
L’un des auteurs des attentats meurtriers de 1995, Boualem Bensaïd, sera remis en liberté le 1er août après un feu vert de la cour d’appel de Paris à une demande de libération, sous condition d’expulsion vers l’Algérie.
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L’un des auteurs des attentats meurtriers de 1995, Boualem Bensaïd, sera remis en liberté le 1er août après un feu vert de la cour d’appel de Paris à une demande de libération, sous condition d’expulsion vers l’Algérie.
La préfecture du Val-d’Oise a fait procéder à l’expulsion d’une famille de la cité Joliot-Curie à Argenteuil, ce vendredi matin, à la demande du bailleur social AB Habitat. C’est la conséquence d’une perquisition judiciaire qui remonte au printemps 2024. Les forces de l’ordre avaient alors découvert 2,3 kg de cannabis appartenant à un fils majeur de la famille. Cet homme âgé de 27 ans a été condamné le 15 mars 2024 pour trafic de stupéfiants. Mais la procédure d’expulsion a été déclenchée au lendemain de la découverte de drogue.
Selon un sondage Elabe pour BFMTV publié le 10 juillet, deux tiers des Français (67%) sont favorables à l’armement de la police municipale, une opinion même partagée par 62 % des sympathisants de La France insoumise, malgré l’opposition de leur cheffe de file Mathilde Panot, qui plaide pour une police municipale désarmée et une suppression de la vidéosurveillance.
Un Franco-Algérien âgé de 20 ans, originaire de la région toulousaine, aurait envisagé une attaque «contre des juifs et des mécréants». L’individu aurait été fiché S et surveillé par la DGSI (renseignement intérieur), et ce dès le confinement dû à l’épidémie de Covid-19, pour sa consultation habituelle de vidéos radicales.
La Fête de la musique a viré au drame pour une jeune femme agressée sexuellement le 21 juin dernier dans le centre-ville de Sarreguemines. Son agresseur, en situation irrégulière dans le pays, a été condamné à huit mois de prison ferme et l’interdiction du territoire français durant dix ans
Des détonations ont été entendues ce jeudi 10 juillet vers 22 heures dans le quartier Mas de Mingue, non loin de la mosquée.
L’affaire des piscines est symptomatique et cette ville suisse qui fait l’actualité en interdisant désormais l’entrée de sa piscine aux Français est une affaire en trompe l’oeil. Il ne faut pas s’y tromper, si vous allez dans cette piscine avec votre épouse et vos deux enfants, rassurez vous, on ne vous demandera même pas votre carte d’identité. Les Suisses n’ont pas peur de nommer les choses et il s’agit bien entendu de bandes de racailles exotiques qui n’en sont pas à leur premier fait d’arme en Suisse, ce pays encore trop cool avec ce qu’on nomme avec pudeur « l’enrichissement culturel » et qui n’a pas pris la mesure des attaques, parce qu’il n’est pas encore totalement envahi. Du reste, les années précédentes, nous avions eu le même type de phénomène avec les « jeunes » des cités de Strasbourg qui allaient faire la même chose dans les piscines allemandes frontalières.
Dans la nuit du 18 au 19 juin dernier, un équipage de la police nationale a terminé sa patrouille quand il a été avisé d’une rixe. Les policiers se sont rendus en renfort de leurs collègues confrontés à une quinzaine d’individus, sur le parvis du Kursaal, à proximité d’un chapiteau du Festival de la Bonne Aventure.
C’est une décision de justice qui soulève l’incompréhension, l’indignation, et désormais une colère froide. Le parquet de Lorient a annoncé le classement sans suite de l’affaire du passage à tabac d’un tatoueur d’Auray, roué de coups par plusieurs individus, en marge du match Lorient-Caen, le 26 avril dernier. Une affaire pourtant documentée, avec preuves, témoignages et même des gardes à vue assorties d’aveux partiels. Rien n’y a fait.