Un test facile à faire : demandez à Google « réfutations du réchauffement climatique ». Pratiquement plus aucun item contestant le réchauffisme ne sort. Le ménage a été fait ! Une kyrielle d’articles vont s’aligner, plus agressifs que pédagogiques, pour vous expliquer que les climato-sceptiques sont des ignares et des imbéciles. Des complotistes.
Des crétins analphabètes comme Ivar Giaever et John Clauser, tous deux prix Nobel de physique, tous deux interdits de médias et exclus des conférences et colloques universitaires pour avoir défié les imposteurs d’une pseudo méta science aux contours confus. Dans laquelle l’idéologie l’emporte sur l’observation des faits, et les croyances sur les relations causales et la logique élémentaire.
Combien de scientifiques reste-t-il au GIEC ?
Les réchauffistes qui préfèrent écouter les vaticinations de la mongolienne Greta et se pavanent à la télé devant des cire pompes intellectuellement déficients, reprochent à nos deux Nobel de ne pas être climatologues. La belle affaire !
Les patrons du GIEC ont longtemps été un ingénieur atomiste français, Jouzel, et un ingénieur ferroviaire indien, Pachaury. Et aujourd’hui, les équipes de «chercheurs» du GIEC comptent plus d’économistes, de sociologues, de lobbyistes du capitalisme vert, et de représentants d’ONG anti-nucléaires et pro-immigration, que de scientifiques. Nombre de Ph.D ont déserté le rafiot. Ulcérés qu’on détourne leurs publications pour les accommoder à l’indigeste sauce réchauffarde.
Giaever explique qu’il s’est intéressé de près à la théorie du prétendu réchauffement climatique en 2008, quand on l’a invité à participer à une table ronde sur le sujet. Pour se préparer, il s’est plongé dans la littérature universitaire disponible. Les gens de son calibre apprennent vite. Il a découvert que, selon le GIEC, la température moyenne à la surface de la Terre était passée d’environ 288 K à 289 K en 150 ans.
Le Kelvin est l’unité de base de température thermodynamique dans le Système international. Cette augmentation de 0,34 % en 150 ans a été présentée comme la preuve d’un changement climatique anormal. Alors qu’elle ne pouvait signifier qu’une chose pour un véritable scientifique : Le climat mondial a été étonnamment stable. Surtout comparé aux variations d’amplitude du passé. Beaucoup plus vigoureuses.
Giaever et Clauser figurent parmi les premiers signataires de la déclaration de 1992 dénonçant la supercherie politico-médiatique du réchauffisme. Une machine à capter des subventions, à offrir des postes grassement rémunérés à des médiocres, et à détourner l’attention des phénomènes que le NWO veut cacher : destruction des États-Nation, submersion migratoire, acculturation et paupérisation généralisées.
Des milliers de scientifiques de haut niveau, de tous pays, ont signé à leur tour. Ils sont 31.000 aujourd’hui. Parmi eux, plusieurs Nobel en plus des deux cités, des Ph.D (docteurs es sciences), des lauréats de prix divers honorés pour leurs découvertes, des auteurs d’articles et d’ouvrages qui font autorité dans le monde scientifique. Éjectés des moteurs de recherches ou relégués aux derniers items sur lesquels personne ne clique. Le shadow banning à l’origine arme fatale contre le spam et les trolls est devenu l’outil de travail des cenSSeurs honteux.
Les médias, le GIEC et l’ARCOM se cramponnent à la fiction du consensus !
Pour eux, tout le monde serait d’accord avec les théories réchauffistes, à l’exception de quelques idiots qui ont raté leurs études. Un cas typique de projection freudienne. Incurable à ce stade.
Aucune science positive ne saurait s’appuyer sur des statistiques qui, même sincères, ce qui n’est pas le cas, ne font que refléter des opinions du moment. Mais peut-on passer sous silence que 60% de la population mondiale ne croit pas au réchauffement, 30% y souscrit, et le reste oppose une relative indifférence aux calamités qu’on lui prédit.
Selon une technique chère aux médias de grands chemins pour discréditer ceux qui « pensent mal », les maîtres enfumeurs ont cherché des corrélations entre le rejet des niaiseries du GIEC et des facteurs socio-économiques, éducatifs, culturels et contingents liés à l’environnement. Espérant prouver que les réfractaires sont des hommes des bois inéduqués et non intégrés à la société. Encore raté ! Les têtes bien faites et bien pleines rejettent les délires réchauffistes.
