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En Italie, les citoyens s’organisent face à la racaille qui promet le chaos

La petite commune de Peschiera del Garda dans le Nord de la péninsule est devenue malgré elle le symbole de la violence des immigrés de première et seconde génération après que des centaines d’entre eux y aient semé le chaos en juin 2022. Depuis lors, ils promettent de revenir… mais chaque année leurs ardeurs destructrices sont freinées par les ultras de l’Hellas de Vérone qui assurent les accueillir « comme il se doit ».

Coups de couteaux, agressions en tout genre, vandalisme, vols à la tire et attouchements sexuels envers « les blanches », le fameux rassemblement organisé via TikTok par les « maranza » – équivalent du terme racaille – avait tourné à l’émeute. Non-contents, ces jeunes issus de l’immigration nord-africaine avaient juré qu’il s’agirait-là d’un rassemblement annuel. Mais pour les volets successifs, les ultras de l’Hellas Verona répondaient qu’ils seraient aussi présents à l’appel avec « 400-500 Italiens, mais des vrais. Près à défendre notre terre ». Et le maire de Peschiera faisait blinder la ville et conviait une unité spéciale « anti-baby gang ».

Cette année encore, les appels sur les réseaux sociaux ont été lancés, notamment par un tiktokeur autoproclamé « manager des maranza » (sic). Mais le 2 juin, peu après leur arrivée, les quatre ou cinq cents sauvages venus provoquer, casser, piller et agresser partaient en courant, chassés par un groupe d’Italiens, ultras et habitants de Peschiera confondus .

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La petite sauterie n’ayant pas eu lieu, grâce aussi à l’important dispositif de police déployé, le manager des maranza conseille alors à ses « frères frisés » qui auraient reçu des coups, de porter plainte et d’ « aller voir la gauche » parce que « la gauche nous protège« , « vous recevrez des dommages et intérêts, des tonnes d’argent, vous gagnerez beaucoup« . Après avoir appelé à semer le chaos dans plusieurs villes de la péninsule, il fallait oser.

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Le 11 juin, nouvel appel, mais les voyous ne se présentent pas.

Le 21 juin, l’association non-partisane Verona Identitaria organise un cortège pacifique « en défense de Peschiera », pour rappeler que les communes du lac de Garde ne sont pas une zone de non-droit pour la criminalité et les bandes ethniques. Trois cents personnes, dont les maires de Peschiera et de Castelnuovo, ainsi que des citoyens sans appartenance politique particulière se réunissent dans le calme. Les habitants assurent qu’ils n’en peuvent plus, le tourisme est durement impacté, mais ce qui inquiète les médias subventionnés, c’est la participation à une manifestation de figures institutionnelles aux côtés de membres de VFS, Fortezza Europa et Casapound, dont le responsable pour la Vénétie et organisateur du rassemblement, Carlo Cordona. Ce dernier a cependant tenu à souligner : « Ce n’est pas une question de politique. C’est un mouvement populaire. Si ces individus viennent prendre un bain, c’est une chose. Si des groupes se réunissent pour provoquer et déranger, s’ils viennent pour ruiner un moment de loisir dans un lieu touristique, ils trouveront des citoyens qui n’ont aucune intention de les laisser faire. »

C’est dit. Et c’est fait.

Audrey D’Aguanno

Crédit photos : DR
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