France et politique française - Page 1061
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Les entretiens du PdF - n°13 - Invitée : Epona (18/07/21)
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LA COMÉDIE MACRONIENNE.
Michel Maffesoli s’est plu à décrire le régime actuel centré sur la mise en scène présidentielle comme une “théâtrocratie”. La politique française appartient en effet au domaine du spectacle, c’est-à-dire de l’illusion. Mais si la dimension spectaculaire du pouvoir n’est pas une nouveauté, il y a dans l’épisode “macronien”, une particularité. Jusqu’à présent, cette dimension était extérieure à la politique. Elle ne faisait que l’enrober alors qu’elle en constitue aujourd’hui le coeur et la totalité. Un homme était président. Un parti détenait les clés du gouvernement, avec des idées affichées et ensuite la communication demandait une scénographie destinée à donner une image du chef de l’Etat, et à permettre la réalisation de ses objectifs.
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RN : “Tout ce qui ressemble de près ou de loin à un identitaire, un catholique ou un conservateur doit être écarté par tous les moyens”
Selon Valeurs actuelles, les purges internes au sein du RN ont repris et cela ne nous surprend pas. Ce sont déjà la mainmise sur le parti après 2022et les présidentielles de 2027 que Marine le Pen prépare…
“(…) Au lieu de s’interroger sur les raisons de l’abstention massive de ses électeurs lors du scrutin, le parti a préféré purger ou congédier les éléments “déviants”. Le seul sénateur du mouvement, Stéphane Ravier, réélu miraculeusement en septembre 2020, ne s’attendait pas à un tel affront. Contrairement à la promesse qui lui avait été faite, le Marseillais n’a pas été promu au sein du bureau exécutif, malgré sa neuvième place au congrès annuel qui s’est tenu à Perpignan les 3 et 4 juillet (…)
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Les deux clivages français
Il est commun aujourd’hui de pointer l’éclatement de la société française en de multiples entités, qui formeraient comme un « archipel », où on aurait du mal à reconnaître la France d’autrefois « catholique et républicaine ». Que vaut cette archipellisation ?
Des lors que l'on prend quelque recul, il devient possible de discerner deux clivages majeurs, distincts de ceux du passé, qui ne se croisent qu'en partie et auxquels la plupart des autres se ramènent.
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Les manifestants ne sont pas en congé
Louis Marceau
Pas de congé pour les défenseur de la liberté : samedi, plusieurs centaines de milliers voire un million de Français ont à nouveau défilé contre l’instauration du passe sanitaire. Tantôt silencieux, tantôt méprisant, le gouvernement a créé malgré lui un mouvement qui est parti pour durer...
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Source Présent 3/08/21
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Le cow-boy Mélenchon règle son compte à un passant : « Pète-lui la gueule ! »
par Jany Leroy
Une nouvelle vidéo diffusée par Valeurs actuelles vient s’ajouter à la célèbre série intitulée : « L’insoumis craque nerveusement ».
La scène se déroule le 10 juillet, sur le parvis de l’hôtel de ville de Paris. Jean-Luc Mélenchon avance d’un pas décidé vers le centre de vaccination éphémère installé non loin de là. Ce n’est pas le moment de l’énerver. Il peut attraper le Covid à tout instant. Plus que quelques mètres à parcourir et il sera sauvé.
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Qu’on soit pour ou contre, le passe sanitaire bafoue la Constitution et les droits de l’homme !
Il est licite – mais pour combien de temps encore ? – de penser ce que bon semble des politiques vaccinales sur fond de passe sanitaire. Mais il est une autre aune à laquelle la chose doit aussi être jugée : la loi et le respect de la Constitution. D’où cette tribune publiée dans FigaroVox, le 1er août dernier, cosignée par dix juristes.
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Nouvelles mobilisations pour la liberté
À l’hôpital Édouard-Herriot de Lyon, certains soignants sont en grève « illimitée » depuis le jeudi 29 juillet, pour protester contre la vaccination obligatoire et l’entrée en vigueur du pass sanitaire dans les hôpitaux.
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Un homme arrêté pour des guillotines en carton. A-T-ON LE DROIT DE FAIRE ALLUSION A LA GUILLOTINE?
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Ouf ! Projet Hercule : la funeste réforme d’EDF repoussée
Les syndicats sont montés au créneau contre le projet de démantèlement d'un service public.
Magali Cohen / Hans Lucas / Hans Lucas via AFPLa grande réforme d'EDF baptisée « projet Hercule », qui aurait permis la dislocation et la privatisation partielle du groupe public, n'aboutira pas avant la fin du quinquennat d'Emmanuel Macron. Un répit bienvenu pour les nombreux opposants syndicaux et politiques au projet.
Ouf ! Trois fois ouf ! Le projet Hercule – depuis rebaptisé « Grand EDF » – sur lequel Marianne alertait dès 2019, est mis sous le tapis. « À ce stade, les discussions n'ont pas abouti » avec Bruxelles et « il n'est pas envisageable d'avoir un projet de loi au Parlement dans l'immédiat », a expliqué une source gouvernementale auprès de l’AFP.