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l'information nationaliste - Page 2830

  • Point de vue n°20 - L'Identité

  • Décidément, on ne change pas une politique qui perd !

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    La chronique de Philippe Randa

    Les cycles Mercier qui avait délocalisé en Asie comptaient revenir en France, à Revin dans les Ardennes, porté par l’engouement de nos compatriotes pour la bicyclette. Patatras ! Malgré les belles promesses de Jacqueline Gourault, ministre de la cohésion des territoires qui s’était rendue sur place en mars dernier pour confirmer le soutien financier de l’État,  la Banque publique d’investissement a brusquement fait machine arrière. Ce projet cochait pourtant « toutes les cases sur la réindustrialisation ou l’écologie », martèle Jean-Marc Seghezzi, PDG de CEMF et des cycles Mercier.

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  • Emmanuel Macron seul face à la rue : son entourage a raison d’être très inquiet

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    Il est toujours bon d’écouter ceux qui ne pensent pas comme vous : ma belle-sœur et Le Monde, par exemple. La réciproque devrait être plus systématique aussi. Tout le monde s’en porterait mieux. Donc, Le Monde. Après les éditoriaux de complaisance pour le pouvoir et la décision du , ce samedi matin, une petite voix discordante, celle de Solenn de Royer : «  : le Président seul face à la rue, une stratégie périlleuse. »

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  • Viktor Orban invité de Tucker Carlson sur Fox News : “Nous n’avons pas accepté de migrants. Nous avons décidé de ne pas participer à ce désastre. C’est pourquoi la Hongrie est détestée”

    « Le problème, c’est le succès » a déclaré Viktor Orban à l’animateur de Fox News Tucker Carlson, dans une interview diffusée jeudi soir. « C’est un vrai défi pour les penseurs libéraux que ce qui se passe en Europe centrale. Nous sommes en train de construire une société qui a beaucoup de succès économique, politique, culturel, même en terme de démographie.

    “Merkel a déclaré qu’accepter plus d’un million de migrants dans son pays n’était pas du tout un problème, je cite : ‘L’Allemagne est un pays fort. Nous nous débrouillerons.’ Eh bien sûr, elle avait complètement tort. Cette décision a changé la nature de l’Allemagne pour toujours”, a-t-il poursuivi.

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  • Carl Schmitt face à la gauche

    Aristide Leucate pour son livre "Carl Schmitt et la gauche radicale" aux éditions La Nouvelle Librairie
     

    Dans la foulée du colloque « Ernst Jünger et Carl Schmitt : une passion française » organisé par Éléments, Aristide Leucate publie aux Éditions de la Nouvelle Librairie Carl Schmitt et la gauche radicale. Une autre figure de l’ennemi. En bon connaisseur de Schmitt, Leucate nous livre une étude complète (et dans une langue irréprochable) sur les lectures à gauche du juriste allemand, qui ne font que souligner la richesse de la pensée schmittienne.

    ÉLÉMENTS : Comment expliquez-vous l’engouement de la gauche pour l’œuvre de Carl Schmitt ? Cette relation paradoxale se noue-t-elle autour d’un antilibéralisme commun ? Qu’est-ce qui distingue cet antilibéralisme on n’ose dire de droite et de gauche ?

    ARISTIDE LEUCATE. On pourrait parler d’un engouement à la fois polymorphique et amphibologique tant, au-delà des connivences dont l’antilibéralisme serait la figure de proue, les Marxisti Schmittiani, en proie à une agitation révolutionnaire aussi convulsive qu’endémique, ont cru trouver chez le juriste allemand les armes rhétoriques qui donneraient un coup de vis décisif à leur radicalisme débordant.

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  • L’apartheid sanitaire pourrait bientôt passer par de nouveaux terminaux de paiement

    L’essayiste Nicolas Bonnal s’intéresse de près à la société informatique SITRA et au rôle que se propose de jouer celle-ci dans une nouvelle étape totalitaire de la tyrannie mondialiste sous prétexte sanitaire.

    Le 666 apocalyptique au moins servait à acheter. Ici il servira à ne pas acheter.

    Le malthusianisme turbo en mode cyber est enclenché. La société informatique Sitra est finlandaise et son patron Kivela n’y va pas par quatre chemins. Il annonce que « les pays de l’UE s’accordent sur un certificat de vaccination européen – Sitra étudie si les terminaux de paiement pourraient être une solution ».

