A défaut d’avoir eu le soutien explicite de Nicolas Sarkozy, on apprend dans un article du Monde que Valérie Pécresse est conseillée par François Hollande.
élections - Page 75
-
François Hollande conseille Valérie Pécresse
-
Présidentielle : 71% des Français estiment qu’Emmanuel Macron fait campagne aux frais de l’Etat, selon un sondage
À deux mois de l’élection présidentielle de 2022, alors qu’Emmanuel Macron n’est toujours pas officiellement candidat, un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro révèle que 71% des Français estiment qu’Emmanuel Macron fait campagne aux frais de l’Etat.Pour 68% de Français, il faudrait que le chef de l’État fasse son annonce dès maintenant, alors qu’il avait indiqué vouloir attendre un apaisement de la situation en Ukraine et une meilleure maîtrise de la crise sanitaire. Même du côté de son parti La République en marche (LREM), ils sont 49% à estimer que le faux suspense n’a que trop duré. -
Au soir du 10 avril, Emmanuel Macron et ses sbires veulent nous refaire le coup de Chirac en 2002.
Vous souvenez-vous du coup de tonnerre dans un ciel serein, le soir du 21 avril 2002, lorsque les étranges lucarnes nous annoncèrent, effondrées, que l’adversaire de Jacques Chirac, au second tour de l’élection présidentielle, serait… Jean-Marie Le Pen ? Mais vous vous souvenez sans doute de ce fameux « front républicain » qui s’en suivit et où l’on vit, dans une quasi-unanimité, tous les partis politiques institutionnels se désister en faveur du président sortant pour « faire barrage à l’extrême droâââââte ! » Au point que Jacques Chirac devint ainsi, deux semaines plus tard et sans état d’âme, l’élu de la gauche et même de l’extrême gauche…
-
Valérie Pécresse, la candidate qui n’imprimait pas, spécialiste de la « gênance »
C'est un mot qui devrait bientôt faire son entrée dans les dictionnaires, comme il l'a fait depuis bien longtemps dans le monde des moins de 30 ans. La gênance, c'est le sentiment que l'on ressent devant le comportement embarrassant ou ridicule de quelqu'un ; c'est le substantif qui caractérise, pour utiliser un autre mot de jeune, une situation « malaisante ».
-
500 parrainages : barrage en amont, par Franck Deletraz
Après Macron, qui continue lamentablement à faire campagne avec l’argent des Français et s’est même permis de se payer leur tête mardi en déclarant avec un sourire ironique qu’il allait « falloir songer à un moment » à officialiser sa candidature, ce sont donc Valérie Pécresse et Anne Hidalgo qui, avec respectivement 939 et 652 signatures reçues et validées par le Conseil constitutionnel, ont réussi à passer la fameuse barre des 500 parrainages nécessaires pour participer à l’élection présidentielle.
-
La structuration de la droite hors-les-murs en parti politique exige du RN d’envisager des alliances lors des élections législatives
Romain Lopez, maire RN de Moissac et ancien assistant parlementaire de Marion Maréchal, a été interrogé dans L’Incorrect. Extrait :
[…] Mais il ne faut pas confondre ouverture avec alliance, union avec annexion. Le problème de certains cadres est qu’ils ne parviennent pas à faire la distinction entre ces deux tactiques par manque d’expérience au sein d’exécutifs locaux : nous pratiquons l’ouverture, mais nous ne pratiquons nullement l’alliance ou l’union. L’union a été sporadiquement faite au second tour de la présidentielle de 2017 avec Nicolas Dupont-Aignan. Mais depuis lors, plus rien.
-
Stéphane Ravier : “Marine Le Pen doit respecter sa parole en rassemblant plutôt qu’en divisant”
Stéphane Ravier était interrogé sur BFM à propos de son conflit avec l’équipe dirigeante du RN, suite au soutien apporté à Eric Zemmour par une élue de son équipe au conseil municipal de Marseille. Il a déclaré :
-
Le Pen et Zemmour en meeting : deux stratégies, deux méthodes
Zemmour et Le Pen tenaient tous les deux meeting, ce samedi, à Reims pour Marine Le Pen, à Lille pour Éric Zemmour. C’est évidemment tentant de les mettre dos à dos. Sur le plan numérique, Zemmour a visé haut : Reconquête revendique 8.000 participants à Lille. L’entourage de Marine Le Pen avance la moitié de ce chiffre, soit 4.000 personnes à Reims. La presse a passé le week-end à les comparer mais, en réalité, Zemmour et Le Pen n’ont pas cherché à se mesurer et la concomitance de ces deux meetings relève du hasard, dit-on du côté de Zemmour.
-
Hidalgo : Paris perdu ! (Présent)
« La gauche n’en veut plus, les Parisiens n’en peuvent plus. Paris sombre sous la dette », vient de déclarer Rachida Dati qui ne ménage pas ses critiques à l’égard du maire de Paris. Sale temps, en effet, pour Anne Hidalgo qui a perdu de sa superbe après cette primaire populaire qui a hissé sur le pavois son double ultra-marin qui bénéficiera du soutien de ses congénères et de celui de tous ceux qui sont sensibles aux messages de la négritude. Christiane Taubira qui rêvait de revenir sur les planches et de se voir adoubée s’est prêtée complaisamment à cette opération qui préfigure la mise en place généralisée du vote électronique dont on a vu les effets dévastateurs aux Etats-Unis lors de l’élection de Joe Biden et qui permettra tous les accommodements et tricheries possibles.
-
LA PRÉSIDENTIELLE EST UN RÉFÉRENDUM : LA FRANCE, OUI OU NON ?
En imitant Bossuet, les historiens qui se pencheront sur notre époque pourraient un jour écrire : “entre 2020 et 2050, la France se meurt, la France est morte.” Le choix des Français dans quelques semaines sera d’enrayer ou non le processus. Le frétillant freluquet qui sert de porte-parole au pouvoir parle des opposants comme de “morts-vivants” parce qu’ils cultivent la nostalgie d’une France en train de disparaître. Ce chantre halluciné de la liquidation de notre pays s’enthousiasme à l’idée d’un pays revisité par le souffle de l’avenir. Ce souffle c’est l’appel du néant, la marche des Français vers le rien ou vers le “grand autre” parce qu’ils auront cru que l’essentiel était de protéger la santé au moyen de mesures liberticides disproportionnées alors que le risque a pratiquement disparu, ou que les aumônes distribuées par le monarque grâce à la planche à billets de l’endettement leur permettraient de survivre à la crise.