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élections - Page 77

  • La structuration de la droite hors-les-murs en parti politique exige du RN d’envisager des alliances lors des élections législatives

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    Romain Lopez, maire RN de Moissac et ancien assistant parlementaire de Marion Maréchal, a été interrogé dans L’Incorrect. Extrait :

    […] Mais il ne faut pas confondre ouverture avec alliance, union avec annexion. Le problème de certains cadres est qu’ils ne parviennent pas à faire la distinction entre ces deux tactiques par manque d’expérience au sein d’exécutifs locaux : nous pratiquons l’ouverture, mais nous ne pratiquons nullement l’alliance ou l’union. L’union a été sporadiquement faite au second tour de la présidentielle de 2017 avec Nicolas Dupont-Aignan. Mais depuis lors, plus rien.

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  • Stéphane Ravier : “Marine Le Pen doit respecter sa parole en rassemblant plutôt qu’en divisant”

    Stéphane Ravier : “Marine Le Pen doit respecter sa parole en rassemblant plutôt qu’en divisant”

    Stéphane Ravier était interrogé sur BFM à propos de son conflit avec l’équipe dirigeante du RN, suite au soutien apporté à Eric Zemmour par une élue de son équipe au conseil municipal de Marseille. Il a déclaré :

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  • Le Pen et Zemmour en meeting : deux stratégies, deux méthodes

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    Zemmour et Le Pen tenaient tous les deux meeting, ce samedi, à Reims pour Marine Le Pen, à Lille pour Éric Zemmour. C’est évidemment tentant de les mettre dos à dos. Sur le plan numérique, Zemmour a visé haut : Reconquête revendique 8.000 participants à Lille. L’entourage de Marine Le Pen avance la moitié de ce chiffre, soit 4.000 personnes à Reims. La presse a passé le week-end à les comparer mais, en réalité, Zemmour et Le Pen n’ont pas cherché à se mesurer et la concomitance de ces deux meetings relève du hasard, dit-on du côté de Zemmour.

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  • Hidalgo : Paris perdu ! (Présent)

    « La gauche n’en veut plus, les Parisiens n’en peuvent plus. Paris sombre sous la dette », vient de déclarer Rachida Dati qui ne ménage pas ses critiques à l’égard du maire de Paris. Sale temps, en effet, pour Anne Hidalgo qui a perdu de sa superbe après cette primaire populaire qui a hissé sur le pavois son double ultra-marin qui bénéficiera du soutien de ses congénères et de celui de tous ceux qui sont sensibles aux messages de la négritude. Christiane Taubira qui rêvait de revenir sur les planches et de se voir adoubée s’est prêtée complaisamment à cette opération qui préfigure la mise en place généralisée du vote électronique dont on a vu les effets dévastateurs aux Etats-Unis lors de l’élection de Joe Biden et qui permettra tous les accommodements et tricheries possibles.

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  • LA PRÉSIDENTIELLE EST UN RÉFÉRENDUM : LA FRANCE, OUI OU NON ?

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    En imitant Bossuet, les historiens qui se pencheront sur notre époque pourraient un jour écrire : “entre 2020 et 2050, la France se meurt, la France est morte.” Le choix des Français dans quelques semaines sera d’enrayer ou non le processus. Le frétillant freluquet qui sert de porte-parole au pouvoir parle des opposants comme de “morts-vivants” parce qu’ils cultivent la nostalgie d’une France en train de disparaître. Ce chantre halluciné de la liquidation de notre pays s’enthousiasme à l’idée d’un pays revisité par le souffle de l’avenir. Ce souffle c’est l’appel du néant, la marche des Français vers le rien ou vers le “grand autre” parce qu’ils auront cru que l’essentiel était de protéger la santé au moyen de mesures liberticides disproportionnées alors que le risque a pratiquement disparu, ou que les aumônes distribuées par le monarque grâce à la planche à billets de l’endettement leur permettraient de survivre à la crise.