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  • Trois livres sur les relations germano-soviétiques de 1918 à 1944 5/5

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    Ci-contre : Deux personnages importants de la République de Weimar : von Papen et Kurt von Schleicher, ici en 1932, respectivement alors Reichskanzler et Reichswehminister, lors d’une commémoration militaire à Berlin. Von Schleicher constatera que son armée ne pouvait contenir les éléments communistes et nazis si ceux-ci unissaient leurs forces. Son objectif : maintenir le statu quo (réparations incluses) en demandant aux Alliés de pouvoir disposer de 300.000 hommes. Cette éventualité inquiétait les Soviétiques, car elle aurait pu déboucher sur une alliance franco-germano-polonaise. Le conflit entre von Schleicher voulant temporiser la situation socio-politique et l’ultraconservateur von Papen décrétant la loi martiale ne fera que rendre plus instable le gouvernement de Hindenburg.

    Cette “guerre préventive” se déclenche donc le 22 juin 1941. Les Allemands avancent rapidement. Après 4 jours, toute la Lithuanie tombe entre leurs mains ; vers la mi-juillet, ils sont aux portes de Leningrad. Le Reich se trouve désormais confronté à une mosaïque de peuples slaves et non slaves, aux frontières floues, disséminés sur un territoire immense, qu'il s'agit d’administrer, d’abord pour faciliter les opérations militaires, ensuite pour créer les bases d’un avenir non soviétique. Les avis divergeaient considérablement : les uns souhaitaient imposer un régime dur de type colonial dans l’espace balte, ukrainien, biélorusse, russe et caucasien ; les autres estimaient qu'il fallait se mettre à l’écoute des aspirations des peuples occupant ces pays, canaliser ces aspirations au profit du reste de l’Europe et atteler leurs potentialités humaines et économiques à un grand projet d’avenir : l’espace indépendant de la Grande Europe, de l’Atlantique à l’Oural et au-delà.

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  • Michel Maffesoli : "Ce peuple n’a plus rien à faire d’un discours arrogant, prétentieux", par La Rédaction.

    Michel Maffesoli, invité du "12-13h de l'été" 

    Arthur de Laborde recevait, Michel Maffesoli, sociologue et professeur émérite à la Sorbonne, auteur du livre L’ère des soulèvements, lors du "12-13h" de l’été du lundi 2 août 2021.

    Le sociologue et professeur émérite de la Sorbonne, Michel Maffesoli, était l’invité d’Arthur de Laborde dans le "12-13h de l’été" du  lundi 2 août 2021. Ensemble, ils sont revenus sur les manifestations contre le pass sanitaire.

    Michel Maffesoli : "Le développement de ces manifestations traduit tout simplement un déphasage réel"

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  • Le Royaume-Uni coupe les vivres à l’International Planned Parenthood Federation

    La crise économique issue de la crise covidienne a un peu de bon : elle pousse le gouvernement britannique a coupé les fonds publics destinés à « l’aide » internationale, dont l’avortement. L’International Planned Parenthood Federation (Ippf) estime qu’elle perdra 14,2 millions de livres sterling en trois ans. L’organisme de l’avortement menace l’exécutif de poursuites judiciaires.

    L’organisme clé de l’avortement dans le monde a dénoncé la décision du gouvernement britannique de couper le financement de « la promotion des droits reproductifs et de l’avortement dans le monde ».

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  • Trois livres sur les relations germano-soviétiques de 1918 à 1944 4/5

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    Ci-contre : Deux personnages importants de la République de Weimar : von Papen et Kurt von Schleicher, ici en 1932, respectivement alors Reichskanzler et Reichswehminister, lors d’une commémoration militaire à Berlin. Von Schleicher constatera que son armée ne pouvait contenir les éléments communistes et nazis si ceux-ci unissaient leurs forces. Son objectif : maintenir le statu quo (réparations incluses) en demandant aux Alliés de pouvoir disposer de 300.000 hommes. Cette éventualité inquiétait les Soviétiques, car elle aurait pu déboucher sur une alliance franco-germano-polonaise. Le conflit entre von Schleicher voulant temporiser la situation socio-politique et l’ultraconservateur von Papen décrétant la loi martiale ne fera que rendre plus instable le gouvernement de Hindenburg.

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