Premier ministre va en outre à la rencontre de ce que Burin des Roziers (ancien secrétaire général de la présidence de la République 1962-1967) appelle dans sa communication, « la lassitude du général ». Tenté constamment par le retour à Colombey, supportant mal l’air confiné de l’Élysée, l’ancien chef de la France libre se plaît peu à peu à se dessaisir de certaines initiatives et surtout de leur application. Ainsi, une fois le Premier ministre saisi d’un dossier, le Président est étonnamment absent. Il maintient là sa vieille maxime militaire : on juge de l’exécution après coup, et pas en cours d’exécution.
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Quand les harkis étaient conspués par la gauche
Vu sur BVoltaire Par Gabrielle Cluzel
Ainsi donc, quelques jours avant le 25 septembre, journée d’hommage national aux harkis, Emmanuel Macron annonce une loi à venir « de reconnaissance et de réparation » à leur endroit. C’est fort, très fort, trop fort. Si fort que la droite réunie vacille, interdite, et doit reconfigurer son logiciel. Comment ne pas se réjouir, mais comment ne pas non plus flairer l’entourloupe à plein nez ?
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Pierre Yves Rougeyron l'Epee et le Cimeterre 2 : les questions
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De Gaulle et ses Premiers Ministres 1/2
Considérations sur le pouvoir gaullien autour du colloque de l’Institut Charles de Gaulle
Le 4 novembre 1960, le général de Gaulle ajoute au texte de son discours l’incidente suivante : « (…) la République algérienne laquelle existera un jour ». Il s’agit d’un geste de la plus grande importance, qui consent officiellement à l’indépendance de l’Algérie. Son Premier ministre, Michel Debré, est stupéfait. À aucun moment, de Gaulle ne lui a parlé de sa volonté de rajouter au texte cette petite phrase fatidique. L’anecdote est révélatrice des rapports entre Charles de Gaulle et ses Premiers ministres, Michel Debré (en exercice de 1959 à 1962), Georges Pompidou (1962-1968), Couve de Murville (juillet 1968 à avril 1969), que décrit un ouvrage récemment paru chez Plon, De Gaulle et ses Premiers ministres 1959-1969, publication reprenant les communications d’un colloque de l’Institut Charles de Gaulle.
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Le Dossier Rockefeller (Gary Allen)
Gary Allen (1936-1986) est un journaliste indépendant américain, diplômé de l’université Stanford et de l’université de l’Etat de Californie. Ses recherches l’ont conduit à prendre conscience des objectifs réels des Rockefeller, loin de la version officielle qui nous les présente comme des milliardaires philanthropes.
Ce Dossier Rockefeller qu’il a lentement et méticuleusement constitué a été publié aux Etats-Unis en 1976, accompagné d’une préface de Lawrence P. Mc Donald, membre du Congrès.