Reportage au cœur de la 5e manifestation parisienne contre le passe sanitaire. Interview de Deivy Mugerin, qui explique sa démarche et l’opposition de deux « narratifs », celui du gouvernement et celui des opposants au passe sanitaire.
santé et médecine - Page 69
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Manifestation contre le passe sanitaire : « Les parlementaires se sont couchés, nous sommes là pour défendre une certaine idée du pays »
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Manifestants ! Déclinez votre identité !
Le billet de Patrick Parment
C’est l’éternelle litanie : mais qui sont ces foutus manifestants qui descendent dans la rue en plein mois d’août pour s’opposer au passe-sanitaire ? A en croire les médias, un ramassis de beaufs peu diplômés, chômeurs, sympathisants de partis extrêmes comme le RN ou les Insoumis. Bref la France des tarés. On retrouve exactement le même schéma qu’avec les Gilets jaunes auxquels d’ailleurs on les associe.
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Passe sanitaire, TikTok : la popularité de Macron fait flop
Cela se dit désormais des deux côtés, celui des pour et des anti-passe : l’affaire du passe est davantage politique que sanitaire.
Et, donc, on scrute fébrilement les courbes, après celle de l’épidémie et des manifestants : celle de la popularité du président de la République. Une première réponse – claire – émane du sondage mensuel de YouGov pour Le HuffPost publié ce 13 août : « Le tee-shirt n’a pas fonctionné.[…] En ce début du mois d’août, la popularité du chef de l’État perd trois points et retombe à un niveau qu’il n’avait plus connu depuis le printemps 2020, en plein cœur de la crise sanitaire et au moment du premier déconfinement. Emmanuel Macron atteint 28 % d’opinions favorables. »
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Pierre-Yves Rougeyron : « Macron vend la peau des Français »
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Capitaine Juving-Brunet : “Le peuple s’est réveillé. Nous ne pouvons plus reculer.”
Alexandre Juning-Brunet, capitaine de réserve à la gendarmerie, répond à quelques questions sur la suite des événements face à la tyrannie en place.
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Les renseignements alertent Macron sur une montée en puissance du mouvement anti-passe
A-t-il vraiment besoin d’une note des renseignements ? A-t-il pris sa décision du 12 juillet sans consulter ? Ou les conseillers du Prince sont-ils aussi coupés que lui du pays profond ?
En tout cas, un mois jour pour jour après ce fameux 12 juillet, franceinfo révèle que “dans une note adressée jeudi 12 août au gouvernement, le Service central du renseignement territorial (SCRT) table sur une participation d’au moins 250.000 personnes dans toute la France, dont beaucoup de familles. Près de 200 actions sont d’ores et déjà prévues, et c’est surtout au sud de la France que les rassemblements seront les plus importants, comme à Toulon (Var), où 15.000 manifestants sont attendus.”
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Etat d'exception et mort du politique
SOURCE : https://electomagazine.it/stato-deccezione-e-morte-della-politica/
Début 2020, quelques jours de vie avec le virus ont suffi pour faire passer l'Italie d'un état de droit à un "état d'exception" et la prolongation du confinement, la cinquième, jusqu'au 31 décembre 2021, a consolidé un état d'urgence qui a débuté le 31 janvier 2020; les décrets du Premier ministre visant à contenir le Coronavirus sont en fait une limitation de nos libertés.
Un Occident fragile et présomptueux s'est soudainement retrouvé face à un redde rationem et la question qui se pose maintenant est la suivante : jusqu'où ira l'"État d'exception" et jusqu'où ira-t-il ?
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Le retour des morticoles
Alain Sanders
On croyait en avoir fini avec eux. Eux ? Ces contingents de médecins à qui on avait eu envie de dire : « Moins de plateaux, plus d’hostos ! » Mais, le variant Delta aidant (si on peut dire), revoilàles morticoles en tous genres, virologues, épidémiologistes, immunologistes, neurologues, urgentistes, réanimateurs, anesthésistes, spécialistes tous azimuts, généralistes (un temps snobés puis invités sous les projecteurs médiatiques).
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Mourir de tout sauf du COVID ?, par Hildegarde.
« Personne ne sera privé de soins en fonction du passe sanitaire », a assuré le ministre de la Santé. Tandis que le « Conseil constitutionnel a validé l’obligation du passe sanitaire pour les visiteurs ou les patients non urgents dans les établissements de santé et maisons de retraite tant que ce dernier ne fait pas « obstacle à l’accès aux soins ».
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Un médecin avoue tranquillement assassiner certains patients
Denis Labayle a été chef de service en gastro-entérologie dans un grand établissement d’Ile-de-France. Pour “Envoyé spécial”, il avoue tuer certains patients en souffrance :“J’avais une philosophie, c’est de répondre à la demande du patient. C’est-à-dire que s’il voulait avoir absolument l’équivalent de la loi Leonetti, qu’il soit déshydraté, sans alimentation, et qu’il meure en quinze jours, trois semaines… c’était épouvantable pour l’équipe, anti-éthique pour moi, mais si les gens le réclamaient, je l’appliquais.”
Face à ceux qui disaient “on voudrait partir vite, on a suffisamment souffert”, “bien sûr qu’on accélérait… et qu’on accélérait en fonction de la demande de la personne”.
Se posait alors le problème des produits,
“ceux qu’on utilise en anesthésie, qui permettent d’endormir les malades tranquillement”. “Il faut être clair, ils ne sont pas disponibles pour nous. Et je dirais même, depuis la loi Leonetti, ils sont de plus en plus contrôlés, comptabilisés au niveau des blocs opératoires. Donc l’idéal, on ne l’a pas. Alors, on arrange… avec des associations de tranquillisants, de morphiniques, à forte dose, qui ont, on le sait, au bout d’un certain temps, d’une certaine dose, un effet létal.”
https://www.lesalonbeige.fr/un-medecin-avoue-tranquillement-assassiner-certains-patients/