Eric Zemmour : “Toute une partie de la jeunesse déteste les 68ards, elle ne supporte pas la France qu’ils nous ont laissée. Et je trouve cela très bien”.
France et politique française - Page 1092
-
Eric Zemmour : “Toute une partie de la jeunesse déteste les 68ards, elle ne supporte pas la France qu’ils nous ont laissée. Et je trouve cela très bien” (Vidéo)
-
Pourquoi la France est un volcan, par Ivan Rioufol
La France est un volcan prêt à se réveiller. La colère n’est pas seulement chez les policiers et les militaires, qui ne prennent plus de gants pour l’exprimer. La colère est au cœur de ceux qui constatent les démissions quotidiennes de l’Etat bavard, confronté à la montée des violences et des insécurités. Certes, samedi, Emmanuel Macron a admis : « C’est une réalité de dire qu’il y a de la violence dans notre société et qu’elle enfle (…) Il nous faut continuer d’avancer pour que la réponse pénale soit au rendez-vous de la réalité de la société et de son évolution ».
-
La tentation populiste
Les Français en ont-ils (vraiment) marre du système ?
Sondage après sondage, une majorité de Français se prononcent contre le système sans pour autant se donner les moyens de faire émerger une majorité électorale susceptible de porter cette demande. Pourquoi ? Serait-ce que les populismes de droite et de gauche sont inconciliables ?
La fracture entre le peuple et élites ne cesse de s’accentuer. Qu’en est-il pourtant précisément dans l’opinion? Quel pourcentage de la population est-il prêt à remettre en cause le système ? C’est ce qu’a permis de mesurer une étude Ipsos du 6 février 2017 sur la montée des idées populistes. Vingt-deux pays ont été passés au crible. Et, dans l’Hexagone, les résultats sont riches d'enseignements.
-
Guadeloupe : le président LREM de région, Ary Chalus, en garde à vue pour « abus de confiance, détournement de fonds publics et financement illégal d’une campagne électorale »
Ary Chalus avait soutenu la candidature d’Emmanuel Macron en 2017 et figure parmi les membres du bureau exécutif de La République En Marche. Il a été député de 2012 à 2017 et également conseiller général de Guadeloupe et maire de Baie-Mahault. En 2020, il avait été visé par une enquête du parquet national financier pour l’utilisation de son indemnité représentative de frais de mandat.
-
Sur Sud Radio, tribune de militaires : "La guerre civile couve en France".
Les Vraies Voix avec Philippe Rossi, Philippe Bilger, Lydia Guirous, Jean Doridot et Jean-Dominique Merchet, journaliste à L’Opinion, spécialiste des questions militaires et auteur du blog « Secret défense ».
-
Martine Wonner : le pass sanitaire imposé de façon scandaleuse
Au micro de Sud Radio, le député Martine Wonner décrit comment le gouvernement a imposé une mascarade et, au mépris de leur fameuse démocratie, a organisé un deuxième vote nocturne à l’Assemblée nationale pour faire passer de force le passeport sanitaire dans un hémicycle à moitié vide.
-
Marc Rameaux : Tenaille identitaire ou tenaille progressiste (VCPYR! #12)
-
Régionales en Île-de-France : la tête de liste PS en Seine-Saint-Denis lâche Audrey Pulvar
Le maire socialiste de Pantin (Seine-Saint-Denis), Bertrand Kern, vient de démissionner de la campagne d’Audrey Pulvar, la tête de liste «Île-de-France en commun» aux régionales de juin prochain. Par un SMS envoyé ce jeudi, et que Le Figaro a pu consulter, il a informé l’ancienne journaliste de sa volonté de ne plus être tête de liste du PS en Seine-Saint-Denis. «La confiance est rompue», dit-il aux militants.
Cette affaire risque de susciter des déflagrations au sein de la gauche francilienne, alors que trois listes sont actuellement en concurrence. Au sein de «Île-de-France en commun», mouvement principalement emmené par le PS, les relations entre les socialistes et l’adjointe non encartée d’Anne Hidalgo sont notoirement mauvaises.
En début de semaine, Bertrand Kern avait envoyé un courrier amer aux militants socialistes, les informant que le dépôt de la liste en préfecture avait été pour lui un «nouveau moment de déception». […]
-
Fin provisoire d'un psychodrame de comédie dont seuls les députés français détiennent le secret.
L'avis de Jean-François TouzéPetit doigt sur la couture du pantalon après les remontrances du gouvernement suite aux tentatives de fronde menées par un MODEM en quête d'existence qui avait fait échouer dans un premier temps le vote demandé par Jean Castex, la majorité parlementaire a adopté cette nuit en séance plénière de l'Assemblée nationale la loi prolongeant de fait l'état d'urgence et instituant le principe du pass sanitaire.Certes cette attestation numérique de vaccination contre le Covid ou de négativité d'un test récent ne sera exigible que pour les déplacements à l'étranger et pour la participation à de grands événements réunissant un grand nombre de personnes. Il n'en constitue pas moins un élément supplémentaire du contrôle de la population et s'inscrit dans un renforcement de la dictature sanitaire que l'on aurait tort de croire en recul du fait de la levée partielle et bien sûr à tout moment réversible de certaines mesures de restriction.Ce qu'un vote a fait, un autre peut en étendre le champ et généraliser demain, en seconde lecture, ou après demain par une autre loi, le périmètre d'application de ce passeport soviétique. Cela d'autant plus facilement qu'aucune jauge n'a été fixée par la loi.On ne s'étonnera pas de constater que de nombreux députés "de droite" aient voté cette mesure. On notera une fois de plus l'ambiguïté positionnelle du parti mariniste et on regrettera qu'un élu et membre du Bureau exécutif du Rassemblement national - pas parmi les pires pourtant - ait cru bon, même en siégeant au parlement de Strasbourg et non au Palais Bourbon, de faire connaître son assentiment à ces dispositions. -
Guerre civile, tribune des militaires. Laurent Obertone : « Deux mondes se mènent une véritable guerre de l’information, pour l’instant déséquilibrée » [Entretien]
BI – Il y a quelques auteurs qui, depuis des années, évoquent les risques de guerre civile en France. Et cela avant même que des soldats ou des généraux n’alertent les autorités. Guillaume Faye en faisait partie, il y a 2-3 décennies, et ses livres étaient censurés, poursuivis judiciairement, ostracisés.