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culture et histoire - Page 408

  • 1914-1918, l’intégrale (Jean-Yves Le Naour)

    Jean-Yves Le Naour, historien de la Première Guerre mondiale, est l’auteur de plusieurs livres à succès sur ce conflit dont nous commémorons le centenaire.

    Et précisément, à l’occasion de ce centenaire de l’armistice de 1918, les éditions Perrin éditent en un seul volume monumental de 1600 pages sa série de cinq ouvrages (1914 La grande illusion, 1915 L’enlisement, 1916 L’enfer, 1917 La paix impossible et 1918 L’étrange victoire).

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  • Athènes, une cité entre mythe et politique

    Athènes, une cité entre mythe et politique

    Sonia Darthou, docteur de l'EPHE spécialiste du polythéisme et des mythes fondateurs grecs, propose une étude fouillée sur le rapport des Athéniens à leurs mythes, qui leur ont permis de s’ancrer et se réinventer en permanence. Une belle leçon de politique !

    La vie des anciens Grecs était imprégnée par le mythe, et leurs sociétés, loin des spiritualités qui nous sont devenues familières, s’enracinaient profondément dans le destin des dieux et des héros. Dans son étude Athènes. Histoire d’une cité entre mythe et politique, parue aux éditions Passés Composés, Sonia Darthou restitue le tableau édifiant d’une mythologie qui ne saurait être réduite à une simple histoire des religions.

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  • Kant

    S'il existe des philosophes faussement faciles, Kant peut être catalogué comme faussement difficile. La seule difficulté puisqu'il y en a une quand même vient du vocabulaire à assimiler pour aborder son œuvre. Kant est le représentant par excellence de l'idéalisme allemand avec sa révolution copernicienne. Le sujet ne tourne plus autour de l'objet qu'il cherche à connaître, mais l'inverse. Il se situe donc en dehors du réalisme. Le philosophe de Königsberg a établi avec une extrême rigueur les conditions de la connaissance dans la critique de la raison pure.

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  • ◘ Entretien avec R. Steuckers sur la réception de l’œuvre de J. Evola en Belgique 8/8

    Vienne et Zürich/Frauenfeld

    Ma première activité strictement évolienne date de 1998, année du décès de Marc. Eemans. Evola suscitait à l’époque de plus en plus d’intérêt en Allemagne et en Autriche, grâce, notamment, aux efforts du Dr. T. H. Hansen, traducteur et exégète du penseur traditionaliste. Du coup, toutes les antennes germanophones de Synergies Européennes voulaient marquer le coup et organiser séminaires et causeries pour le centième anniversaire de la naissance du Maître. Au printemps de 1998, j’ai donc été appelé à prononcer à Vienne, dans les locaux de la Burschenschaft Olympia, une allocution en l’honneur du centenaire de la naissance d’Evola ; on avait choisi Vienne parce qu’Evola adorait cette capitale impériale et y avait reçu, en 1945, pendant le siège de la ville, l’épreuve doublement douloureuse de la blessure et de la paralysie : un mur s’est effondré, brisant définitivement la colonne vertébrale de J. Evola.

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  • LA FRANCE FAITE PAR SES ROIS, BIEN AVANT 1789.

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    Sous l’Ancien régime, la nation française existe sans que la notion soit toujours précisée en tant que telle : pour faire simple, il est possible de dire que, si l’Etat de France naît avec l’élection en 987 du roi Hugues Capet (et sans que le nom de France ne soit, d’ailleurs, accolé au titre de roi, ce qui n’adviendra qu’à partir de Philippe-Auguste), la nation française, elle, apparaît d’une certaine manière en 1214 avec la victoire de Bouvines et le soutien des bourgeois des villes aux armées royales de celui qui, alors, passe du statut de suzerain (« le roi des nobles », en somme) à celui de souverain (« le roi de France » et, désormais, des Français au-delà des simples liens féodaux).

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  • Sur Valeurs Actuelles, traite ARABE, esclavage INTERAFRICAIN : ces traites TABOUES.

    Dans l'enseignement de l'esclavage, la traite européenne principalement abordée, mais ne met pas en lumière les traites arabes, la traite de Zanzibar ou même la traite interafricaine. Ces dernières années des discours politiques ont profité de cet enseignement partial faire avancer une idéologie de la repentance. Une repentance pour les sévices que les "Blancs" auraient infligé de tout temps aux autres peuples de la terre. Mais la traite humaine est-elle l'apanage de l'homme blanc ? L'avancée des recherches sur les différentes traites nous éclaire davantage sur le caractère "universel" de la pratique de l'esclavage par les peuples à un moment de leur histoire.

    Écriture : Diwan Le Ru et Baudouin Wisselmann

    Réalisation et montage : Wilfried Mortier


    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2021/09/03/sur-valeurs-actuelles-traite-arabe-esclavage-interafricain-c-6335104.html#more

  • Histoire militaire de la France, des Mérovingiens au Second Empire

    Hervé Drévillon, professeur d’histoire moderne à l’université Paris-1 Panthéon-Sorbonne, est directeur de la recherche au Service historique de la Défense et auteur de plusieurs ouvrages d’histoire militaire. Olivier Wieviorka, professeur à l’Ecole normale supérieure de Cachan, est l’auteur de plusieurs ouvrages sur la Seconde Guerre mondiale. C’est sous leur direction qu’une équipe d’historiens a travaillé à la rédaction de cette Histoire militaire de la France publiée en deux tomes par les éditions Perrin en coédition avec le Ministère des Armées.

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  • ◘ Entretien avec R. Steuckers sur la réception de l’œuvre de J. Evola en Belgique 7/8

    De Benoist, qui a certes eu des dadas darwiniens, sortait plutôt d’un “trip” empiriste logique, de facture anglo-saxonne et “russellienne”, dont on ne saisit guère l’intérêt au vu de ses errements ultérieurs. Il tâtait maladroitement du Heidegger et voulait écrire sur le philosophe souabe un article qui attesterait de son génie dans toutes les Gaules (on attend toujours ce maître article promis sur le rapport Heidegger / Hölderlin… est germanomane par coquetterie parisienne qui veut, n’est pas germaniste de haut vol qui le prétend…).

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