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  • Valérie Pécresse, ou les misères de la droite française, par Clément Martin

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    Au micro d’Europe 1, Valérie Pécresse se présentait le 17 janvier comme l’incarnation d’une « droite contemporaine »[1], par opposition à Éric Zemmour, accusé d’être « nostalgique d’une France du passé ». Valérie Pécresse est une candidate qui porte en elle toutes les fautes et les compromissions de sa famille politique. À au moins deux titres : premièrement, elle démontre à quel point la droite (dite « républicaine », « gaulliste » ou « post-gaulliste », etc.) est idéologiquement soumise à la gauche. En outre, elle révèle son manque criant de vision pour lutter contre les dangers qui menacent véritablement l’identité de notre pays.

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  • Attaqué sur le soutien du Parti de la France, Éric Zemmour tient bon !

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    Un communiqué de Thomas Joly, président  du Parti de la France 
    Mercredi 2 février, dans l'émission « Mission Convaincre » sur LCI, David Pujadas et Ruth Elkrief ont sommé Éric Zemmour de rejeter le soutien du Parti de la France à sa candidature car nous serions un mouvement « antisémite », « néo-fasciste » et composé de « skinheads ».
    Refusant de se plier aux oukases de la bien-pensance journalistique, Éric Zemmour ne leur a rien cédé.
    Ces élucubrations sont d'ailleurs cocasses, les quelques marginaux de la mouvance nationale, confits dans un antisémitisme pathologique et/ou un folklore suranné, qualifiant le Parti de la France de « judéo-servile » en raison de notre soutien à Éric Zemmour !
    Ne pratiquant pas la dédiabolisation obsessionnelle des patriotes en carton de la direction du RN, le Parti de la France ne répondra pas à ces accusations initiées par un Louis Aliot bouffi d'aigreur et de rancœur.
    Me ne frego et vive Zemmour !
  • La lutte contre la pauvreté, grande oubliée de la présidentielle de 2022.

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    L’élection présidentielle est l’occasion de tirer un bilan du quinquennat de M. Macron, au-delà des effets d’annonce et des fumées de la communication, et la Fédération protestante de France n’a pas manqué à cet exercice qui n’est pas que comptable. Cela est d’autant plus intéressant que cette Fédération se veut une « vigie de la République » et qu’elle donne, pourtant, de nombreux arguments qui paraissent parfois moins républicains que leur affirmation précédente pourrait le laisser croire… Bien sûr (si je puis dire, au regard de ses engagements précédents dans le temps), elle prône un accueil des migrants qui, à bien les lire, confine à une forme de fatalisme :

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  • Législatives au Portugal : à peine trois ans après sa création, le parti “Chega”, classé à l’extrême-droite, devient la 3ème force politique du pays

    Le Portugal n’avait jamais eu d’extrême-droite parlementaire depuis la Révolution des oeillets. C’est chose faire depuis les législatives du 30 janvier avec le parti “Chega”

    (…) Mais la vraie surprise d’hier n’est pas tant la victoire d’un socialiste dans des élections législatives. Non, la vraie surprise d’hier pour les Portugais, c’est la 3e place obtenue par l’extrême-droite de « Chega » qui signifie « Ça suffit ! » avec plus 7% des voix.

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  • Candidature de Macron : la France multiculturelle en marche

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    C’est une pièce en trois actes. Le thème ? Comment faire réélire Emmanuel Macron. Une partie a déjà été rédigée, mais le plus important reste à écrire.

    Le premier acte s’est déroulé à Vichy, le 8 décembre dernier. Un  solennel, accompagné de Serge et Beate Klarsfeld, se recueille devant la stèle érigée en mémoire des déportés juifs. Personne ne l’évoque directement à ce moment-là, mais c’est bien Éric Zemmour et ses propos sur Pétain qui sont dans toutes les têtes, et surtout dans celles des « stratèges de la majorité ».
    Le journaliste Olivier Faye rapporte, le lendemain, leurs confidences dans le journal  : Zemmour offre à Emmanuel Macron « l’occasion d’opposer deux récits antagonistes » et « de réactiver le clivage entre progressistes et nationalistes qui a fait le succès du chef de l’État ».

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