Les compétitions sportives sont des jeux, des microcosmes régis par leurs propres règles et qui opposent des individus ou des équipes sur un espace et dans un temps limités. Leur déroulement et la détermination du vainqueur n’ont aucun lien direct avec le monde réel. On peut toujours espérer la victoire d’un club amateur sur une grande équipe professionnelle, dans une coupe de football par exemple, même si pour ce sport, le lien avec l’extérieur est de plus en plus constitué par l’argent, étranger de surcroît. Mais on peut voir dans le jeu une représentation symbolique de la réalité, politique par exemple. Les affrontements entre des joueurs d’échecs, l’un russe, l’autre américain, les jeux olympiques ont cette dimension.
France et politique française - Page 1086
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LE FOOTBALL, INSTRUMENT DU “SUICIDE FRANÇAIS” ?
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Florian Philippot dit ses vérités au Docteur Jérôme Marty sur LCI ! Clash !
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Quelques facettes de la Contre-Révolution par Georges FELTIN-TRACOL
Cible permanente des antifas et d’autres groupes stipendiés d’Angers, L’Alvarium sait bousculer le Système. Ce « Centre communautaire d’actions sociales et culturelles » prend diverses initiatives. L’une d’elles fut d’inviter, le 27 mars 2021, Christian Bouchet, responsable des éditions Ars Magna, vétéran nationaliste-révolutionnaire et solidariste, et collaborateur régulier au magazine Réfléchir & Agir et à la revue Synthèse nationale. Son intervention portait sur quelques exemples méconnus de la Contre-Révolution.
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Comment meurent les républiques ?
Cette question risque fort de sortir bientôt de la sphère du passé, pour entrer dans celle de l'avenir. En vérité, même dans les temps les plus éloignés, il est difficile d'affirmer péremptoirement, par exemple, si celle de Rome aurait vraiment sombré aux ides de mars; ou si, dès l'adoption de la constitution de 1848, le régime présidentiel, qu'elle instaurait, était voué à donner naissance au second empire.
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Sur le site officiel de l'Action française : protéger les français, libérer les énergies (II), l’éditorial de François Marcilhac.
« Le trône doit être le protecteur des libertés de tous, et c’est dans cette protection qu’il trouve sa solidité, la garantie de son existence. » Louis Philippe
Le mois dernier, dans la perspective de la présidentielle dont dépend aussi, malheureusement, l’avenir de la France, nous avions rappelé en quoi le double slogan, ou plutôt le double souci de tout homme politique désireux de diriger les affaires du pays se résume à cette double injonction : protéger les Français, libérer les énergies. Nous avions alors traité le premier membre du diptyque. Abordons maintenant le second.
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À LA RENCONTRE DES FRANÇAIS !
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Sur Le Média Pour Tous, ils veulent sauver la Terre (CONTRAIREMENT À MACRON) - Les reportages de Vincent Lapierre.
En avril 2019, Emmanuel Macron annonçait la mise en place d'un processus démocratique innovant : des Français allaient être tirés au sort pour former une Convention citoyenne pour le climat. L'objectif était simple, proposer des mesures écologiques permettant de lutter contre le réchauffement climatique. Deux ans plus tard, alors que le président de la République s'était engagé à « soumettre sans filtre » ces propositions au Parlement, seules 15 propositions sur 149 ont été adoptées par l'Assemblée nationale. C'est pour protester contre ce fiasco écologique que des citoyens et des associations ont décidé de manifester à travers toute la France. Vincent Lapierre et l'équipe du Média pour Tous étaient sur place.
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LA DÉCADENCE EST UN FAIT, SE DÉFAIRE DE SES ACTEURS UNE NÉCESSITÉ !
L’un des signes de la décadence réside dans la disparition des buts qui justifient une institution. Celle-ci tourne à vide. Ses actions ne sont plus que des rites. C’est le triomphe des bulles qui tournent en rond avant d’éclater. Les objectifs poursuivis par l’institution s’estompent alors que le décor seul subsiste. Ainsi en est-il de la Présidence de la République, restaurée en 1958 par le Général de Gaulle pour redonner à la France une direction claire avec un Chef de L’Etat qui ne soit pas ce qu’étaient les locataires de l’Elysée sous les deux républiques précédentes : un personnage symbolique paradoxalement dénué de relief puisqu’élu par ses collègues politiciens en raison d’une médiocrité rassurante.
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Roxana Maracineanu assume (sans complexe) le choix de Youssoupha…
Et voilà. Une polémique chassant l’autre, on ne parle déjà presque plus de Youssoupha. Pour le ministre des Sports Roxana Maracineanu, au micro de BFM TV, ce choix est « naturel » (sic). Pour elle, si « le sport et plus spécialement la FFF se met aujourd’hui en scène avec Youssoupha », c’est parce que « cette chanson est en accord avec ses valeurs et avec nos valeurs, qui sont celles de lutter contre le racisme et de promouvoir la diversité » et, rajoute-t-elle, tout cela, « il le fait dans ses chansons ».
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Tombeau pour la Justice, pour Jacques Trémolet de Villers.
Longtemps j’ai voulu faire confiance à la justice de mon pays. Au-delà des traverses des affaires politiques, des gauchissements idéologiques, d’une féminisation parfois agressive, je voulais croire à la vertu des charges quotidiennes du juge qui le contraignaient, malgré lui s’il le fallait, à remplir sa tâche qui est de « rendre à chacun ce qui lui est dû ».
Il y avait « le mur des cons » et d’autres monstruosités, mais c’était marginal.