Les Chinois sont les champions du scepticisme climatique. Seulement 15% des fils du ciels voient les nuées se réchauffer. Talonnés de près par des pays très climato sceptiques comme l’Australie et les USA, soumis à des phénomènes naturels extrêmes : Ouragans, tornades, cyclones, incendies géants, ras-de-marée. Mais comme ils y sont habitués depuis des siècles, il savent que les humains n’y sont pour rien. D’autres pays apparemment épargnés comme la Norvège et la Suède qui ont la réputation d’être des nids d’écologistes, n’y croient pas trop non plus.
Dans ce classement, les Français méritent à peine la moyenne. Subissant un matraquage incessant des médias, 40 % des sondés, un chiffre stable depuis dix ans, considèrent que l’activité humaine serait la cause principale du « changement climatique ». « Un mensonge répété cent fois devient une vérité » disait le docteur Goebbels.
Après maintes esquives, le mot « réchauffement » a été remplacé par « changement » afin de ne pas susciter de vigoureuses polémiques que les professeurs Philippulus seraient en peine de récuser. Même si le « changement » est une dérive sémantique absurde puisque le propre du climat est de changer tout le temps ! Dans l’année, la saison, le mois, entre le jour et la nuit.
La perception de la théorie réchauffiste par nos chers compatriotes est désormais un secret d’État au même titre que l’incrustation des frères musulmans, les milliards dilapidés en Ukraine, la dictature des faux vaccins, et les fraudes électorales massives en France et en Europe. Défense d’en parler aux journaleux s’ils veulent garder leur boulot. Le bon peuple ne dort que d’un œil. Il ne faut surtout pas le réveiller.
Plus grave, les réchauffistes nous accusent de déni de réalité. Alors que leurs certitudes ne sont pas démontrées et s’appuient sur des suppositions et des extrapolations, récusant même l’authenticité des observations satellites !
Le satellite Grace de la NASA a observé qu’après avoir perdu autour de 1% en volume de glaces, en dehors des variations saisonnières, le Groenland s’était stabilisé depuis 2023. Tandis que l’Antarctique, dont la température est en baisse, voyait ses glaciers regagner en surface et en épaisseur. Alors que l’océan Pacifique se refroidissait assez pour permettre à des otaries australes de venir nous rendre visite en Polynésie. Du jamais vu avant 2010.
Dans la mesure où ces faits itératifs sur plusieurs années ne s’insèrent pas dans leurs modèles, plutôt que de réfléchir et d’admettre qu’ils s’étaient trompés, les réchauffards se sont lancés dans de laborieuses explications selon lesquelles les orbites des satellites n’étaient plus stables, ou les capteurs détraqués… Ou alors que l’Antarctique se refroidissait à cause d’une modification du régime des vents… Ou bien encore parce que l’océan absorbait une partie de la chaleur, un phénomène planétaire qu’ils ont découvert comme l’eau tiède…
C’est le fonctionnement mental des gauchistes dans tous les domaines, entre psychorigidité et jobardise : Si la réalité n’est pas conforme à l’idée qu’ils s’en font, c’est forcément la réalité qui se trompe. Il faut dire que nombre de ces donneurs de leçons sont des petits profs qui ont galéré jusqu’à une licence de complaisance ou obtenue à l’usure, s’ils militaient à l’ultra-gauche, pour ensuite se calfeutrer dans un bureau, afin d’échapper à la vindicte de certains élèves venus de loin.
Enfin, des physiciens de l’atmosphère ont rappelé l’existence d’un circuit qui s’auto-alimente et empêche le réchauffement planétaire.
Une hausse des températures liée aux cycles solaires et à la circulation des flux dans la haute atmosphère, favorise localement une évaporation qui va transporter l’humidité depuis l’équateur et les tropiques vers les continents, où les précipitations seront plus importantes. Celles-ci refroidiront l’atmosphère. Avec le concours de l’albédo des nuages, renvoyant vers l’espace une partie importante de la chaleur solaire.
On a pu voir ces dernières années des pluies persistantes reconstituer des lacs asséchés depuis des lustres en Californie et au Maroc. Et des chutes de neige régulières dans le Sahara et le désert d’Arabie. Tandis que les glaciers se développaient en Antarctique malgré la fonte et une fragmentation normales. Cela contrarie les réchauffards qui, faute d’explication cohérente, se réfugient dans une herméneutique des phénomènes météorologiques imprévus «qui ne prouvent rien».
Christian Navis