France et politique française - Page 1065
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POURQUOI J'AIME BFMTV ?
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Grandes écoles : la gauche, meilleure ennemie de l’égalité des chances, par Marie d'Armagnac.
Dans la série « Destruction d’une culture commune à tous les Français », il faut y rajouter, en cette funeste semaine, l’épisode de l’introduction de la discrimination positive dans les grandes écoles.
Qu’on le veuille ou non, ces grandes écoles françaises où l’on rentre après deux ou trois années de classes préparatoires, c’est-à-dire de travail intensif, sont une spécificité bien française : elles visent, depuis des siècles, à créer une élite industrielle, professorale ou managériale. On pourra, bien sûr, s’insurger contre une certaine forme de reproduction sociale – la majorité de ces étudiants viennent de classes sociales privilégiées, du moins culturellement -, on pourra aussi, bien sûr, regretter que ces écoles prestigieuses forment des esprits selon « un moule », un modèle dominant peu propice à l’éclosion de personnalités originales, novatrices ou à contre-courant.
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La France, à hue et à dia, par Jacques Myard.
Les Français se sont largement abstenus aux dernières élections ; tous les experts politiques en glosent dans les chaumières et les plateaux médiatiques à longueur d’analyse, y voyant un rejet de la politique.
En réalité, les Français ne fondent-ils pas leurs abstentions sur une analyse politique ? Ne jugent-ils pas que la France n’est plus dirigée en fonction d’un projet politique cohérent ? Ils sanctionnent en fait l’incohérence de la régence gouvernementale qui va à hue et à dia !
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Michel Janva : « La droite respecte la loi naturelle, tandis que la gauche veut construire elle-même la loi »
Michel Janva a co-fondé sur Internet le Salon beige, blog d'actualité tenu par des catholiques engagés dans la défense de la vie, de la famille et des valeurs traditionnelles.
Monde et Vie : Michel Janva, pensez-vous que les notions de droite et de gauche aient encore un sens aujourd'hui ?
Michel Janva : Il n'existe plus vraiment de différences entre la droite et la gauche, pas plus en matière sociale qu'économique, ni sur aucun autre plan. Les débats parlementaires, à l'Assemblée nationale, se résument à des joutes partisanes, sans débats d'idées. Certes, on parle toujours de gauche et de droite dans les espaces médiatique et politique, mais ce clivage me semble factice.
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Médias de la dissidence : Alain Escada interroge Manu du Réveil des Moutons
Manu du Réveil des Moutons répond aux questions d’Alain Escada. Un entretien qui aborde différents aspects du développement des médias dissidents mais aussi des difficultés rencontrées, en particulier de la censure.
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Politique & Eco n°308 avec Bruno Lemaire : La tyrannie du « quoi qu’il en coûte »
Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Bruno Lemaire, mathématicien, docteur ès sciences en économie, ancien doyen associé d’HEC, membre de la commission économique du PS puis conseiller de Marine Le Pen jusqu’en 2014.
1) Les méfaits d’une économie sans frontières
– Le management (que l’invité a enseigné) n’est rien si l’on ne prend pas en compte les frontières, les peuples, les enracinements
– La mondialisation du rêve au cauchemar -
LE MYTHE DE LA "TENAILLE IDENTITAIRE"
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Le contrôle du pass sanitaire à l’hôpital devrait coûter 60 millions d’euros par mois, selon une estimation de la Fédération hospitalière de France (FHF)
Le contrôle du pass sanitaire à l’hôpital en France, où le document sera obligatoire à partir du mois d’août, devrait coûter 60 millions d’euros par mois, selon une estimation de la Fédération hospitalière de France (FHF) présentée au ministère de la Santé, mardi 20 juillet. Le document rendu obligatoire à partir de début août dans les établissements de santé implique notamment le recours à du personnel de sécurité chargé d’effectuer les contrôles.
« Que ce soit du personnel interne ou externe, le coût de cette mesure est évalué à 60 millions d’euros par mois », assure la FHF, qui regroupe plus de 1 000 hôpitaux et environ 3 800 établissements médico-sociaux.
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MACRON VOULAIT REDONNER DU SENS AU COMMANDEMENT DE NOS ARMÉES ? DE QUEL DROIT ?
L’outrecuidance de l’homme hypernarcissique que des Français ont cru devoir installer à l’Elysée est décidément sans limite. Le voilà qui ose affirmer sans mesurer le grotesque de la formule qu’il voulait “redonner du sens au commandement des Armées”, en nommant Lecointre après avoir humilié le Général de Villiers et l’avoir conduit à quitter son poste de Chef d’Etat-Major des Armées. Lors de la présentation de son livre “L’équilibre est un courage”, celui-ci avait dit, quant à lui, “dans l’armée, on sait pourquoi on peut aller jusqu’au sacrifice suprême”.
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Me Di Vizio : " Oui j'ai été victime de menaces de mort"