Alexandre Juning-Brunet, capitaine de réserve à la gendarmerie, répond à quelques questions sur la suite des événements face à la tyrannie en place.

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Alexandre Juning-Brunet, capitaine de réserve à la gendarmerie, répond à quelques questions sur la suite des événements face à la tyrannie en place.
Ces derniers jours le soleil est enfin revenu sur la partie ouest de la France qui souffrait depuis le début de l’été d’une météo peu clémente dont les effets sur le moral venaient s’ajouter à ceux de l’apparition de nombreux cas de contamination dus au variant delta. Bien que le nombre de malades n’ait que peu augmenté tout comme celui des décès, les préfets du littoral ont imposé de nouvelles normes restrictives qui ont incité les Français à tourner leur regard vers les pays en avance sur nous en matière de vaccination, comme Israël, afin d’essayer d’y trouver quelques signes d’espoir. Hélas, la presse nous informe que les Israéliens envisagent un nouveau confinement si la situation ne s’améliore pas rapidement afin d’éviter l’effondrement de leur système de santé.
Philippe de Villiers a réagi à l’assassinat du prêtre Olivier Maire, qu’il connaissait personnellement en osant une comparaison entre la liberté menacée de ceux qui refusent le passe sanitaire et celle dont jouissent les incendiaires de cathédrale. Des propos qui font polémique.
Il s’en explique au micro de Boulevard Voltaire.
Vous connaissiez personnellement le père Olivier Marie ?
C’est quoi, le pouvoir ? « Le pouvoir, c’est l’impuissance ! » disait de Gaulle, le de Gaulle de la fin. Mais au commencement, c’est quoi, le pouvoir ? Je veux parler du vrai pouvoir, du pouvoir au-dessus du pouvoir, du pouvoir de parler en chaire, de parler sur la montagne, pour soi et pour le monde, urbi et orbi. Ce pouvoir, ce serait la privilégiature de Moïse, de l’autorité morale, de l’autorité religieuse. C’est ce que Michel Foucault a appelé dans sa leçon inaugurale du Collège de France « l’ordre du discours », par quoi chaque société s’efforce de produire et de contrôler les croyances collectives et les représentations du monde. C’est ça qui fonde la souveraineté. Est souverain celui qui dit : là est le bien, le beau et le vrai, quand bien même ce bien est mal, ce beau est laid, ce vrai est faux.
Voici une notoriété rapidement acquise, mais Cassandre Fristot, bénéficiaire-victime de cette publicité, s’en serait sans doute bien passée. La jeune femme, que les photos nous présentent comme plutôt charmante, est victime d’un véritable lynchage d’Etat. C’est le pot de terre contre le pot de fer.
Apprentissage de la lecture à Clamart, 2006. SIPA. 00537617_000005
Jean-Paul Brighelli partage avec nous l'introduction de son prochain livre. 2e livraison
Chers lecteurs, je profite de ces vacances pour écrire mon dernier livre sur l’état de l’Ecole, à paraître en janvier prochain. L’idée m’est venue de vous en soumettre les chapitres essentiels, afin de tenir compte de vos réactions. Aujourd’hui, La question de la langue, 1ère partie. Bonne lecture et n’hésitez pas à commenter, même avec férocité, cette analyse dernière, après 45 années passées dans un système éducatif désormais exsangue.
Quand on entre dans le corps principal de bâtiment rue de Grenelle, un escalier s’offre à vous, sur votre gauche. Montez quelques marches, et sur le mur sont accrochés les portraits de tous les ministres de l’Education depuis les débuts de la IIIème République. On y conserva longtemps le portrait de l’infâme Abel Bonnard, avant que François Bayrou ne le fasse décrocher et renvoyer aux poubelles de l’Histoire.
Éric Zemmour a été interrogé dans Valeurs Actuelles. Extrait :