Invité politique de la matinale d’Europe 1 ce mercredi au micro de Sonia Mabrouk, le président de l’UDI a pu justifier son soutien à Valérie Pécresse. Pour lui, l’UDI et LR sont « complémentaires ».
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Jean-Christophe Lagarde : « Il y a une part du programme de l’UDI qui est reprise par Valérie Pécresse »
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L'élection présidentielle ? Plutôt le Roi libre, et le Premier Ministre élu...
« Quelle chance d’être royaliste en période de présidentielle », me dit en souriant un collègue du lycée dans lequel j’ai l’honneur d’enseigner. Il est vrai que l’actuelle campagne électorale, pas encore officielle mais déjà bien (ou mal, d’ailleurs) engagée, n’a rien de réjouissant et de constructif quand, dans le même temps, la crise sanitaire monopolise les ondes et les esprits, comme une sorte d’immense « distraction » au sens premier du terme, c’est-à-dire comme moyen d’éluder tous les autres soucis ou sources de débats. De plus, le paysage électoral, s’il offre une belle diversité de couleurs politiques renforcée par la survenue de nouvelles figures, apparaît souvent comme trop chaotique pour enthousiasmer les électeurs et préparer un avenir français digne de ce nom : sans doute parce que nombre de Français ne se reconnaissent plus dans d’anciens clivages et qu’une partie non négligeable ne croit plus en les possibilités des politiques de « changer les choses ».
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Une chaise sur deux se prononce en faveur d’Anne Hidalgo
Les chaises étaient venues nombreuses assister au meeting d'Anne Hidalgo, à Aubervilliers. Devant la scène, quelques irréductibles du PS les avaient accompagnées. À gauche, on ne laisse pas du mobilier sans défense abandonné à son triste sort. Le discours de la candidate s'annonçait ennuyeux, ils se devaient d'être là pour apporter tout le soutien moral qu'un meuble de bonne facture mérite.
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Macron tenu de participer aux débats du premier tour de la présidentielle ? Il est bien emm…, pardon, embêté !
Que faire ? se demandait Lénine. Comment s’en sortir ? semble s’interroger Emmanuel Macron. Car en même temps, le Président sortant, promis en tête de gondole au premier tour de la prochaine élection présidentielle, connaît une forte baisse de popularité. Certes, un seul sondage peut induire en erreur ; mais dix sondages répétant inlassablement la même chose, ça n’est pas rien non plus.
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Premières faiblesses dans le socle électoral d’Emmanuel Macron… au mauvais moment
Le socle électoral d’Emmanuel Macron commence-t-il à se fendiller ? A moins de 90 jours du premier tour de l’élection présidentielle, un sondage et deux mauvaises nouvelles fragilisent la course à l'Elysée du président de la République. Réalisée par l’Ifop du 14 au 20 janvier sur un échantillon de 2.000 personnes, cette étude d’opinion publiée par le Journal du dimanche (JDD) du 23 janvier estime à 37 % des Français ceux qui sont satisfaits de l’action du président de la République. Ils étaient 41 % voilà un mois. Il s’agit de la baisse la plus importante pour Emmanuel Macron dans ce baromètre depuis mars 2021, soit depuis dix mois, souligne le JDD.
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LE CAS CHRISTIANE TAUBIRA
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Clip de campagne officiel #Benedetti2022
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Gilbert Collard et Damien Rieu rejoignent Eric Zemmour
Le co-fondateur de Génération Identitaire, Damien Rieu, ainsi que l’avocat Gilbert Collard, ont officialisé leur ralliement à Eric Zemmour. Si Gilbert Collard est une prise médiatique importante, celle de Damien Rieu est peut-être le prélude d’une autre bien plus importante : celle de Marion Maréchal.
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La carrière politique de Valérie Pécresse est jonchée de retournements de veste, de trahisons, de clientélisme et de conflits d’intérêt.
Le magazine L’Incorrect a publié une excellente enquête sur Valérie Pécresse intitulé “Tromperie sur la marchandise“. Extraits :
Source : pour l'incorrect via Le Salon Beige
“(…) En faisant de son sexe un atout considérable et en se définissant comme « 2/3 de Merkel et 1/3 de Thatcher », Valérie Pécresse veut donner un nouvel élan teinté de féminité et de fermeté à la droite (…). Pécresse n’étant qu’une pâle copie d’Emmanuel Macron pourrait lui voler la vedette et l’élection.
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ZEMMOUR COMME UN TAUREAU DANS L’ARÈNE.
Eric Zemmour ressemble de plus en plus à la bille du flippeur ( parlons français !) et notre vie politique au billard électrique. Sur le plateau, sur les plateaux plutôt, la bille est lancée. C’est elle la vedette, qui retient toute l’attention en pulvérisant les records d’audience, et c’est elle qui, repoussée d’un “bumper” à un autre, essaie de marquer des points entre interview transformée en jury, condamnation judiciaire et réprobations diverses à la suite de propos ou de gestes. Le destin d’une bille est tragique puisque c’est de finir au trou, mais si elle atteint un certain score, elle peut accéder au second tour.