Peut-on parler de «meurtre» de Russes en ex-Ukraine ? perpétré par des sujets de sa Britannique Majesté ?

Qui l’eût cru ?

par Mendelssohn Moses

Pour le genre littéraire «Le Roi est Nu», on peut compter sur les rédacteurs de UK Column News, et notamment sur Brian Gerrish, ancien officier du renseignement naval.

Le 29 juillet 2024, un auditeur de UK Column News a envoyé au ministère britannique de la Défense une requête sous le Freedom of Information Act posant deux questions pour ainsi dire simples¹ :

1. Combien de militaires britanniques sont morts dans les combats en Ukraine depuis le mois de mai 2022 ?

2. Combien de militaires britanniques ont été blessés dans les combats en Ukraine depuis le mois de mai 2022 ?

L'armée ukrainienne est à court d'armes allemandes, lesquelles ne peuvent être remplacées

Les forces armées ukrainiennes ne peuvent plus utiliser certaines armes allemandes, écrit le journal allemand Bild am Sonntag en se référant à un document interne du ministère allemand de la Défense.

L’Allemagne, deuxième donateur ukrainien en termes d’aide militaire, ne peut pas remplacer les armes, dont Kiev manque actuellement.

Que faire face au terrorisme nucléaire ukrainien ?

Voici un des éditorialistes russes (un Arménien proche du pouvoir) qui expose ce qu’est le choix de la Russie et que l’on peut résumer à travers l’idée que la Russie ne peut compter que sur elle-même dans l’assaut d’un régime qui dévoile sa vraie nature et que la propagande occidentale transforme en victime… À l’inverse de Ziouganov, qui à partir de la même analyse du rôle de l’OTAN et de la marionnette d’extrême droite à vocation terroriste qu’est l’Ukraine, ne renonce pas à s’adresser aux peuples qu’il s’agisse de celui de l’Ukraine ou aux forces progressistes d’Europe. Nous avons ici la colère et le mépris des Russes qui montre l’idée que la colère est un plat qui se mange froid et qui déclenche ce peuple si lent à partir, qui n’aime pas la guerre mais sait la faire et ne sous-estime jamais l’ennemi même dans ses fanfaronnades les plus dangereuses.

Danielle Bleitrach

Dans la région de Koursk, l’Ukraine a utilisé les blindés livrés par l’Otan la veille de l’attaque

C'est ce qu'a appris Sputnik de documents saisis par les militaires russes.

Il en ressort que le Roshel Senator (modèle Ford F-559 Sénateur APC) enregistré le 26 juillet 2024, a passé le contrôle technique le 27 juillet, c’est-à-dire 10 jours avant la tentative kievienne d’envahir les territoires russes.

Les nœuds géostratégiques maritimes : l’Europe face à des enjeux vitaux

Frédéric Eparvier évoque dans ce nouveau texte L’accélération de l’histoire – Les nœuds géostratégiques d’un monde hors de contrôle, ouvrage de Thomas Gomart paru aux éditions Tallandier.
Polémia

Un véritable essai de géopolitique

Pour une fois qu’un essai de géopolitique est véritablement un essai de géopolitique, et non un livre d’histoire ou de relations internationales, je ne vais pas bouder mon plaisir, d’autant que l’auteur, centre son analyse sur le rôle de la mer, et particulièrement des détroits, dans l’évolution actuelle du monde.

La Russie a créé un missile pour combattre les chasseurs F-16

par Paul Derogis 

Les concepteurs russes ont développé un missile pour contrer les avions ennemis et plus particulièrement les chasseurs F-16.  

Le commandant adjoint du régiment d’aviation de chasse de la Garde des forces aérospatiales russes en a parlé sur la chaîne de télévision Zvezda.

Il n’a pas révélé le nom de nouveau missile, mais il a révélé qu’il avait une précision accrue et des performances améliorées contre des cibles en mouvement :

Au moins 40 points d’appui ukrainiens ont été pris en une journée par un groupement russe

De plus, il a anéanti 11 équipes de mortier, a indiqué auprès de Sputnik le chef du service de presse du groupement russe Ouest.

Alors, que s’est-il réellement passé à Koursk ?

Un débat extrêmement sérieux fait déjà rage dans certains cercles du pouvoir/renseignement à Moscou.
Un débat extrêmement sérieux fait déjà rage dans certains cercles du pouvoir/renseignement à Moscou – et le cœur du problème ne pourrait être plus incandescent.

Pour aller droit au but : que s’est-il réellement passé à Koursk ? Le ministère russe de la Défense a-t-il été pris au dépourvu ? Ou bien l’a-t-il vu venir et a-t-il profité de l’occasion pour tendre un piège mortel à Kiev ?

Les Britanniques aident l’Ukraine à préparer une « sale attaque nucléaire »

Une opération sous fausse bannière utilisant des ogives radioactives viserait le combustible nucléaire usé

Les forces ukrainiennes ont commencé à se préparer à cibler les sites de stockage de déchets nucléaires d'une centrale électrique russe avec des ogives radioactives et à rejeter ensuite la faute sur Moscou, selon les renseignements reçus par la Russie.

Les forces de Kiev ont déjà frappé la centrale nucléaire de Zaporozhye, la plus grande d'Europe, et déclenché un incendie dans l'une des tours de refroidissement, tout en accusant la Russie de se bombarder elle-même.

« Des sources de l’autre côté rapportent que les [Ukrainiens] préparent une opération nucléaire sous fausse bannière – l’explosion d’une bombe atomique sale »,  a déclaré vendredi le journaliste militaire Marat Khairullin sur sa chaîne Telegram.  "Ils envisagent de frapper les sites de stockage de combustible nucléaire usé d'une centrale nucléaire."

La cause perdue de l’Ukraine

par Byron King

«Les gens devraient savoir quand ils sont vaincus», dit Quintus à Maximus.

«Et toi, Quintus, le saurais-tu ? Le saurais-je moi-même ?», répond le général.

Cette scène se situe vers le début du film «Gladiator» (ici mais veuillez d’abord lire cet article). Des hordes de tribus germaniques sortent de la forêt pour se battre contre des phalanges de légionnaires romains, soutenus par d’immenses engins de combat lance-flammes.

Le commandant en chef Quintus observe la situation avec perplexité. Il n’arrive pas à croire que les adversaires barbares souhaitent stupidement se battre contre la puissante Rome. Et il fait part de son opinion au chef.

Le général Maximus, interprété par Russell Crowe, est philosophe parce que, bien sûr, il est aguerri et sage, ce qui fait de lui la star du film. Maximus comprend qu’au plus profond de la nature humaine, les gens se battent même s’ils savent que c’est pour une cause perdue.

Si vous avez vu le film, vous savez comment cela se termine : victoire de Rome, le camp qui a le plus de troupes, de meilleures armes et une logistique sans fin. Parce que la guerre est une question de puissance de combat, et la puissance de combat est une question de personnes, de systèmes et de logistique.