Utilisant le prétexte de la mort de Clément Méric, le gouvernement socialiste a engagé plusieurs procédures de dissolution à l’égard d’organisations nationalistes qu’il avait dans le collimateur depuis un certain temps. Même si « l’affaire Méric » se dégonfle de jour en jour – les preuves et témoignages accablants se succèdent, démontrant que le petit roquet antifasciste et sa bande de voyous d’extrême-gauche étaient les agresseurs lors de la rixe où il est accidentellement décédé – nos gouvernants n’en ont cure.
Alors pourquoi cet acharnement et cette hâte à dissoudre des « groupuscules extrémistes » comme ils se plaisent à les décrire ? Parce que ceux qui nous gouvernent ont peur, tout simplement.
L’ampleur de l’opposition à la loi sur le mariage homosexuel qui a débouché sur un véritable « Printemps français » les terrorise. Ils sont morts de trouille parce qu’ils n’arrivent ni à manipuler ni à canaliser cette légitime révolte populaire qui gronde et qui dépasse le cadre du refus de l’infâme loi Taubira. La féroce répression policière, totalement disproportionnée, ainsi que les condamnations judiciaires iniques, ne fonctionnent pas. Les faux-opposants acquis aux dogmes de la République franc-maçonne, de l’UMP à Marine Le Pen en passant par Frigide Barjot, ne parviennent pas à briser cet élan populaire de la France des terroirs et des clochers en tentant de replacer le débat public dans un cadre « conventionnel » où tout est contrôlé.
Alors on s’agite en haut-lieu et on tente de museler, affichant sa pusillanimité au grand jour, les organisations non-conformistes qui tiennent depuis toujours un discours révolutionnaire appelant à mettre à terre un Système vermoulu dont les Français se méfient de plus en plus.
Ces dissolutions sont l’aveu éclatant d’une fébrilité typique des régimes en bout de course. Cette hargne est celle de la bête acculée, dos au mur, qui sent que son temps est compté.
Le France charnelle et millénaire n’est pas encore dissoute dans le mondialisme consumériste et métisseur. L’espérance française face aux menaces qui pèsent sur notre civilisation est en train de renaître. Et les ultimes soubresauts liberticides d’une Ripoublique agonisante n’y changeront rien.
Thomas JOLY
Secrétaire général du Parti de la France