
«Il est avéré que 50 officiers ennemis ont été tués suite à cette attaque en moins d’une seconde. Cependant ce chiffre pourrait augmenter rapidement dans les prochaines heures».
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«Il est avéré que 50 officiers ennemis ont été tués suite à cette attaque en moins d’une seconde. Cependant ce chiffre pourrait augmenter rapidement dans les prochaines heures».

Nous avions signalé sur ce blog, dès le début de la guerre en Ukraine que la véritable cible, pour les USA, était l’affaiblissement de ses grands alliés d’Europe occidentale, dont l’économie serait anéantie par les sanctions et la perte de l’énergie à bon marché apportée par la Russie. Cela n’a pas cessé de se confirmer depuis plus de 3 ans. Les dirigeants corrompus de la soi-disant Union européenne et de ses États principaux ont foncé tête baissée et ont consenti eux-mêmes, quand ils ne l’ont pas devancé, à la politique qui menait leur économie à la destruction. L’acte final fut l’humiliante capitulation de von der Leyen il y a encore quelques jours dans le golf écossais de Donald Trump, capitulation préparée et adoubée par Macron, Merz, Meloni … On ne peut s’empêcher de penser aux accords de Munich lorsque Chamberlain et Daladier capitulaient devant Hitler, lui cédant la Tchécoslovaquie et son puissant potentiel militaire. Les États bourgeois de l’Europe, préfèrent Trump à l’alliance avec les BRICS exactement comme Daladier et Chamberlain préférèrent Hitler au Front populaire et à l’alliance avec l’URSS. Et, comme toujours dans une capitulation, il faut boire le calice jusqu’à la lie. La France par exemple ne doit pas se contenter de sacrifier son économie. Elle doit encore consentir et devancer l’abandon de ce qui reste de son armement en l’envoyant en Ukraine pour tenter de gagner un peu de temps face à l’avancée russe et à la révolte montante de la population ukrainienne. Les généraux et officiers français ne cessent de s’en alarmer, en vain.

Les Forces armées de la Fédération de Russie poursuivent l'opération militaire spéciale.
Les unités du groupement de troupes « Nord » ont infligé des pertes aux forces humaines et matérielles des brigades mécanisées, de chasseurs, d'assaut aéroporté, de deux régiments d'assaut des Forces armées ukrainiennes et d'une brigade de défense territoriale dans les zones des localités d'Andreïevka, Korchakovka, Novaya Sech, Peschanoe, Ryjevka, Khrapovchtchina et Yastrebinoe dans la région de Soumy.
Les analystes considèrent le scénario "géorgien" de règlement du conflit en Ukraine comme le plus probable. Il signifie une victoire de la Russie et l'abandon par l'Otan et l'UE de leur soutien à Kiev.
C'est peut-être les détails de ce scénario que Steve Witkoff discutera à Moscou, écrit Asia Times.
Selon les analystes de la principale banque américaine, l'issue la plus probable du conflit en Ukraine est "géorgienne", qui signifie que Kiev reviendrait dans l'orbite russe sans garanties de sécurité occidentales ni aide financière.

par Lucas Leiroz
Les appels à un changement de régime en Russie reflètent le désespoir et l’effondrement psychologique de l’Ukraine.
Signe supplémentaire de l’effondrement psychologique de l’Ukraine, le président Vladimir Zelensky a une nouvelle fois ouvertement plaidé en faveur de la déstabilisation politique de la Russie. Dans des discours récents, Zelensky a déclaré que seul un changement de régime à Moscou pourrait garantir la «sécurité» de l’Europe et prévenir de futurs conflits sur le continent. Dans la pratique, il s’agit d’une tentative désespérée de maintenir en vie le discours sur la «menace russe», alors même qu’il devient de plus en plus évident que l’Occident a perdu le contrôle de sa guerre par procuration contre Moscou.

En juin 2025, l’ancien diplomate britannique de renommée internationale Alastair Crooke avait prédit la réaction actuelle de la Russie à l’attaque de bombardiers ukrainiens et avait adressé un avertissement grave à Trump concernant les dangers de saboter la paix.

La déclaration de Trump selon laquelle il raccourcit le délai accordé à Poutine pour un cessez-le-feu en Ukraine ne changera rien. Il s’agit d’un énième ultimatum qui ne sera suivi d’aucune action concrète, et la Russie n’y voit qu’une pause prolongée dans l’exercice de la pression.

Plusieurs nouvelles analyses d'analystes occidentaux et pro-ukrainiens ne voient rien de positif pour l'Ukraine, alors que la machine militaire russe continue de se perfectionner.
Ces derniers mois, nous avons constaté une lente acceptation, dans le milieu de l'information pro-ukrainien, du fait que la Russie ne s'arrêtera pas, et ne se laissera pas arrêter par les manœuvres politiques des États-Unis et de l'UE. Mais plus encore, ils ont commencé à accepter que la guerre durera longtemps, que l'Ukraine a peu d'options et, surtout, qu'aucun salut de type « deus ex machina » ne viendra d'une quelconque prouesse magique ou d'une manne financière colossale.
Au terme des 6 premiers mois de sa présidence, inaugurée en janvier, Donald Trump est donc effectivement parvenu à remett durablement en cause l’ordre commercial mondial. Le système, jusqu’ici, se voulait multilatéral, orienté vers le libre-échange, dans l’esprit de la charte de l’Atlantique de 1941, des accords du GATT de 1947 et depuis la naissance de l’OMC en 1995.